<center> Saint-Tropez</center> Port de Saint-Tropez. Saint-Tropez est probablement à l'époquede l'arrivée des phocéens, un petit port hellénique connu sous le nom d’Athenopolis Massiliensium, comptoir massaliote. La bataille d'Actium, survenue en 31 av. J.-C., permet l'installation des Romains. La dénomination du village est alors Héraclea-Caccaliera. De 890 à 972, la péninsule de Saint-Tropez est une colonie arabo-musulmane sous les noms de Jabal al-Qilâl « montagne des cimes » et de Farakhshinit, forme arabisée du gallo-roman FRAXINETU « frênaie », à mettre en relation avec le second élément de la Garde-Freinet. En 972, les musulmans de Saint-Tropez enlèvent l'abbé Maïeul de Cluny qu'ils relâchent contre rançon, mais ceux-ci seront définitivement chassés par Guillaume Ier comte de Provence, seigneur de Grimaud en 976. Ce seigneur fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren afin de mieux protéger la cité. À partir de 1436, le comte René Ier (le « bon roi René ») tente de repeupler la Provence, il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Raphaël de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagné d'une soixantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV.

Saint-Tropez Port de Saint-Tropez. Saint-Tropez est probablement à l'époquede l'arrivée des phocéens, un petit port hellénique connu sous le nom d’Athenopolis Massiliensium, comptoir massaliote. La bataille d'Actium, survenue en 31 av. J.-C., permet l'installation des Romains. La dénomination du village est alors Héraclea-Caccaliera. De 890 à 972, la péninsule de Saint-Tropez est une colonie arabo-musulmane sous les noms de Jabal al-Qilâl « montagne des cimes » et de Farakhshinit, forme arabisée du gallo-roman FRAXINETU « frênaie », à mettre en relation avec le second élément de la Garde-Freinet. En 972, les musulmans de Saint-Tropez enlèvent l'abbé Maïeul de Cluny qu'ils relâchent contre rançon, mais ceux-ci seront définitivement chassés par Guillaume Ier comte de Provence, seigneur de Grimaud en 976. Ce seigneur fait construire en 980 une tour à l'emplacement actuel de la tour Suffren afin de mieux protéger la cité. À partir de 1436, le comte René Ier (le « bon roi René ») tente de repeupler la Provence, il crée la baronnie de Grimaud et fait appel au Génois Raphaël de Garezzio, gentilhomme, qui aborde la presqu'île avec une flotte de caravelles accompagné d'une soixantaine de familles génoises. En contrepartie, les Tropéziens seront francs, libres, et exempts de tout impôt, cette convention perdurera jusqu'à son abrogation en 1672 par Louis XIV.

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<center> Saint-Tropez</center> Port de Saint-Tropez. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du XIVe siècle, Raphaël de Garezzio fait construire des murs d'enceintes dont deux larges tours sont encore debout : l'une à l'extrémité du grand môle et l'autre à l'entrée de la « Ponche ». La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée, et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1577 Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren. e 1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren. Le 15 juin 1637, les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.

