C'est une fortification du XVIIe siècle située à la frontière entre la France et l'Espagne, au-dessus de la ville du Perthus, dans les Pyrénées-Orientales. Il sert alors au contrôle et à la défense du col du Perthus. En 1679, Vauban visite Bellegarde et approuve le plan d'agrandissement considérable que lui propose son ingénieur Christian Rousselot de Monceaux. Il y apporte des corrections, dotant notamment la place d'une fortification double. L'année suivante, Louvois accepte l'essentiel du projet. Les travaux sont engagés.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Clocher de l'église et Coupole du musée.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Tour Galatea, ancienne tours des remparts.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Sculpture de Llorenç Cairó en hommage à la tramuntana : une figure féminine, en tunique, marchant contre le vent du nord..
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Petits pains locaux.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Un des petits pains locaux.
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
Entre 1941 et 1948, la croisée du transept fut reconstruite, couronnée par une tour-lanterne octogonale, suivant le style gothique de l'ancienne nef
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
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Église Saint-Pierre de Figueras
Vitrail : baptême du Christ.
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Figueras
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Figueras
Les ramblas.
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Figueras
Les ramblas.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Bâti sur les ruines de l’ancien théâtre municipal de Figueres, incendié par les soldats de Franco en 1939, cet édifice a été inauguré en 1974 après quatre ans de travaux.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Avec ses œufs perchés sur les toits (motif cher à l’artiste, symbole de renaissance) et ses pains typiquement catalans accrochés en façade (image christique également importante pour Dalí), le « théâtre-musée » a été taillé à sa (dé)mesure.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Monument à Francesc Pujols à l'entrée du théâtre du Musée Dali - construction, inauguré le 28 septembre 1974.
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Théâtre-musée Dalí à Figueras.
Façade latérale.
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Obélisque de la television
Dépression Endogène - Hommage à Gala-Dalí à Figueres. Vostell, Wolf (1932-1998). 1978.
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Sculpture de Dali
Sculpture dédiée au peintre Meissonier, né à Lyon en 1815.
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Sculpture de Dali
Sculpture dédiée au peintre Meissonier, né à Lyon en 1815. Qué pintor le agrada más? E. Meissonier (M. Proust)
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Sculpture de Dali
Sculpture dédiée au peintre Meissonier, né à Lyon en 1815. D'après le monument d'Antonin Mercié à Poissy.
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Le Patio.
La coupole, l'ancienne scène du théâtre, le bâteau, la reine Esther, la cadillac.
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Le Patio.
La Reine Esther et la cadillac pluvieuse.
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Le Patio.
La Reine Esther
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Le Patio.
Car Naval. Taxi pluvieux
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Le Patio.
Car Naval. Taxi pluvieux
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Le Patio.
La Cadillac pluvieuse.
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Le Patio.
Car Naval. Taxi pluvieux
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Le Patio.
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Le Patio.
Sous la barque, l'esclave enchainé de Michel Ange.
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Le Patio.
Sous la barque, l'esclave enchainé de Michel Ange.
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Le Patio.
Sous la barque, l'esclave enchainé de Michel Ange.
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Le Patio.
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Le Patio.
En haut des murs, les anges (lavabo Roca).
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Le Patio.
Lampadaires du métro de Paris, conçu par Hector Guimard. 1900.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
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Le Patio.
Vue de l'intérieur.
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Le Patio.
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La scène-coupole.
Gala, 1947.
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La scène-coupole.
Gala nue regardant la mer
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La scène-coupole.
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La scène-coupole.
La grande coupole transparente, conçue par l’architecte Emilio Pérez.
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La scène-coupole.
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La scène-coupole.
En bas, à gauche, la tête d'un taureau. Dans les bustes de deux femmes, on devine le visage des matadors, et en bas les mouches exécrées par Dali : j'ai horreur des mouches sales. Je n'aime que les mouches proprissimes.
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La scène-coupole.
Le taureau..
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La scène-coupole.
Gala nue regardant la mer. Regardé à 18 mètres, il apparaît le président Lincoln. Dalí réalisa cette œuvre en hommage au peintre Mark Rothko, à partir d’une interprétation digitale du visage de Lincoln obtenue par le cybernéticien américain Leon D. Harmon.
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La scène-coupole.
