Vaison-la-Romaine

Site de Puymin, chapelle Saint Quenin et la haute-ville.

<center><center>Vaison-la-Romaine : l'oppidum. </center></center>Les ligures (VIIe-Ve s av. J.-C.) ont établi leurs habitats sur cette hauteur rocheuse assurant une protection grâce à des versants abrupts ; on a retrouvé des foyers domestiques, des stèles (VIe siècle avant J.C.) et les vestiges d’un rempart avec tour (Ve siècle avant J.-C.) en bordure d'Ouvèze. Cet oppidum (village fortifié) a été délaissé au profit de la rive droite de l’Ouvèze et de la plaine avec rétablissement de la paix romaine.
Vaison-la-Romaine : l'oppidum.
Les ligures (VIIe-Ve s av. J.-C.) ont établi leurs habitats sur cette hauteur rocheuse assurant une protection grâce à des versants abrupts ; on a retrouvé des foyers domestiques, des stèles (VIe siècle avant J.C.) et les vestiges d’un rempart avec tour (Ve siècle avant J.-C.) en bordure d'Ouvèze. Cet oppidum (village fortifié) a été délaissé au profit de la rive droite de l’Ouvèze et de la plaine avec rétablissement de la paix romaine.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>A partir du Ier siècle ap. J.-C., la rivière est enjambée par ce pont (17 mètres, 20 d'ouverture et 9 mètres 50 de large) bâti en grand appareil (grandes pierres assemblées à joints vifs et liées par des agrafes métalliques). A ses abords, un endiguement (de plus de 5 m de hauteur) protégeait les deux rives de la ville contre les débordements de l’Ouvèze. Elles prenaient appui sur des dalles calcaire portées par des pilotis composés de pieux de chêne. Deux quartiers de la ville se développaient en arrière des digues. Celui de la rive droite comprenait le centre urbain avec de grands édifices publics (forum, théâtre, amphithéâtre...), des rues commerçantes et de grandes domus. En face sur la rive gauche, s'élevaient le quartier de l'ancien oppidum celto-ligures prolongé de part et d'autre des voies partant vers l'Est et l'Ouest.
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
A partir du Ier siècle ap. J.-C., la rivière est enjambée par ce pont (17 mètres, 20 d'ouverture et 9 mètres 50 de large) bâti en grand appareil (grandes pierres assemblées à joints vifs et liées par des agrafes métalliques). A ses abords, un endiguement (de plus de 5 m de hauteur) protégeait les deux rives de la ville contre les débordements de l’Ouvèze. Elles prenaient appui sur des dalles calcaire portées par des pilotis composés de pieux de chêne. Deux quartiers de la ville se développaient en arrière des digues. Celui de la rive droite comprenait le centre urbain avec de grands édifices publics (forum, théâtre, amphithéâtre...), des rues commerçantes et de grandes domus. En face sur la rive gauche, s'élevaient le quartier de l'ancien oppidum celto-ligures prolongé de part et d'autre des voies partant vers l'Est et l'Ouest.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>L'ouvrage est ancré dans la roche au niveau d'un rétrécissement de l’Ouvèze. Bâtie en grand appareil à joints vifs, son arche unique, de 14,80 m d'ouverture et large de 9,70 m, est constituée de cinq arcs en plein cintre. A gauche, le corps de garde.
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
L'ouvrage est ancré dans la roche au niveau d'un rétrécissement de l’Ouvèze. Bâtie en grand appareil à joints vifs, son arche unique, de 14,80 m d'ouverture et large de 9,70 m, est constituée de cinq arcs en plein cintre. A gauche, le corps de garde.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>L'ouvrage est ancré dans la roche au niveau d'un rétrécissement de l’Ouvèze. Bâtie en grand appareil à joints vifs, son arche unique, de 14,80 m d'ouverture et large de 9,70 m, est constituée de cinq arcs en plein cintre. A gauche, le corps de garde.
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
L'ouvrage est ancré dans la roche au niveau d'un rétrécissement de l’Ouvèze. Bâtie en grand appareil à joints vifs, son arche unique, de 14,80 m d'ouverture et large de 9,70 m, est constituée de cinq arcs en plein cintre. A gauche, le corps de garde.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>Après la crue du 22 septembre 1992, un nouveau parapet a été construit en pierre de taille de Beaumont du Ventoux. Le profil en dos d'âne, très marqué à l'origine avec un dénivelé de plus de 1,50 m entre le sommet et les extrémités du pont, a été simplement suggéré.
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
Après la crue du 22 septembre 1992, un nouveau parapet a été construit en pierre de taille de Beaumont du Ventoux. Le profil en dos d'âne, très marqué à l'origine avec un dénivelé de plus de 1,50 m entre le sommet et les extrémités du pont, a été simplement suggéré.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>Niveau de la crue du 22 septembre 1992.