Saint-Tropez Port de Saint-Tropez. Dans Saint-Tropez détruit par la guerre de la fin du XIVe siècle, Raphaël de Garezzio fait construire des murs d'enceintes dont deux larges tours sont encore debout : l'une à l'extrémité du grand môle et l'autre à l'entrée de la « Ponche ». La tour carrée faisait partie de l'ensemble. La cité est une petite république qui possède sa flotte et son armée, et est administrée par deux consuls et douze conseillers qu'elle élit. En 1577 Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren. e 1577 : Geneviève de Castille, fille du marquis, seigneur de Castellane épouse Jean-Baptiste de Suffren, marquis de Saint-Cannet, baron de la Môle, conseiller au Parlement de Provence. La seigneurie de Saint Tropez devient l'apanage de la famille de Suffren. Le 15 juin 1637, les Tropéziens viennent à bout de 21 galères espagnoles. Cette victoire donnera lieu à une bravade le 15 juin qui glorifie la victoire des habitants sur les Espagnols.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center>Cette église, de style baroque, est construite au XVIe siècle, au cœur du village de Saint-Tropez à l'emplacement d'une précédente église construite en 1056. Les travaux durèrent jusqu'en 1784.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Cette église, de style baroque, est construite au XVIe siècle, au cœur du village de Saint-Tropez à l'emplacement d'une précédente église construite en 1056. Les travaux durèrent jusqu'en 1784.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> L’église est construite avec une façade en calcaire blanc.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption L’église est construite avec une façade en calcaire blanc.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Saint Tropez en soldat romain.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Saint Tropez en soldat romain.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Le clocher et son campanile. Le clocher affiche une horloge sur trois de ses côtés, mais pas sur celui-là.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> L'intérieur est à trois vaisseaux.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption L'intérieur est à trois vaisseaux.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Buste-reliquaire de Saint Roch. Bois : taillé, doré. Le saint est auréolé d'une gloire de rayons. Son buste repose sur un piédouche chantourné formant reliquaire. 18e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Buste-reliquaire de Saint Roch. Bois : taillé, doré. Le saint est auréolé d'une gloire de rayons. Son buste repose sur un piédouche chantourné formant reliquaire. 18e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center>Fonts baptismaux, ciborium et tableau. Fonts baptismaux en bois, au fût circulaire, cannelé et à vasque polygonale. Une gloire de rayons lumineux orne l'architrave.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Fonts baptismaux, ciborium et tableau. Fonts baptismaux en bois, au fût circulaire, cannelé et à vasque polygonale. Une gloire de rayons lumineux orne l'architrave.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Un ciborium, en bois, surmonte les fonts et le tableau. Il est composé de quatre colonnes, peintes en faux marbre, soutenant une architrave semi-circulaire, surmontée de quatre volutes se rejoignant au sommet. 18e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Un ciborium, en bois, surmonte les fonts et le tableau. Il est composé de quatre colonnes, peintes en faux marbre, soutenant une architrave semi-circulaire, surmontée de quatre volutes se rejoignant au sommet. 18e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Sainte Thérèse de Lisieux.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Sainte Thérèse de Lisieux.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Saint Josémaria Escriva, 1902-1975, prêtre, fondateur de l'Opus Dei en 1928.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Saint Josémaria Escriva, 1902-1975, prêtre, fondateur de l'Opus Dei en 1928.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Autel du Sacré Coeur. Autel trapézoïdal, aux côtés chantournés, peint en faux marbre, de même que les deux gradins d'autel le surmontant. Le retable est constitué de deux pilastres cannelés et rudentés soutenant un entablement surmonté d'un fronton triangulaire. Ce retable comporte un tableau représentant la sacré coeur. 19e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel du Sacré Coeur. Autel trapézoïdal, aux côtés chantournés, peint en faux marbre, de même que les deux gradins d'autel le surmontant. Le retable est constitué de deux pilastres cannelés et rudentés soutenant un entablement surmonté d'un fronton triangulaire. Ce retable comporte un tableau représentant la sacré coeur. 19e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Autel des âmes du Purgatoire, retable et son tableau d'autel. Autel en marbre, de forme chantournée. Il est surmonté de deux gradins d'autel. Le devant est orné d'un médaillon sculpté d'un crâne et de deux tibias. Retable en bois peint en noir et doré, constitué de deux pilastres cannelés, flanqués de volutes et soutenant un entablement couronné d'un fronton triangulaire. 18e siècle, 19e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel des âmes du Purgatoire, retable et son tableau d'autel. Autel en marbre, de forme chantournée. Il est surmonté de deux gradins d'autel. Le devant est orné d'un médaillon sculpté d'un crâne et de deux tibias. Retable en bois peint en noir et doré, constitué de deux pilastres cannelés, flanqués de volutes et soutenant un entablement couronné d'un fronton triangulaire. 18e siècle, 19e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center>Notre Dame de la Garde de Gênes, don de la famille Terzitta après la guérison de leur fils Mario.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Notre Dame de la Garde de Gênes, don de la famille Terzitta après la guérison de leur fils Mario.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel de la Vierge. Autel trapézoïdal en marbre blanc, orné en bas-relief. Un médaillon central comporte les initiales A M (Ave Maria) enlacées.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> La Vierge.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La Vierge.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Vierge à l'Enfant. La Vierge, debout sur une nuée, tend son bras droit dans un geste de bénédiction. Carton-pierre doré. 19e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Vierge à l'Enfant. La Vierge, debout sur une nuée, tend son bras droit dans un geste de bénédiction. Carton-pierre doré. 19e siècle.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Deux anges céroféraires, vêtus de longues tuniques, portant un cierge.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Un des anges céroféraires.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Un des anges céroféraires.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> A gauche, St Pierre, à droite, St Paul. Au centre, copie de L'Assomption de la Vierge du Titien.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption A gauche, St Pierre, à droite, St Paul. Au centre, copie de L'Assomption de la Vierge du Titien.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> A gauche, l'Entrée du Christ à Jérusalem.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption A gauche, l'Entrée du Christ à Jérusalem.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> A droite, Le lavement des pieds.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption A droite, Le lavement des pieds.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Buste de St Tropez, que l'on sort lors de la Bravade.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Buste de St Tropez, que l'on sort lors de la Bravade.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> En l'an 68 après Jésus-Christ, le chevalier Torpes (saint Tropez de Pise), natif de Pise, intendant de l’empereur Néron, se convertit au christianisme. Comme il refusait de renier sa nouvelle foi, Néron, furieux, ordonna de le décapiter. Sa tête, après avoir été précipitée dans l'Arno, fut recueillie par des mains pieuses ; elle est aujourd'hui à Pise. Son corps, placé entre un coq et un chien au fond d'une barque vermoulue, fut abandonné au gré des flots et vint s'échouer le 17 mai sur les rivages d'Héracléa (ancien nom de Saint-Tropez, ce dernier dérivé de Torpès).

