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La Cathédrale de Gérone.
Devant le presbytère et fermant le fond de la grande nef, un mur est érigé avec un arc central et deux latéraux, plus trois oculi, deux plus petits au-dessus des trois petites fenêtres de la claire-voie et un plus grand au centre, près de la voûte. Les vitraux du presbytère datent du XVIe siècle, sur le thème de la vie de la Vierge.
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L'Assomption.
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Chapelle de sainte Cécile.
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Chapelle de sainte Cécile.
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Chapelle de sainte Cécile. C'est la patronne des musiciens.
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Chapelle de sainte Cécile.
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Chapelle de Saint Jean-Baptiste et de Saint Jean l'Evangéliste. Sarcophage et gisant d'Ermessende de Carcassonne. Guillem Morell. XIe et 1385.
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Chapelle de Saint Jean-Baptiste et de Saint Jean l'Evangéliste. Sarcophage et gisant d'Ermessende de Carcassonne. Guillem Morell. XIe et 1385.
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Chapelle de Saint Jean-Baptiste et de Saint Jean l'Evangéliste. Sarcophage et gisant d'Ermessende de Carcassonne. Guillem Morell. XIe et 1385.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Jean-Baptiste et de Saint Jean l'Evangéliste. Sur la clé de voûte se trouvent les deux saints.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Martin et de Saint François. Retable du Crpus Christi : sculpteurs Joan Coll et Nicolau Mates ; peintre Perris de la Rocha. 1562-1579. Urne du Jeudi Saint, Joseph Puig, 1806.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Martin et de Saint François. Urne du Jeudi Saint, Joseph Puig, 1806.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Martin et de Saint François. Retable du Crpus Christi : sculpteurs Joan Coll et Nicolau Mates ; peintre Perris de la Rocha. 1562-1579.
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Chapelle de Saint Martin et de Saint François. Retable du Crpus Christi : sculpteurs Joan Coll et Nicolau Mates ; peintre Perris de la Rocha. 1562-1579.
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Chapelle de Saint Martin et de Saint François. Retable du Crpus Christi : sculpteurs Joan Coll et Nicolau Mates ; peintre Perris de la Rocha. 1562-1579.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Sainte Anne. Retable de Josep Barnoya, 1777.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Sainte Anne. Retable de Josep Barnoya, 1777.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Sainte Anne. Retable de Josep Barnoya, 1777.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Sainte Anne. Retable de Josep Barnoya, 1777.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de la Vierge de Rosaire. Statue de la Vierge. A droite, tableau, Saint Hyacinthe de Pologne. XVVIe-XVIIIe.
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Chapelle de la Vierge de Rosaire. Statue de la Vierge. A droite, tableau, Saint Hyacinthe de Pologne. XVVIe-XVIIIe.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de la Vierge de Rosaire. Statue de la Vierge.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle des Quatre Saints Martyrs.
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Chapelle des Quatre Saints Martyrs.
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Chapelle des Quatre Saints Martyrs.
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Chapelle des Quatre Saints Martyrs.
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Chapelle des Quatre Saints Martyrs.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Sainte Catherine. Retable de Joan Arnau Moret, peintre, 1640-1678.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle Grégorienne. Retable du Christ, 1683-1688
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de la Vierge des Douleurs. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Narcisse. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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Chapelle de Saint Narcisse. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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Chapelle de Saint Narcisse. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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Chapelle de Saint Narcisse. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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Chapelle de Saint Narcisse. Peintre Antoni Viladomat, sculpteur Pau Costa. 1717-1737.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle du Saint-Sacrement.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Raphaël. L'adaptation de Saint-Bernard. Martyre de Saint-Étienne.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint-Georges et Saint Dalmau. Sépulcre de Bernat de Rasey.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de l'annonciation. Retable de Pau Costa.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de l'annonciation. Retable de Pau Costa.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de l'annonciation. Clé de voûte avec une Vierge à l'Enfant.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Julien et de Sainte Basilice. Fonts baptismaux de Guido Belljoch, Joan Belljoch et Joan Roig. Tapisserie de la Résurrection de Joan Ferrer.