Gala nue regardant la mer. Le visage de Lincoln se voit en petit format dans la partie inférieure gauche de l’œuvre, où se répète également la figure de Gala, dans une pose différente. Dans la partie supérieure, dans un magnifique crépuscule, Dalí fait référence à son célèbre Christ de saint Jean de la Croix.
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La scène-coupole.
Amanda Lear
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Autoportrait se dépliant en trois. 1926-27.
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Jeune fille de Figueras. 1926.
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Port Alguer 1923
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Portrait de Ramoneta Montsalvatje. 1925.
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Siphon et bouteille de rhum (peinture cubiste) 1924.
Dalí l’expose lors de l’exposition Recent paintings by Salvador Dalí, qui eut lieu à la galerie Bignou de New York, du 20 novembre au 29 décembre 1945 et à son propos, il écrit dans le catalogue : « J’ai peint cette œuvre pendant deux mois de suite, quatre heures par jour. Pendant cette période se sont succédés les épisodes les plus surprenants et sensationnels de l’histoire contemporaine. Cette œuvre a été achevée un jour avant la fin de la guerre. Le pain est l’un des thèmes fétichistes et obsessifs les plus anciens de mon œuvre, celui auquel je suis resté le plus fidèle. Il y a dix-neuf ans, j’ai peint le même thème. Si l’on compare attentivement les deux œuvres, on peut étudier toute l’histoire de la peinture, du charme linéaire du primitivisme à l’hyperesthétisme stéréostopique. Cette œuvre typiquement réaliste est celle qui a le plus satisfait mon imagination. Voici une peinture sur laquelle on ne peut rien dire : c’est l’énigme totale ! ».
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Le chemin de l'énigme
Dalí donna ce tableau à son Théâtre-Musée à l’occasion de l’octroi de la Médaille d’Or de la Generalitat de Catalunya en 1982, en présence de son ami, le poète J.V. Foix. On peut y contempler une mystérieuse perspective avec des sacs qui contiennent, selon Dalí, des informations. C’est une iconographie très présente dans l’œuvre de l’artiste, surtout dans son oeuvre de la première époque, qui était déjà d’expression surréaliste, Peau de poule inaugurale ou dans Le miel est plus doux que le sang, aujourd’hui disparue. Œuvre allégorique, sa lecture est double, dans le contenu apparemment élémentaire du blé et du grain et en même temps, dans celui plus philosophique de l’information et la compréhension, la signification finale de l’œuvre. Les lignes de fuite du tableau se dirigent vers un horizon concentré sur un astre à l’aspect froid et cela créer la sensation que, pour la même raison qu’il y a un chemin aller vers un fond indéterminé, il y en a un de retour, comme un écho, à travers la double projection dans l’espace supérieur.
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Portrait de la sœur de l'artiste. c. 1923.
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Portrait de mon père. 1920.
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La pierre tombale de Salvador Dalí.
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La scène-coupole.
Sous la dalle blanche, se trouve le tombeau de Dali.
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Caducée en bronze doré. Exemplaire 1.
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Caducée en bronze doré. Exemplaire 1.
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Caducée en platine. 925/1000. Exemplaire 1.
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Visage de Mae West
Peut être utilisé comme appartement.
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Visage de Mae West
Peut être utilisé comme appartement.
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Visage de Mae West
Peut être utilisé comme appartement.
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Visage de Mae West
Peut être utilisé comme appartement.
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Galatea des sphères
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Galatea des sphères
C’est une œuvre parmi les plus représentatives de l’époque mystico-nucléaire. Elle est le fruit d’un Dalí passionné par la science et les théories de la désintégration de l’atome. Le visage de Gala est composé par un décor discontinu, fragmenté, densément peuplé de sphères, qui dans l’axe de la toile acquièrent une vision et une perspective tridimensionnelles prodigieuses. Comme l’explique Dalí dans son Anti-Matter Manifesto : « Actuellement, le monde extérieur, — celui de la physique — , a transcendé celui de la psychologie. Mon père, aujourd’hui, c’est le docteur Heisenberg » . C’est l’un des hommages les plus éloquents au visage de Gala réalisé par Dalí et il souhaitait que l’on puisse le voir dans la Salle du Palais du Vent de son Théâtre-Musée, sur un chevalet qui avait appartenu à Meissonier, peintre dont deux œuvres, qui faisaient partie de la collection privée de Dalí, sont exposées au Musée.
