Mini-croisière en catamaran, Port-Vendres, Paulilles.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
Villa Muchir. L’architecte, Férid Muchir, acheta le terrain en bord de mer en juin 1956 et fit construire deux villas mitoyennes isolées. L'originalité du plan, la distribution réduite au minimum pour une maison de vacances, la qualité de la composition et de l'espace ainsi que l'expression moderniste de cette villa présentent un intérêt majeur.
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Canet-Plage.
Villa Muchir. La villa est étroite en façade, sur une petite parcelle de 220 m², et compte deux étages sur un rez-de-chaussée transprent, construit sur pilotis.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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Canet-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Embarquement.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Sortie du port.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
La Canigou.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Hissez la voile !
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Canet-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
La Canigou.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Canet-Page et les Albères, massif de montagnes qui constitue la partie la plus orientale de la chaîne pyrénéenne.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le bout de Canet-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Canet-Plage et le Canigou.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Canet-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Parc d'éoliennes de Rivesaltes.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
A gauche, le cap Béar et à droite, St Cyprien Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Cap Béar, Collioure, Argelès Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Argelès-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Argelès-Plage.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le cap Béar et tout au fond, le cap Cerbère.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
De gauche à droite : le cap Béar, avec le phare et le sémaphore, le fort sur le sommet, Port-Vendres, Collioure.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le cap Béhar, avec le phare et le sémaphore.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
A gauche, Collioure, la Tour Mardeloc, Argelès Plage, le Perthus.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le fort Saint Elme, Collioure, la tour Madeloc.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le fort Saint Elme, Collioure, la tour Madeloc .
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le fort Saint Elme.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Collioure, à droite le fort Miradou.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
La tour Madeloc.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Collioure et le Canigou.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le cap Béar avec le fort au sommet de la colline, Port-Vendres et un bout de Collioure.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le cap Béhar, avec le phare et le sémaphore.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
Le cap Béhar, avec le phare et le sémaphore, le fort, le phare de l'entrée du port de Port-Vendres.
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« Navivoile » de Canet à Port-Vendres.
L'entrée du port de Port-Vendres.
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Port-Vendres.
L'entrée du port de Port-Vendres. Le feu métallique du môle est construit en 1885.
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Port-Vendres.
L'entrée du port de Port-Vendres.
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L'entrée du port de Port-Vendres.
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L'entrée du port de Port-Vendres. La Redoute du Fanal fait partie des nombreux ouvrages réalisés par Vauban entre les années 1673 et 1700 pour assurer la défense du port. Un phare à lanterne verte situé à tribord marque l’entrée du port. La lumière du phare avait en 1780 une portée de plus de cinq lieues.
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L'entrée du port de Port-Vendres.
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Port-Vendres.
L'entrée du port de Port-Vendres.
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Le port.
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Le port.
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Au sommet, le fort Saint Elme.
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L'obélisque et le clocher de l'église.
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L'obélisque et l'église.
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La tour Madeloc.
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La Tour de l'Horloge est le seul vestige de la redoute de la presqu’île qui faisait partie des trois fortifications dessinées par Vauban.
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Église Notre-Dame de Bonne Nouvelle.
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La place de l'Obélisque. Dès le début de son règne, Louis XVI a décidé de construire un port fortifié pour assurer un trafic maritime régulier en Méditerranée. Le maréchal de Mailly reprend l'idée de Vauban de construire un port à Port-Vendres et veut construire une ville nouvelle dans l'esprit de la franc-maçonnerie qu'il espère avoir 12 000 habitants, soit autant que Perpignan. La réalisation du port va durer douze ans. Il charge l'architecte du roi Charles De Wailly, franc-maçon, membre de l'Académie royale d'architecture en 1767, de faire les plans de la ville nouvelle. Pour ennoblir la ville, l'architecte a l'idée de construire une place monumentale avec des éléments de sculpture, la place Louis XVI. Au centre de la place, Charles De Wailly a prévu d'ériger un obélisque en marbre rouge et blanc de Villefranche-de-Conflent. Il était orné de bronze, bas-reliefs, rostres, tortues. La pointe de l'obélisque porte un globe terrestre surmonté de la fleur de lys. L'ensemble est dédié à la gloire du roi. Les crédits venant à manquer, la réalisation de ce projet de place monumentale s'est arrêté.
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Au centre du mur de soutènement, creusé de deux fontaines, l'escalier monumental permet d'accéder à la place.
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Port-Vendres.
Aux deux extrémités, une fontaine avec un dauphin.
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Port-Vendres.
Aux deux extrémités, une fontaine avec un dauphin.