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Chapelle de Saint Julien et de Sainte Basilice. Tapisserie de la Résurrection de Joan Ferrer.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de Saint Julien et de Sainte Basilice. Fonts baptismaux de Guido Belljoch, Joan Belljoch et Joan Roig. Saint Barthémy, Saint Thomas.
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Chapelle de Saint Julien et de Sainte Basilice. Fonts baptismaux de Guido Belljoch, Joan Belljoch et Joan Roig. Saint Philippe.
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La Cathédrale de Gérone.
Porte Saint Michel.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de l'Espérance. Lit l'Assomption de la Vierge, Lluis Bonifàs, 1775. Sépulcre de l'évêque Guillem Boïl, 1508-1532.
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Chapelle de l'Espérance. Lit d l'Assomption de la Vierge, Lluis Bonifàs, 1775.
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Chapelle de l'Espérance. Lit d l'Assomption de la Vierge, Lluis Bonifàs, 1775.
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Chapelle de l'Espérance. Lit d l'Assomption de la Vierge, Lluis Bonifàs, 1775.
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Chapelle de l'Espérance. Lit d l'Assomption de la Vierge, Lluis Bonifàs, 1775.
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Chapelle de l'Espérance. Sépulcre de l'évêque Guillem Boïl, 1508-1532.
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Chapelle de l'Espérance. L'Annonciation.
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Chapelle de l'Espérance. L'Assomption.
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La Cathédrale de Gérone.
Chapelle de l'Espérance. L'Adoration des Mages.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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Le cloître.
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La Cathédrale de Gérone.
Vitrail de la chapelle de Saint Martin et Saint François.
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Vitrail de la chapelle de Saint Martin et Saint François.
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Vitrail de la chapelle de Saint Martin et Saint François.
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La Cathédrale de Gérone.
Béatus de Liébana. Commentaires sur l'Apocalypse. 975. En dehors du Commentaire de l'Apocalypse, Beatus est connu pour être un penseur militant et énergique. Il s'attaque à ceux qui se compromettent avec l'occupant musulman, en commençant par l'archevêque de Tolède, qu'il accuse d'hérésie. Cette accusation est liée à la querelle de l'adoptianisme, hérésie dont l'un des théoriciens est alors Félix, l'évêque d'Urgell. Ce dernier proclame que le Christ n'est pas le fils de Dieu, mais a seulement été adopté par lui, thèse en complet désaccord avec celle du concile de Nicée sur la consubstantialité du Père et du Fils. Élipand, archevêque de Tolède, nommé à cette chaire par les Arabes, se rallie à cette doctrine. Cette hérésie séduisait un Wisigoth nostalgique de l'arianisme comme lui, l'adoptionisme n'étant, dans le fond, qu'un tardif avatar du subordinatianisme. Beatus composa ce Commentaire de l'Apocalypse, en compilant des textes de Pères de l'Église. Son manuscrit fut recopié une trentaine de fois au Xe siècle et XIe siècle dans des manuscrits richement illustrés
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La Cathédrale de Gérone.
Béatus de Liébana. Commentaires sur l'Apocalypse. 975. En dehors du Commentaire de l'Apocalypse, Beatus est connu pour être un penseur militant et énergique. Il s'attaque à ceux qui se compromettent avec l'occupant musulman, en commençant par l'archevêque de Tolède, qu'il accuse d'hérésie. Cette accusation est liée à la querelle de l'adoptianisme, hérésie dont l'un des théoriciens est alors Félix, l'évêque d'Urgell. Ce dernier proclame que le Christ n'est pas le fils de Dieu, mais a seulement été adopté par lui, thèse en complet désaccord avec celle du concile de Nicée sur la consubstantialité du Père et du Fils. Élipand, archevêque de Tolède, nommé à cette chaire par les Arabes, se rallie à cette doctrine. Cette hérésie séduisait un Wisigoth nostalgique de l'arianisme comme lui, l'adoptionisme n'étant, dans le fond, qu'un tardif avatar du subordinatianisme. Beatus composa ce Commentaire de l'Apocalypse, en compilant des textes de Pères de l'Église. Son manuscrit fut recopié une trentaine de fois au Xe siècle et XIe siècle dans des manuscrits richement illustrés
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Béatus de Liébana. Commentaires sur l'Apocalypse. 975. En dehors du Commentaire de l'Apocalypse, Beatus est connu pour être un penseur militant et énergique. Il s'attaque à ceux qui se compromettent avec l'occupant musulman, en commençant par l'archevêque de Tolède, qu'il accuse d'hérésie. Cette accusation est liée à la querelle de l'adoptianisme, hérésie dont l'un des théoriciens est alors Félix, l'évêque d'Urgell. Ce dernier proclame que le Christ n'est pas le fils de Dieu, mais a seulement été adopté par lui, thèse en complet désaccord avec celle du concile de Nicée sur la consubstantialité du Père et du Fils. Élipand, archevêque de Tolède, nommé à cette chaire par les Arabes, se rallie à cette doctrine. Cette hérésie séduisait un Wisigoth nostalgique de l'arianisme comme lui, l'adoptionisme n'étant, dans le fond, qu'un tardif avatar du subordinatianisme. Beatus composa ce Commentaire de l'Apocalypse, en compilant des textes de Pères de l'Église. Son manuscrit fut recopié une trentaine de fois au Xe siècle et XIe siècle dans des manuscrits richement illustrés
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Coffrets.