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Dix recettes d'Immortalité.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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La chambre à coucher.
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Costumes de la maison Dior à l'époque où Pierre Cardin était collaborateur
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Exposition Pitxot, Antoni.
Autoportrait, Saint George 1976.
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Exposition Pitxot, Antoni.
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Exposition Pitxot, Antoni.
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Exposition Pitxot, Antoni.
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Exposition Pitxot, Antoni.
Femme couchée sur fond rouge. 1976.
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Exposition Pitxot, Antoni.
La maternité de Giorgione. 1977.
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Exposition Pitxot, Antoni.
Allégorie de la mémoire, 1979.
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Costumes de la maison Dior à l'époque où Pierre Cardin était collaborateur
L'un des déguisements de la maison Dior,— lorsque Pierre Cardin y travaillait —, que Dalí et Gala utilisèrent au bal masqué organisé par Carlos de Beistegui dans le palais Labia de Venise. Ces déguisements ont aussi des connotations scénographiques d’inspiration espagnole, c’est le cas de l’œuvre Le Tricorne, avec ses personnages coiffés du tricorne, sa tête de mort et ses vêtements soigneusement entrelacés.
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Baigneuse. 1870.
William Adolphe Bouguereau (1825-1905).
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Etudes de soldats. Portrait de Napoléon. 1863.
Jean-Louis Ernest Meissonnier. (1815-1891)
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Saint Paul.
El Greco (1541-1614)
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Copie d'un Rubens copié d'un Léonard. 1979.
Étude préliminaire de Gala pour le tableau 100 000 vierges virtuelles réfléchies par un nombre de miroirs réels à déterminer par des étant donnés cybernétique. 1974
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Aliyah
Datant de 1968, la série d'œuvre graphique Aliyah a été commandée pour commémorer les vingt ans de la proclamation de l'État d'Israël.
Dalí utilise une technique mixte pour créer une série de 25 pièces à base de gouache, d'aquarelle et d'encre de Chine sur papier. Elles seront reproduites par photolithographie.
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Le bateau Eliahu Golomb, chargé de réfugiés des camps de concentration, mettant le cap sur Israël en 1946 en dépit de l'interdiction de la Palestine sous mandat britannique,
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Aliyah
Pour illustrer les différentes significations du mot hébreu aliyah, littéralement « migration vers la terre d'Israël », l'artiste s'inspire à la fois de l'Ancien Testament et de l'histoire contemporaine.
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Aliyah
Portrait de David Ben Gourion lisant la Déclaration d'indépendance en 1948.
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Comme souvent dans l'œuvre de Dalí, les pièces comportent des éléments issus de sa propre iconographie. C'est le cas de deux lithographies qui font écho à une toile importante de cette époque, La pêche au thon, huile inspirée de cette pratique de la côte méditerranéenne remontant à l'Antiquité.
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Anamorphose.
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Anamorphose.
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Quand ça tombe, ça tombe. 1972-73.
« Alors, des tiroirs, maintenant on va recouvrir de tiroirs parce que l'unique différence entre la Grèce immortelle et l'époque contemporaine est Sigmund Freud lequel a découvert que le corps humain, qui était purement néoplatonicien à l'époque des Grecs, aujourd'hui est plein de tiroirs secrets que seule la psychanalyse est capable de découvrir. Bonjour ! ».
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Vénus de Milo aux Tiroirs, 1936 et 1964.
En 1936, Dali « invente » sa Vénus de Milo aux tiroirs, une sculpture en plâtre aujourd'hui conservée â l’Art Institute de Chicago. Plus tard, en 1964, il décide de réaliser une édition en bronze à tirage limité, il se réserve un exemplaire qu'il nomme « Exemplaire Gala Dali », destiné à son Théâtre-Musée de Figueres. Cet exemplaire est dépourvu de pompons, toujours visibles sur l'œuvre en plâtre de 1936 comme sur les bronzes de 1964. Par ce geste, Dali entend peut-être distinguer «sa » sculpture des autres Vénus de Milo aux tiroirs conservées ailleurs.
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Vénus de Milo aux Tiroirs, 1936 et 1964.