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption En l'an 68 après Jésus-Christ, le chevalier Torpes (saint Tropez de Pise), natif de Pise, intendant de l’empereur Néron, se convertit au christianisme. Comme il refusait de renier sa nouvelle foi, Néron, furieux, ordonna de le décapiter. Sa tête, après avoir été précipitée dans l'Arno, fut recueillie par des mains pieuses ; elle est aujourd'hui à Pise. Son corps, placé entre un coq et un chien au fond d'une barque vermoulue, fut abandonné au gré des flots et vint s'échouer le 17 mai sur les rivages d'Héracléa (ancien nom de Saint-Tropez, ce dernier dérivé de Torpès).

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel de Saint Tropez. Le tableau rappelle son martyre.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Saint Tropez.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Saint Tropez.

33

<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Saint Elme, patron des marins (ou Saint Dominique ?).

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Saint Elme, patron des marins (ou Saint Dominique ?).

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center>Autel de saint Pierre. Autel trapézoïdal. Retable composé d'un soubassement à deux niveaux comportant des gradins d'autel, sur lequel s'élèvent deux colonnes cannelées soutenant un entablement orné d'une tête d'angelot et de modillons. Un fronton à oeil de boeuf couronne l'ensemble. 18e siècle. Statue de Ste Rita di Cascia.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel de saint Pierre. Autel trapézoïdal. Retable composé d'un soubassement à deux niveaux comportant des gradins d'autel, sur lequel s'élèvent deux colonnes cannelées soutenant un entablement orné d'une tête d'angelot et de modillons. Un fronton à oeil de boeuf couronne l'ensemble. 18e siècle. Statue de Ste Rita di Cascia.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Buste-reliquaire de Saint Pierre. Le saint est auréolé d'une gloire de rayons. Son buste repose sur un piédouche chantourné. 18e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Buste-reliquaire de Saint Pierre. Le saint est auréolé d'une gloire de rayons. Son buste repose sur un piédouche chantourné. 18e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Autel de Saint Joseph et l'Enfant Jésus. Autel tombeau rectangulaire, dont la table repose sur des colonnettes, à l'avant. Le devant est orné, en bas-relief, de motifs végétaux. Un gradin puis un retable le surmontent. Carton-pierre : doré. Le saint esquisse un mouvement de marche avec sa jambe droite. Il tient l'Enfant, debout à côté de lui, par la main. 19e siècle.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Autel de Saint Joseph et l'Enfant Jésus. Autel tombeau rectangulaire, dont la table repose sur des colonnettes, à l'avant. Le devant est orné, en bas-relief, de motifs végétaux. Un gradin puis un retable le surmontent. Carton-pierre : doré. Le saint esquisse un mouvement de marche avec sa jambe droite. Il tient l'Enfant, debout à côté de lui, par la main. 19e siècle.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Saint Elme ?

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Saint Elme ?

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> La tribune de l'orgue est supportée par des colonnes.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La tribune de l'orgue est supportée par des colonnes.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Orgue de 1870 : Slotz (menuisier) ; Schaff (menuisier).

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Orgue de 1870 : Slotz (menuisier) ; Schaff (menuisier).