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offret de Hicham II. Le coffret de Hicham II, du Xe siècle, est un cadeau du calife de Cordoue à l'évêque de Gérone. Il est gravé d’argent et d'or et a été signé sous le verrou par l'orfèvre juif Juda ben Boçla.
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offret de Hicham II. Le coffret de Hicham II, du Xe siècle, est un cadeau du calife de Cordoue à l'évêque de Gérone. Il est gravé d’argent et d'or et a été signé sous le verrou par l'orfèvre juif Juda ben Boçla.
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offret de Hicham II. Le coffret de Hicham II, du Xe siècle, est un cadeau du calife de Cordoue à l'évêque de Gérone. Il est gravé d’argent et d'or et a été signé sous le verrou par l'orfèvre juif Juda ben Boçla.
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offret de Hicham II. Le coffret de Hicham II, du Xe siècle, est un cadeau du calife de Cordoue à l'évêque de Gérone. Il est gravé d’argent et d'or et a été signé sous le verrou par l'orfèvre juif Juda ben Boçla.
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La Cathédrale de Gérone.
Monstance du Corpus Christi, Francesc Artau II, 1430-1438.
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La Cathédrale de Gérone.
Monstance du Corpus Christi, Francesc Artau II, 1430-1438.
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La Cathédrale de Gérone.
Statue de Saint Charlemagne. Il est représenté par une sculpture gothique en albâtre polychrome. Représentant, semble-t-il, une crypto-retrait du roi Pierre d'Aragon, celle-ci met en évidence les points forts techniques du sculpteur Jaume Cascalls. Les monstres grotesques que le saint trépigne attirent également l'attention.
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La Cathédrale de Gérone.
La Vierge à l'Enfant, XIIe.
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La Cathédrale de Gérone.
Lamentation sur le Christ Mort. Catalogne, XVe. Joan Mates. Peinture à la détrempe sur bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Lamentation sur le Christ Mort. Catalogne, XVe. Joan Mates. Peinture à la détrempe sur bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Lamentation sur le Christ Mort. Catalogne, XVe. Joan Mates. Peinture à la détrempe sur bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Saint Benoit et Sainte Claire. Ramon Solà II, XVe. Peinture à la détrempe sur bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Sainte Claire. Ramon Solà II, XVe. Peinture à la détrempe sur bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Croix de procession «aux Emaux ». Peres Bernés, 1350-1360. Argent doré, émaux, bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Croix de procession «aux Emaux ». Peres Bernés, 1350-1360. Argent doré, émaux, bois.
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La Cathédrale de Gérone.
Retable de Sainte Hélène. Peintures à huile et Alain des ventes sur bois, pourquoi sculpté et doré. Pere Fernàndez, Antoni Norri et Antoni Mateu, 1519-1521.