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Le calice de la vie
Or jaune à 18 carats. Diamants couleur fantaisie (jaunes), taille brillant (ronde), de 2 à 3 mm de diamètre, approximativement (sur la pomme dans la partie supérieure). Diamants, taille brillant (ronde) et 8/8 (les plus petits), de 1 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Rubis naturels (corindon), taille mixte (ronde), de 1.5 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Saphirs naturels (corindon), taille mixte (ronde), de 1.5 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Émeraudes naturelles (béryl), taille mixte (ronde et en forme de poire), de 1.5 à 6.5 mm, approximativement.; Lapis-lazuli, blocs irréguliers, plans et polis, au pied et à la tige de la pièce.; Avec un mécanisme à moteur avec réducteur qui meut les ailes des papillons.
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Le calice de la vie
Or jaune à 18 carats. Diamants couleur fantaisie (jaunes), taille brillant (ronde), de 2 à 3 mm de diamètre, approximativement (sur la pomme dans la partie supérieure). Diamants, taille brillant (ronde) et 8/8 (les plus petits), de 1 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Rubis naturels (corindon), taille mixte (ronde), de 1.5 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Saphirs naturels (corindon), taille mixte (ronde), de 1.5 à 3 mm de diamètre, approximativement.; Émeraudes naturelles (béryl), taille mixte (ronde et en forme de poire), de 1.5 à 6.5 mm, approximativement.; Lapis-lazuli, blocs irréguliers, plans et polis, au pied et à la tige de la pièce.; Avec un mécanisme à moteur avec réducteur qui meut les ailes des papillons.
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Apothéose du dollar. 1965.
Dans cette toile, comme dans son Théâtre-Musée, Dalí exprime toutes les tendances, les mythes et les obsessions qui l’ont accompagné tout au long de sa vie. Rappelons-en quelques-uns : Duchamp à gauche habillé en Louis XIV avec le joueur de luth de Watteau sur la tête. José Nieto, le « logeur » de Las Meninas, qui apparaît jusqu’à trois fois. À côté de Duchamp-Louis XIV, le profil d’Hermès de Praxitèle, avec sur l’ombre de son nez, la figure de Goethe et sur la commissure des lèvres, le portrait de Vermeer de Delft. À droite, Dalí fait son autoportrait, comme Vélasquez, en train de peindre Gala ; à côté de celle-ci apparaît la double image du visage de Béatrice de Dante, qui est en même temps un Dom Quichotte agenouillé. Au-dessus, on peut contempler les armées vaincues de Napoléon, alors que dans la partie supérieure gauche, on distingue les soldats de la bataille de Tétouan en plein effort
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La fleur psychédélique
Or jaune à 18 carats; Dans la plante: Des pierres suspendues (92), taille mixte (ovale et ronde), de 8.0 à 11.0 mm, approximativement.; Pierres bleues:Saphir naturel (corindon), Spinelle naturelle, Aigue-marine (béryl); Pierres jaunes:Zircon; Pierres roses: Spinelle natural, Grenat; Pierres rouges:Spinelle naturelle, Grenat; Sur le pot à fleurs:Spinelles naturels (et quelque rubis), cristaux bruts; Lapis-lazuli, plaques polies; Avec un mécanisme à moteur avec réducteur qui fait pivoter la plante.
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L'araignée de la nuit.
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Daphné. 1967.
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Lac du cygne. 1959.
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Croix de l'ange
Or jaune pur (la figure); Or jaune à 14 carats (au support de la pierre); Platine formant les épines; Citrine naturelle (quartz), taille émeraude (rectangulaire), de 78 x 62 x 46 mm, approximativement; Diamants, taille brillant (ronde), de 1.0 à 2.7 mm de diamètre, approximativement; Corail rouge, branches étendues sur la base en formant la croix; Lapis-lazuli, boule à 87 mm de diamètre, approximativement et blocs irréguliers de faces planes polies sur la base; Minéral brut de sulfur de zinc (sphalérite) sur la base; Avec l'intervention de Salvador Dalí: Huile et ambre liquide sur sculpture en or pur; Avec un mécanisme à
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Les raisins de l'immortalité. 1970.
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L'éléphant de l'espace. 1961.