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Arrière de la place de l'Obélisque qui n'a pas été terminée. En prolongement de la place de l'Obélisque est construite la caserne du Fer à Cheval dont subsistent encore deux bâtiments, le Dôme au centre et l’aile ouest avec les armes du comte de Mailly. Le dôme culmine sur la terrasse supérieure.
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Port-Vendres.
Le Fer à Cheval et le dôme qui culmine sur la terrasse supérieure.
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Port-Vendres.
Le monument aux morts de Port-Vendres est un monument aux morts constitué d'une sculpture en pierre d'Aristide Maillol. Le monument, fut commandé en 1919 et inauguré en 1923.
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Port-Vendres.
Choqué par la première guerre mondiale, Aristide Maillol a réalisé gratuitement quatre monuments aux morts dans son département de naissance : à Céret (1922), Banyuls-sur-Mer (1933), Elne (1921) et Port-Vendres (1923).
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Port-Vendres.
L'œuvre est une sculpture en pierre représentant une femme allongée tenant dans sa main droite des branches d'olivier. Une copie en bronze est située dans le Jardin des Tuileries, à Paris. Le modèle est Dina Vierny.
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L'œuvre est une sculpture en pierre représentant une femme allongée tenant dans sa main droite des branches d'olivier.
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L'œuvre est une sculpture en pierre représentant une femme allongée tenant dans sa main droite des branches d'olivier.
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Place de l'Obélisque : pour marquer d'un symbole la naissance de Port-Vendres, et à la demande même des habitants d'alors, Louis XVI permit à la Province, en 1780, de faire ériger à sa gloire le premier monument élevé en France en son honneur, l'obélisque de Port-Vendres, qui est aussi le seul monument dédié à Louis XVI qui ait survécu sans trop de dommages à la Révolution. Culminant à cent pieds au-dessus du niveau de la mer (autrement dit, trente-trois mètres), cette œuvre en marbre des Pyrénées surmontée d'un globe terrestre et couronnée d'une fleur de lys, tous deux réalisés en bronze, fut en partie préservée des destructions révolutionnaires, mais perdit ses ornements inférieurs : après 1793 ne subsistaient que les quatre tortues de bronze placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé soutenant les draperies.
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Le globe terrestre et la fleur de lys.
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Aux quatre angles de la grille qui entoure le monument, quatre trophées représentent les quatre continents connus à cette époque : l'Asie,
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l'Asie,
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l'Afrique,
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l'Afrique,
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l'Europe,
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l'Europe,
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l'Amérique.
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l'Amérique.
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Les bas-reliefs de bronze commémorent la Marine relevée,
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la liberté du commerce,
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la servitude en France abolie,
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l'Amérique indépendante. Est représenté le bateau du roi, le Sensible, arriva à Falmouth, Massachusetts, le 13 avril 1778 pour y apporter les copies du traité d'alliance et du traité d'amitié et de commerce élaborés et signés à Paris le 16 février 1778. Ces traités furent ensuite ratifiés par le congrès américain le 4 mai 1778.
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Les quatre tortues de bronze survivantes placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé.
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Les quatre tortues de bronze survivantes placées aux angles du collet, entre la colonne et le dé.
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La mairie.
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La mairie.
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La mairie. La maison de Jules pams, homme politique héritier par sa femme de la fortune Bardoux (papier à cigarettes JoB), dont la carrière débute en 1884, a été ministre, puis il est candidat à la présidence de la république contre Poincaré qui l’emporte d’une voix. Il lègue à la ville sa maison de famille dont la salle à manger, devenue salle des mariages, est décorée de fresques typiquement art nouveau réalisées en 1913 par Paul-Jean Gervais.
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Port-Vendres.
La Mairie. Ancien mécanisme de l'horloge de la Tour de la presqu'île.
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La mairie. La Blle Poule. Cette frégate, troisième du nom, a été construit en 1828 est détruite en 1888. Le 18 octobre 1840, elle a quitté Jamestown, île de Sainte-Hélène, sous le commandement du prince de Joinville pour amener en France le corps de l'empereur Napoléon 1ier. Ce voyage s'est achevé à Cherbourg le 30 novembre 1840.
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Paulilles.
Située à environ 3 km au sud de Port-Vendres, derrière le col de Las Portas, le long de la route départementale 914, Paulilles est une petite baie protégée donnant sur la Méditerranée entre le cap Béar, et le cap de l'Oullestrell. Elle s'étend en prairie vers la mer entre des promontoires rocheux en formant les plages de Bernardi, del Mitg, et du Fourat au sud.
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Paulilles.