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La tapisserie de la Création (Tapís de la Creació) est une œuvre de broderie de la fin du XIe siècle ou du début du XIIe. ette tapisserie mesurant environ 12 mètres carrés, brodée de laines de couleur, est l'un des plus remarquables vestiges de l'art textile roman. Datant du XIe siècle, elle est encore de nos jours source d'interrogation et de curiosité pour les érudits de par la richesse de sa symbolique religieuse. Elle présente une vaste symphonie mettant en scène le Créateur lors de la création du monde, la séparation des eaux et de la terre, la création des animaux volants, nageant, rampants et marchants, puis enfin celle de l'Homme par l'intermédiaire d'Adam puis d'Ève.
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création. Cette broderie est une oeuvre magnifique du XIe siècle qui possède encore beaucoup de ponts énigmatiques. L'un d'eux est l'usage qui en était fait : elle était peut-être accrochée dans une chapelle ou dans un espace de la cathédrale lors d'une célébration particulière. Nous ne savons pas à quel moment elle est tombée en désuétude. Au XIXe siècle, la tapisserie a été redécouverte et elle est tout de suite devenue célèbre en raison de son ancienneté ainsi que de sa qualité et de ses représentations symboliques.
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création.
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La tapisserie de la Création.
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La tapisserie de la Création.
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création. Sur le côté gauche, les mois.
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La tapisserie de la Création. Sur le côté gauche, les mois.
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La tapisserie de la Création. Sur le côté gauche, les mois.
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création.
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La Cathédrale de Gérone.
La tapisserie de la Création. Adam ne se trouve pas de semblable.
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La Cathédrale de Gérone.
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La Cathédrale de Gérone.
Devant d'autel de la vie de Jésus. XIIIe-XIVe.
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La Cathédrale de Gérone.
Devant d'autel du cardinal Margarit. XVe.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
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Gérone.
L'Onyar
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Musée des armures.
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Musée des armures.
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Musée des armures.
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Musée des armures.
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Musée des armures.
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Musée Art Roman.
Christ en majesté roman catalan XIème. Le Christ en Majesté de Sant Miquel de Cruïlles est une représentation du Christ crucifié très caractéristique de l’art roman catalan. La croix où l’image est clouée, en bois peint aux motifs ornementaux, est antérieure, probablement du XIe siècle. Elle a été réutilisée, et en partie décapitée, pour incorporer la nouvelle sculpture, au XIIe siècle.
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Musée Art Roman.
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Musée Art Roman.
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Musée Art Roman.
Vierge romane de Los AGULLES 12ème 13ème 66 × 28 × 26 cm. Église de Sant Feliu de Riu, Oix Sculpture sur bois polychrome provenant du sanctuaire de la Vierge des Agulles ou des Agudes. Son nom reflète une tradition de la région : il était coutume pour les femmes pieuses de cette image de remplacer les aiguilles de leurs vêtements par celles de la Vierge Marie. Cela reflète la grande dévotion que ces images ont suscitées dans le culte populaire. Cette dévotion perdura au fil des siècles au point qu'il était habituel, en particulier durant l’époque baroque, de réaliser des vêtements pour ces Vierges, en suivant la mode du moment.
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Musée Art Roman.
Vierge , XII-XIIIe siècles.
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Musée Art Roman.
Vierge , XII-XIIIe siècles.
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Musée Art Roman.
Pantocrator, XIIIe-XIVe.
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Musée Art Roman.
Vierge XIIe. Olot (la Garrotxa)
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Musée Art Roman.
Mère de Dieu le Sauveur. DIIe. Statue polychrome. Ermitage de Sant Salvador, paroisse de Cogolls.
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Musée Art Roman.
Vierge. XVe. Eglise paroissiale d'Alp.
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Musée Art Roman.
Vierge.XIIIe. Pirineo Català
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Musée Art Roman.
Sainte Madeleine. XIV.
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Musée Art Roman.
Saint Matthieu.
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Musée Art Roman.
Vierge.XIIIe XIVe. Vierge del Collar, XIIIe. Vierge XIIIe, paroisse de Siurana. Mère de Dieu XIVe.
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Musée Art Roman.