Or jaune à 18 carats; Émeraudes naturelles (béryl) (3), taille en forme de goutte, de 10 à 18 mm, approximativement; Rubis naturels (corindon) (9), taille en goutte, de 4 à 8 mm, approximativement; Diamants (2), de 2 mm de diamètre approximativement; Aigue-marine (béryl), cristal de matériau brut, découpé et poli (sur l'éléphant), de 18 x 6.5 x 4.5 cm, approximativement; Aigue-marine (béryl), cristal grand de matériau brut en formant la base, de 12 x 33 x 17 cm, approximativement; Horloge à mouvement Omega
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La chute de l'ange. 1963.
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Pax Vobiscum. 1968.
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Coeur Royal
Or jaune à 18 carats; Rubis naturels (corindon), taille mixte (ronde et ovale), de 3.0 à 5.0 mm, approximativement. Petites pierres sur la couronne; Rubis naturels (corindon) (8); Saphirs naturels (corindon) (4); Émeraudes naturelles (béryl) (4); Aigue-marines (béryl) (4); Péridots (2); Grenat hessonite (2); Améthyste (quartz) (1); Diamants; Perles; Coeur mû par un mécanisme à moteur avec un réducteur.
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Dauphins et sirènes 1969.
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Dauphins et sirènes 1969.
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Collier avec des branches entrelacées (Collier choréographique). c. 1964.
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Saint-Genis des Fontaines.
Ce monastère bénédictin a été fondé sous Charlemagne (vers 780) et dédié à Saint Genis, martyr d'Arles (mort en 303).
Détruit au milieu du IXème s. par les normands, il est reconstruit peu après, et connaîtra un développement architectural tout au long du Moyen Âge : voûtement de l'église (XIIème s.), construction du cloître (XIIIème s.).
L'église St Michel, construite en même temps que le monastère, possède sur sa façade un bas-relief remarquable. Le linteau, en marbre blanc, est la plus ancienne sculpture romane datée (1019/1020)
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Saint-Genis des Fontaines.
Comme l'abbaye voisine de Saint André, la fondation de l‘abbaye de Saint- Genis s'inscrit dans la période de la reconquête de l'Espagne musulmane par les Carolingiens (VIIIe –IXe siècles) En encourageant l'installation de monastères bénédictins en Catalogne, Charlemagne souhaite développer politiquement et économiquement la région sous la protection des comtes de Roussillon, l'abbaye de Saint Genis est reconstruite au Xe siècle, elle devient rapidement puissante et prospère, comme le laisse deviner ses bâtiments. Mais son rattachement à l'abbaye de Montserrat du XVIe siècle témoigne de son déclin. Les moines ne sont plus que sept lorsque l'abbaye de Saint Genis est fermée, puis vendue comme bien national à la révolution. Alors que l'église redevient paroissiale XIXe siècle, le cloître démantelé et vendu à 1924, retrouve son aspect originel en 1995.
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Saint-Genis des Fontaines.
Les corbeaux saillants situés autour du linteau servaient autrefois à supporter un auvent abritant la sculpture.
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Saint-Genis des Fontaines.
Tout comme à Saint-André, la pierre sculptée placée au-dessus de la porte d'entrée-(linteau) au XIIe siècle semble être un remploi d'une construction antérieure. Daté de 1019-1020 par son inscription, le linteau représente les débuts de la sculpture romane.
On remarque la petitesse de ses personnages coincés sous des arcs de forme outrepassée. Les anges, qui entourent le Christ, doivent se courber pour ne pas dépasser du cadre. Malgré ces contraintes, les apôtres sont travaillés par l'artiste dans un style raffiné rappelant l'orfèvrerie et expriment des sentiments par leurs attitudes : les cheveux bouclés, une main sur la joue, Pierre pleure l'ascension du Christ ( à gauche).
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Saint-Genis des Fontaines.
La date de réalisation est indiquée dans les deux lignes en latin : ''La vingt-quatrième année du règne du Roi Robert, Guillaume abbé par la Grâce de Dieu, ordonna de faire cette oeuvre en l'honneur de Saint-Genis au monastère que l'on appelle des Fontaines.'' Au centre, on observe le Christ bénissant dans une mandorle soutenue par deux archanges et encadré de deux groupes de trois personnages, debout sous des arcades.