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Buffet composé de pilastres surmontés d'une corniche. La tribune, à balustres, est supportée par de simples piliers. Deux anges à la trompette cantonnent les extrémités de la tribune.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Buffet composé de pilastres surmontés d'une corniche. La tribune, à balustres, est supportée par de simples piliers. Deux anges à la trompette cantonnent les extrémités de la tribune.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Le roi David.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> La chaire.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La chaire.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La chaire.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La chaire.

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Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption La chaire.

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<center> Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption </center> Magnifique crèche provençale.

Saint-Tropez. L'église Notre-Dame-de-l'Assomption Magnifique crèche provençale.

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<center> Saint-Tropez</center> Les deux escopettes, avec le buste de Saint Tropez au-dessus.

Saint-Tropez Les deux escopettes, avec le buste de Saint Tropez au-dessus.

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<center> Saint-Tropez</center> Porte de la Poissonnerie. Cette porte ou poterne du même front sud, immédiatement à côté de l’emplacement de la tour sud-ouest, n’est pas d’origine, mais en place sur le plan de 1774.Elle a conservé son arcade, remaniée, dans un pan de courtine revêtu d’un enduit couvrant.

Saint-Tropez Porte de la Poissonnerie. Cette porte ou poterne du même front sud, immédiatement à côté de l’emplacement de la tour sud-ouest, n’est pas d’origine, mais en place sur le plan de 1774.Elle a conservé son arcade, remaniée, dans un pan de courtine revêtu d’un enduit couvrant.

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<center> Saint-Tropez</center> La poissonnerie.

Saint-Tropez La poissonnerie.

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<center> Saint-Tropez</center> La place aux herbes.

Saint-Tropez La place aux herbes.

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Saint-Tropez. L'ancienne gendarmerie.

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Saint-Tropez. L'ancienne gendarmerie. Le bâtiment de la gendarmerie, situé à l’entrée de la ville dans le quartier de la Corderie appelé aussi quartier de l’Avancée, était une maison bourgeoise appartenant à Monsieur Raymond Ladouceur et Madame Antoinette Berenguier. A partir du 1er janvier 1879, les propriétaires vont louer leur bâtiment à la brigade de gendarmerie de Saint- Tropez. Le 4 juin 1934, cette propriété est vendue à la municipalité qui va poursuivre la location du bâtiment à la gendarmerie qui s’y installe jusqu’en 2003 où elle place de la Garonne à Saint-Tropez.

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Saint-Tropez. L'ancienne gendarmerie.

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Saint-Tropez. L'ancienne gendarmerie.

57

> <center> Saint-Tropez</center> Statue de Brigitte Bardot, réalisée par Milo Manara, offerte par la fondation Millon et inaugurée en 2017.

Saint-Tropez Statue de Brigitte Bardot, réalisée par Milo Manara, offerte par la fondation Millon et inaugurée en 2017.

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Saint-Tropez Statue de Brigitte Bardot, réalisée par Milo Manara, offerte par la fondation Millon et inaugurée en 2017.

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<center> Saint-Tropez</center> Statue du bailli de Suffren. Cette statue est coulée avec le bronze des canons pris à l'ennemi que Napoléon III offrit à la ville en 1866.

Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren. Cette statue est coulée avec le bronze des canons pris à l'ennemi que Napoléon III offrit à la ville en 1866.

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<center> Saint-Tropez</center> Statue du bailli de Suffren. Sculpteur, Montagne. Fondeur : Maurel Toussaint.

Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren. Sculpteur, Montagne. Fondeur : Maurel Toussaint.

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<center> Saint-Tropez</center> Statue du bailli de Suffren.

Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren.

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<center> Saint-Tropez</center> Statue du bailli de Suffren. Le bailli de Suffren, né à Saint-Cannat au château familial en 1726 et mort à Paris en 1788. Illustre marin et vice-amiral français. Il poursuit les Barbaresques, devient chevalier, commandeur et bailli dans l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ; revenu dans la marine royale il est fait prisonnier par les Britanniques (bataille de Lagos, 1757). Il ira à Madras, Pondichéry, aux Indes, fut chevalier de l'Ordre du Roi. À 55 ans, il est capitaine de vaisseau et il est désigné en 1781 pour commander en qualité de chef de l'escadre des Indes orientales, cinq vaisseaux envoyés en renfort aux Indes. Il se distingue lors de la guerre d'indépendance des États-Unis. La paix de Versailles signée, il est promu vice-amiral et revient à Saint-Tropez.

Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren. Le bailli de Suffren, né à Saint-Cannat au château familial en 1726 et mort à Paris en 1788. Illustre marin et vice-amiral français. Il poursuit les Barbaresques, devient chevalier, commandeur et bailli dans l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem ; revenu dans la marine royale il est fait prisonnier par les Britanniques (bataille de Lagos, 1757). Il ira à Madras, Pondichéry, aux Indes, fut chevalier de l'Ordre du Roi. À 55 ans, il est capitaine de vaisseau et il est désigné en 1781 pour commander en qualité de chef de l'escadre des Indes orientales, cinq vaisseaux envoyés en renfort aux Indes. Il se distingue lors de la guerre d'indépendance des États-Unis. La paix de Versailles signée, il est promu vice-amiral et revient à Saint-Tropez.

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Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren.

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Saint-Tropez Statue du bailli de Suffren.

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<center> Saint-Tropez</center> Au fond, Port Grimaud et le massif des Maures.

Saint-Tropez Au fond, Port Grimaud et le massif des Maures.

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<center> Saint-Tropez</center> En face, Sainte-Maxime. Au centre, massif de l'Estérel. A droite, tout au fond, Menton.

Saint-Tropez En face, Sainte-Maxime. Au centre, massif de l'Estérel. A droite, tout au fond, Menton.

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<center> Saint-Tropez</center> La tour du Portalet ou tour Daumas : XVIe siècle. La tour du Portalet est d’une conception initiale différente de celle de la « Tour vieille », puisqu’il s’agit d’une tour d’artillerie ou batterie casematée côtière, entièrement isolée et détachée de l’enceinte urbaine, bien qu’elle ponctue l’angle nord-ouest de la ville close. Le diamètre hors-œuvre de cette grosse tour est d’environ 13m, quelque peu élargi en partie basse. La tour superpose deux niveaux de tir d’artillerie, le premier formant une casemate voûtée en coupole, percée de quatre embrasures à large ébrasement extérieur voûté en cintre surbaissé, pour canon d’assez gros calibre. L’étage supérieur de la tour, à ciel ouvert, est équipé de cinq embrasures découvertes percées dans un gros parapet de maçonnerie. La porte de la tour est percée à mi-hauteur de l’élévation, en sorte que son seuil n’est pas de plain-pied avec le sol de la casemate formant l’étage inférieur, mais surélevé. Le seuil de cette porte en hauteur n’était accessible que par une passerelle légère en charpente dont une partie du tablier pouvait sans doute être escamoté si la sécurité de l’édifice l’exigeait.

Saint-Tropez La tour du Portalet ou tour Daumas : XVIe siècle. La tour du Portalet est d’une conception initiale différente de celle de la « Tour vieille », puisqu’il s’agit d’une tour d’artillerie ou batterie casematée côtière, entièrement isolée et détachée de l’enceinte urbaine, bien qu’elle ponctue l’angle nord-ouest de la ville close. Le diamètre hors-œuvre de cette grosse tour est d’environ 13m, quelque peu élargi en partie basse. La tour superpose deux niveaux de tir d’artillerie, le premier formant une casemate voûtée en coupole, percée de quatre embrasures à large ébrasement extérieur voûté en cintre surbaissé, pour canon d’assez gros calibre. L’étage supérieur de la tour, à ciel ouvert, est équipé de cinq embrasures découvertes percées dans un gros parapet de maçonnerie. La porte de la tour est percée à mi-hauteur de l’élévation, en sorte que son seuil n’est pas de plain-pied avec le sol de la casemate formant l’étage inférieur, mais surélevé. Le seuil de cette porte en hauteur n’était accessible que par une passerelle légère en charpente dont une partie du tablier pouvait sans doute être escamoté si la sécurité de l’édifice l’exigeait.

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<center> Saint-Tropez</center> La passerelle métallique de la tour, partait du saillant d’une sorte de petit ouvrage de plan demi-ovalaire, qualifié de « réduit » sur les plans anciens, détaché de la tour par un espace d’environ quatre mètres. Dans l’état actuel, le « réduit » est occupé et couvert par la salle panoramique vitrée d’un restaurant.

Saint-Tropez La passerelle métallique de la tour, partait du saillant d’une sorte de petit ouvrage de plan demi-ovalaire, qualifié de « réduit » sur les plans anciens, détaché de la tour par un espace d’environ quatre mètres. Dans l’état actuel, le « réduit » est occupé et couvert par la salle panoramique vitrée d’un restaurant.