MAÎTRE DE PEDRINYÀ (fin du XIIe) Abside de Pedrinyà Fin du XIIe - début du XIIIe. Fresque reportée sur toile. Cette peinture murale a été disposée ici telle quelle a été retirée de son lieu d’origine : l’abside de l’église romane de Pedrinyà (Baix Empordà). Elle est anonyme et il est difficile d’en déterminer la filiation et la chronologie. La voûte est présidée par la Maiestas Domini, l’image du Christ sur un trône, tel que le décrit le livre de l’Apocalypse, entouré des animaux symboliques des quatre évangélistes. En bas, en demi-cercle, sont représentées les scènes successives du mystère de l’Incarnation : l’annonce faite à Marie, la visite à Élisabeth, la naissance de Jésus et l’annonciation aux bergers ; tout porte à croire que le fragment disparu correspondait à l’adoration des Rois mages. Mais ces scènes bibliques sont, non pas séparées les unes des autres, mais plutôt montrées ensemble, comme sur la scène simultanée d’une crèche populaire. Le triomphe de Jésus au ciel de l’abside contraste avec la simplicité des épisodes liés à sa venue sur Terre.
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Musée Art Roman.
Chapiteau XIIe. Maison de la Canonja de Girone.
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Musée Art Roman.
Chapiteau XIIe. Maison de la Canonja de Girone.
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Musée Art Roman.
Relief, XIIe.
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Musée Art Roman.
Martyrologe d’Usuard, XVe siècle. Livre manuscrit relatant les martyrs des saints en fonction du calendrier chrétien. Le texte, qui date de 1254, est une copie d’un martyrologe du IXe siècle du moine Usuard. Les 705 miniatures qui l'illustrent ont été réalisées par quatre artistes, de noms inconnus, aux environs de 1450. Ce martyrologe provient des ateliers royaux de Venceslas Ier de Bohême (actuellement la République tchèque). Ensuite, il est passé entre les mains du roi Pere Antoni d’Aragon, qui en fit don à la bibliothèque du monastère de Poblet. En 1836, il fut déposé au couvent des Bernardes de Gérone. La végétation exubérante des bordures enlace les médaillons, où les scènes violentes des martyres sont représentées dans des couleurs très vives sur un fond or qui situe les personnages, historiques ou légendaires, dans une aura de magie et de mystère.
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Musée Art Roman.
Martyrologe d’Usuard, XVe siècle.
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Musée Art Roman.
Pierre sépulcrale, XIVe. Eglise paroissiale de Crespià.
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Musée Art Roman.
Ange du Jugement, XIIIe.
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Musée Art Roman.
Ange du Jugement, XIIIe.
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Musée Art Roman.
Chapiteau XII. Eglise de saint Laurent de les Arenes.
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Musée Art Roman.
Notre-Dame de l'Espérance, premier quart du XVe siècle. Albâtre polychrome, 80 x 31 x 31 cm. Couvent de Sant Francesc d'Assís, Gérone. Cette image énigmatique de la Vierge provient du couvent Sant Francesc de Gérone, qui se trouvait sur la rive gauche de l’Onyar, à l’emplacement de Factuelle rue Nou. D’aucuns soutiennent qu’elle a longtemps occupé une niche en plein air, au-dessus du portail de la muraille qui donnait sur la partie haute de la Rambla, à l’une des entrées de la ville. Assise dans le silence de l’attente, mains sur les genoux, cette Vierge représentée avant ses couches a un visage inexpressif, comme si elle était concentrée sur le mystère de son for intérieur.
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Musée Art Roman.
Saint Michel. XVe.
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Musée Art Roman.
Vierge catalane, XVe.
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Musée Art Roman.
Saint Martin et le pauvre. XVe-XVIe.
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Musée Art Roman.
Le retable de st Pierre de Pubol de Bernard MARTOREL. Martorell dut sans doute sa formation à Borrassá, mais il enrichit cet enseignement de leçons apprises à des sources plus " modernes ". Ce retable a présidé des siècles durant l’autel de la petite église de Pübol (Baix Empordà), qui était en réalité la chapelle du château. Ses propriétaires, les époux Campllong Corbera, l’avaient commandé au peintre Bernat Martorell, le meilleur spécialiste de l’époque. C’est à lui que l’on doit la pleine intégration de la réalité dans le fait artistique : il se servait des thèmes religieux imposés pour représenter les formes de la vie civile et présentait les personnages sacrés ou historiques vêtus à la manière des gens de son temps. De ce retable consacré à saint Pierre, qui le préside avec des ornements liturgiques propres au pape, on peut admirer la puissance créatrice dans le traitement de la figure, la minutieuse description de l’environnement et la savante utilisation de la lumière.