Jusqu'en 1870, la vie rurale s'écoule paisiblement à Paulilles. Mais la débâcle de l'armée française face à la Prusse, en 1870, pousse Gambetta, alors Ministre de l'intérieur, à rechercher un site pour créer une usine de dynamite « le plus loin possible des frontières avec l’Allemagne ». L’Anse de Paulilles, qui présente les caractéristiques adéquates pour développer une telle usine, est rachetée et peu à peu aménagée en dynamiterie par Paul Barbe, un officier ingénieur, en relation avec Alfred Nobel.
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Paulilles.
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Paulilles.
Socle de la tour de dénitrification où on séparait l'acide nitrique del 'acide sulfurique
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Paulilles.
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Paulilles.
Four où on brûlait les résidus des mélanges d'acides
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La vigie.
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La vigie.
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La Grande Halle.
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L’usine emploie rapidement 300 à 400 personnes et 5 générations de Catalans vont s’y succéder. En 1960, 20 tonnes de dynamite y sont produites chaque jour, approvisionnant les plus grands chantiers du siècle comme le Canal de Panama, la base spatiale de Kourou, le site de tirs de Mururoa ou encore le Port de Fos-sur-Mer. Paulilles est devenu un petit village avec ses logements, son école, ses fêtes... et ses drames. Plusieurs explosions vont s’y produire causant plus de 30 accidents mortels. Sans compter les maladies professionnelles graves causées par le contact avec la « matière » et ses produits chimiques. Ces dernières ne seront t reconnues qu’en 1981, après avoir causé des ' dizaines de victimes.
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Paulilles.
Depuis l’arrêt de la production de dynamite, en 1984, promeneurs et marginaux se réapproprient ce lieu interdit, dangereux, laissé à l'abandon. En 1998, le site de 32 hectares est finalement racheté par le Conservatoire du Littoral grâce au soutien déterminant du Département qui en assure la gestion depuis 2004. Situé en zone inondable, le site est alors une friche industrielle dangereuse par son activité passé et vulnérable aux incendies en raison de l’envahissement par la végétation. Le ré-aménager constitue un pari difficile. Le pari est relevé, en 2005, avec un but commun : valoriser les potentialités à la fois historiques et paysagères du lieu sur 17 hectares pour une ouverture au public dès 2008. Un projet d'aménagement symbolique est retenu : « Paulilles, l'avenir d'une mémoire », fruit d'une équipe pluridisciplinaire composée de paysagistes, d’architectes, de botanistes... et auquel ont participé ensuite les associations locales de défense du patrimoine. L'atelier de caisserie, aujourd'hui atelier de la plage
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Paulilles.
La cheminée et l'ancienne chaufferie qui est aujourd'hui l'atelier des découvertes.
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Atelier des barques
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Atelier des barques
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Atelier des barques
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Atelier des barques Le Gêne Cornu est un voilier en bois dessiné en 1949 par Eugène Cornu architecte naval, construit en 1963 par le chantier Rameau à Etel (56). Plus précisément, il s'agit d'un sloop marconi (voilier ayant un mât équipé d'une grand-voile et d'un foc). Il fait partie des derniers voiliers de croisière en bois bordé à franc-bord jointif (non calfatés). Il est désigné par Eugène Cornu comme un « croiser de 25 pieds de flottaison » (petit yacht prévu pour la croisière en mer) Le Gêne Cornu est habitable pour 6 personnes : une couchette double à l'avant, 3 couchettes dans le carré, une couchette simple à l'arrière. Il dispose d'un coin cuisine et d'un WC marin, d'une table à carte et d'un carré.
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Anse de Paulilles. Mur anti-débarquement.
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Paulilles.
Anse de Paulilles. A droite, le phare de Béar.
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Paulilles.
Anse de Paulilles
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Anse de Paulilles
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Paulilles.
A gauche, Banyuls (7), puis le cap Ullastrell (6) et l'anse de Paulilles (5), au centre la batterie de la Galline (10) et tout en haut, la tour Madeloc (11), à droite, le fort Béar (3), avec, derrière Port-Vendres (2) et plus haut Collioure (1).
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Paulilles.
Au centre, la grande halle. En haut, à droite, l'atelier de caisserie (atelier de la plage), la chaufferie (atelier atelier des découvertes) et la cheminée, bâtiment des poudres absorbantes (atelier des barques)
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Paulilles.
La Grande Halle (6), la Dynamiterie originelle (9), la Vigie (8).
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Banyuls.
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Banyuls.
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Banyuls.
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Banyuls.
Cave Tambour.
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Banyuls.
Cave Tambour.
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