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<center> Saint-Tropez</center> Crique de la Glaye. Tour vieille du front de mer de l'enceinte milieu XVIe s, courtine et petite anse. La tour Vieille, conservée au moins dans les deux tiers inférieurs de son élévation d’origine, est une tour d’angle d’enceinte semi-cylindrique assez classique, d’environ 9m de diamètre hors œuvre, attenante aux deux courtines en retour d’angle aigu qui forment, l’une, le front est de l’enceinte, l’autre l’amorce d’un front nord interrompu sur le contour de la petite anse.

Saint-Tropez Crique de la Glaye. Tour vieille du front de mer de l'enceinte milieu XVIe s, courtine et petite anse. La tour Vieille, conservée au moins dans les deux tiers inférieurs de son élévation d’origine, est une tour d’angle d’enceinte semi-cylindrique assez classique, d’environ 9m de diamètre hors œuvre, attenante aux deux courtines en retour d’angle aigu qui forment, l’une, le front est de l’enceinte, l’autre l’amorce d’un front nord interrompu sur le contour de la petite anse.

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<center> Saint-Tropez</center> La tour Guillaume ou tour Suffren est un ouvrage fortifié datant du XIe siècle, reconstruite vers 1470, de plan carré. Elle avait été intégrée peu ou prou au système défensif de l’enceinte du milieu du XVIe siècle (percements de canonnières en partie supérieure).

Saint-Tropez La tour Guillaume ou tour Suffren est un ouvrage fortifié datant du XIe siècle, reconstruite vers 1470, de plan carré. Elle avait été intégrée peu ou prou au système défensif de l’enceinte du milieu du XVIe siècle (percements de canonnières en partie supérieure).

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<center> Saint-Tropez</center> Porte de Zanzibar.

Saint-Tropez Porte de Zanzibar.

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Saint-Tropez Porte de Zanzibar.

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Saint-Tropez La porte de la rue de la Ponche, vue de l'intérieur de la ville, ou porte du Revelen, était l'une des entrées du village (entrée est), contrôlée par le Corps de Garde.

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<center> Saint-Tropez</center> Flanc gauche de la tour-porte de la Ponche (du front est), avec arcade d'entrée du 2eme état. Elle se compose d’une tour carrée sans étage couvrant une porte de gabarit charretier percée en plein mur dans la courtine du front Est. Cette porte forme une arcade plein-cintre avec arrière-voussure en voûte segmentaire jadis pourvue d’une paire de vantaux.

Saint-Tropez Flanc gauche de la tour-porte de la Ponche (du front est), avec arcade d'entrée du 2eme état. Elle se compose d’une tour carrée sans étage couvrant une porte de gabarit charretier percée en plein mur dans la courtine du front Est. Cette porte forme une arcade plein-cintre avec arrière-voussure en voûte segmentaire jadis pourvue d’une paire de vantaux.

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<center> Saint-Tropez</center> Le seul autre ouvrage significatif conservé de cette enceinte du milieu du XVIe siècle est l’ouvrage d’entrée du front oriental, dit porte de La Ponche, ou porte du Ravelin (à cause de l’ouvrage avancé ou ravelin qui lui était associé) ; c’est une simple tour-porte de plan carré dont l’accès n’est pas frontal, mais en chicane.

Saint-Tropez Le seul autre ouvrage significatif conservé de cette enceinte du milieu du XVIe siècle est l’ouvrage d’entrée du front oriental, dit porte de La Ponche, ou porte du Ravelin (à cause de l’ouvrage avancé ou ravelin qui lui était associé) ; c’est une simple tour-porte de plan carré dont l’accès n’est pas frontal, mais en chicane.

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<center> Saint-Tropez</center> Ancien port de pêche ou plage de la Ponche.

Saint-Tropez Ancien port de pêche ou plage de la Ponche.

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<center> Saint-Tropez</center> Un des blasons de la ville : la barque portant Torpes allongé, un chien et un coq, surmonté d'un ange volant au-dessus et portant une couronne dans la main.

Saint-Tropez Un des blasons de la ville : la barque portant Torpes allongé, un chien et un coq, surmonté d'un ange volant au-dessus et portant une couronne dans la main.

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<center> Saint-Tropez</center> Au fond, la tour Jarlier.

Saint-Tropez Au fond, la tour Jarlier.