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Musée Art Roman.
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Musée Art Roman.
Pere Robredo. Statues du retable Sant Feliu, 1507/1512. Prophète et rois : Salomon Jérémie David (?).
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Musée Art Roman.
Christ ressuscité retable San Feliu Joan DARTRICA et Joan d’ARAGON fin 15ème début 16ème. Fragment du retable de sant Feliu.
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Musée Art Roman.
Christ ressuscité retable San Feliu Joan DARTRICA et Joan d’ARAGON fin 15ème début 16ème. Fragment du retable de sant Feliu.
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Musée Art Roman.
Pilastres de retable. Albatre, vers 1500-1550.
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Musée Art Roman.
Ecole Catalane. Nativité. XVIe. Adoration des bergers.
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Musée Art Roman.
Ecole Catalane. Nativité. XVIe.
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Musée Art Roman.
Étienne est condamné à la lapidation pour blasphème non pas contre le Temple, mais contre Dieu, car il prononce le Nom divin, par définition imprononçable [dans la religion juive] dans l'expression suivante : « les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite de Dieu ».
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Musée Art Roman.
Étienne est condamné à la lapidation pour blasphème non pas contre le Temple, mais contre Dieu, car il prononce le Nom divin, par définition imprononçable [dans la religion juive] dans l'expression suivante : « les cieux ouverts et le Fils de l'Homme debout à la droite de Dieu ».
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Musée Art Roman.
Joan de Borgunya. Sainte Ursule, 1525.
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Musée Art Roman.
Retable de St Sébastien. Joseph TRAMULLES 1652/1679.
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Musée Art Roman.
Fragment d'un de sommet de retable.1675-1725.
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Musée Art Roman.
La Présentation de la Vierge. 1675-1725.
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Musée Art Roman.
Mère de Dieu Bois doré polychrome vers 1600.
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Musée Art Roman.
Mère de Dieu Bois doré polychrome vers 1600.
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Mariage de la Mère de Dieu 1677 GENERES. Cet ensemble faisait partie du retable que la Confrérie des Désemparés possédait à l'église de Sant Feliu de Gérone. Il est l'oeuvre de Francesc Generes, sculpteur originaire de Manresa et résident à Gérone, qui l'a réalisé en 1677. Il représente la scène des noces de la Vierge Marie avec saint Joseph selon le rituel du peuple juif, il est structuré sur deux plans : à l’avant, Marie, saint Joseph et le prêtre de l’ancienne loi ; en retrait, comme sur une scène en relief, deux témoins de la cérémonie adossés à la toile de fond de l’intérieur du temple. À la manière de poupées serrées dans un coffre à jouets, les cinq personnages se pressent les uns contre les autres pour figurer sur l’image officielle du mariage. Ils sont vêtus d’habits de fête richement ouvragés aux couleurs vives sur fond or, avec de larges plis et des formes décoratives.
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Ce retable consacré à saint Michel présidait l’église romane du monastère de Cruïlles (Baix Empordà). Lluís Borrassa (retable de Saint Michel de Cruîlles) ou Luis, né vers 1360 sans doute à Gérone et mort vers 1426 probablement à Barcelone est un peintre de compositions religieuses du gothique international de la couronne d'Aragon. Borrassá domine toute la production barcelonaise de 1390 à 1420 environ. Au cœur de paysages naturels ponctués d’édifices stylisés, les personnages se meuvent dans des scènes à la composition modèle. Les couleurs composent une véritable symphonie rouge-orangée sur fond or, et nimbent l’ensemble d’une lumière spectrale, évocatrice de l’aube ou du crépuscule
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Saint Michel y est présenté comme le défenseur compatissant des âmes, mais aussi comme un vainqueur implacable de ses ennemis. Revêtu de l’armure du guerrier médiéval qui plante sa lance dans le dragon aux sept têtes, l’archange invincible au combat dirige la première grande bataille de l’histoire - celle de la Genèse - et aussi la dernière - celle de l’Apocalypse -, ainsi que la lutte perpétuelle que les forces du bien mènent contre les conjurations du mal.
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