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<center> Saint-Tropez</center>Le bastion dit « Tour Jarlier », conçu dans son état définitif en 1564 pour renforcer l’angle sud-est de l’enceinte, est un édifice d’étendue assez réduite pour un bastion, et de proportions plutôt verticales, en forme de proue de navire.

Saint-TropezLe bastion dit « Tour Jarlier », conçu dans son état définitif en 1564 pour renforcer l’angle sud-est de l’enceinte, est un édifice d’étendue assez réduite pour un bastion, et de proportions plutôt verticales, en forme de proue de navire.

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<center> Saint-Tropez</center> La tour Jarlier à l'origine s'appelait

Saint-Tropez La tour Jarlier à l'origine s'appelait "de l'aire du commun" : le terre-plein jouxtant la tour Jarlier était utilisé pour battre le blé ou d'autres activités paysannes.

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<center> Saint-Tropez</center> Le puits de la tour Jarlier.

Saint-Tropez Le puits de la tour Jarlier.

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<center> Saint-Tropez</center> La tour Jarlier.

Saint-Tropez La tour Jarlier.

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<center> Saint-Tropez</center> La tour Jarlier. La tour primitive semi-cylindrique bâtie en 1542 a été incorporée dans toute son élévation sans être détruite à l’intérieur du bastion de 1564.

Saint-Tropez La tour Jarlier. La tour primitive semi-cylindrique bâtie en 1542 a été incorporée dans toute son élévation sans être détruite à l’intérieur du bastion de 1564.

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Saint-Tropez Le banc des Allemands. Au début de la Première guerre mondiale, les germanophones civils présents en France (Allemands, Austro-Hongrois, certains Alsaciens-Lorrains) ainsi que les sujets bulgares et ottomans, soit environ 45000 personnes dont 8000 Alsaciens-Lorrains, doivent se déclarer et sont regroupés dans plus d’une centaine de camps dont celui de la Citadelle de Saint-Tropez. Une commission vérifie rattachement à la France des Alsaciens-Lorrains et beaucoup sont libérés dès 1915. Une succession d’accords avec l'Allemagne permet le rapatriement progressif des prisonniers qui sont encore près de 12 000 au début de l’année 1918. Les internés de la Citadelle logeaient dans le donjon et se rendaient parfois en ville sous bonne escorte notamment pour prendre de l’eau à la fontaine de la place des Lices. C’est eux qui construisirent ce banc d’où son nom qui est resté dans la mémoire des Tropéziens.

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<center> Saint-Tropez</center> Au bord de l'eau, la Tour Vieille.

Saint-Tropez Au bord de l'eau, la Tour Vieille.

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Saint-Tropez. La citadelle.

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Saint-Tropez. La citadelle.

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<center> Saint-Tropez. </center> Le cimetière, avec sa porte en serpentine.

Saint-Tropez. Le cimetière, avec sa porte en serpentine.

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<center> Saint-Tropez</center> Baie des Canébiers.

Saint-Tropez Baie des Canébiers.

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Saint-Tropez. La citadelle.

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Saint-Tropez. La citadelle.

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<center> Saint-Tropez</center> <center> Saint-Tropez</center> Arbre de la Paix. Olivier millénaire offert par Mr P. Restitutto et mis en terre le 11 janvier 1994.

Saint-Tropez Saint-Tropez Arbre de la Paix. Olivier millénaire offert par Mr P. Restitutto et mis en terre le 11 janvier 1994.

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Saint-Tropez Saint-Tropez Arbre de la Paix. Olivier millénaire offert par Mr P. Restitutto et mis en terre le 11 janvier 1994.

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<center> Saint-Tropez. La chapelle de la Miséricorde</center> Le dôme est en tuiles vernissée.

Saint-Tropez. La chapelle de la Miséricorde Le dôme est en tuiles vernissée.

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Saint-Tropez. La chapelle de la Miséricorde Le dôme est en tuiles vernissée.

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<center> Saint-Tropez. La chapelle de la Miséricorde</center> La porte est ornée de serpentine, marbre vert sombre, ornement typique du pays. Bâtie en 1645, les pénitents noirs qui soignaient les malades l'occupèrent jusqu'en 1858.

Saint-Tropez. La chapelle de la Miséricorde La porte est ornée de serpentine, marbre vert sombre, ornement typique du pays. Bâtie en 1645, les pénitents noirs qui soignaient les malades l'occupèrent jusqu'en 1858.

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