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
Niveau de la crue du 22 septembre 1992.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le pont romain. </center></center>
Vaison-la-Romaine : le pont romain.
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<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>L'ancien Hôtel Dieu.
Vaison-la-Romaine
L'ancien Hôtel Dieu.
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<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>Sur le marché.
Vaison-la-Romaine
Sur le marché.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Entrée de la Maison à l’Apollon lauré.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Entrée de la Maison à l’Apollon lauré.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La Maison à l’Apollon lauré.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La Maison à l’Apollon lauré.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Entrée de service de la Maison à l’Apollon lauré.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Entrée de service de la Maison à l’Apollon lauré.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le cyprès chauve.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le cyprès chauve.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le cyprès chauve.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le cyprès chauve.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le cyprès chauve. Vivant dans les marais, il se distingue par la croissance de racines aériennes particulières, les pneumatophores. Ces organes lignifiés, qui peuvent atteindre 1,7 m de haut, émergent du sol ou de l'eau tout autour du tronc. Leur fonction semble être double. D'une part, ils assurent la fourniture en dioxygène du système racinaire immergé qui risquerait sans cela l'anoxie ; d'autre part ils permettent une meilleure stabilisation et un meilleur ancrage de l'arbre dans le sol très souvent imbibé d'eau.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le cyprès chauve. Vivant dans les marais, il se distingue par la croissance de racines aériennes particulières, les pneumatophores. Ces organes lignifiés, qui peuvent atteindre 1,7 m de haut, émergent du sol ou de l'eau tout autour du tronc. Leur fonction semble être double. D'une part, ils assurent la fourniture en dioxygène du système racinaire immergé qui risquerait sans cela l'anoxie ; d'autre part ils permettent une meilleure stabilisation et un meilleur ancrage de l'arbre dans le sol très souvent imbibé d'eau.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La Maison à l’Apollon lauré. Cette immense maison d’environ 3 000 m2 s’est constituée à partir d’un habitat modeste du Ier siècle avant J-C, au cœur d’un domaine agricole. Au IIème siècle, la domus s’étageait sur plusieurs niveaux au moyen de terrasses et de sous-sols.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La Maison à l’Apollon lauré. Cette immense maison d’environ 3 000 m2 s’est constituée à partir d’un habitat modeste du Ier siècle avant J-C, au cœur d’un domaine agricole. Au IIème siècle, la domus s’étageait sur plusieurs niveaux au moyen de terrasses et de sous-sols.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le sanctuaire à portiques. Ce vaste monument, partiellement dégagé, était probablement un lieu public à vocation de promenade, voire de culte. Ses portiques encadraient un jardin doté d’un grand bassin et d’une construction centrale. En face, dans le mur nord, y répondait une salle mise en valeur par un portique rhodien. Ses dimensions et la présence d’un autel incitent à y voir un lieu de culte consacré à un dieu, un empereur ou une personnalité locale. Aujourd'hui, on penche plutôt à la cour d'une grande maison.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le sanctuaire à portiques. Ce vaste monument, partiellement dégagé, était probablement un lieu public à vocation de promenade, voire de culte. Ses portiques encadraient un jardin doté d’un grand bassin et d’une construction centrale. En face, dans le mur nord, y répondait une salle mise en valeur par un portique rhodien. Ses dimensions et la présence d’un autel incitent à y voir un lieu de culte consacré à un dieu, un empereur ou une personnalité locale. Aujourd'hui, on penche plutôt à la cour d'une grande maison.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le sanctuaire à portiques. Des moulages de sculptures y ont été placées :
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le sanctuaire à portiques. Des moulages de sculptures y ont été placées :
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le sanctuaire à portiques. Sabine, l'épouse de l’empereur Hadrien.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le sanctuaire à portiques. Sabine, l'épouse de l’empereur Hadrien.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le sanctuaire à portiques.  Le Diadumène (réplique romaine d’un original du sculpteur Polyclète). La statue représente un jeune athlète ceignant sa tête du bandeau de la victoire, d'où son nom : « celui qui se ceint du bandeau ». Elle aurait été exposée dans le théâtre, démontrant fièrement le raffinement des citoyens romains et leur attachement aux idéaux de la Grèce antique. Elle illustre parfaitement les principes énoncés par Polyclète dans son Canon : la hauteur totale équivaut à sept fois la hauteur de la tête, qui est également la longueur du pied posé et la distance entre les deux pointes des seins. Le torse s'inscrit dans un carré.
Le Diadumène, caractéristique du premier classicisme, mêle l'équilibre au dynamisme, grâce à une savante coordination de la torsion des épaules et des hanches, de la tête et des jambes. Pour équilibrer le marbre, les copistes ont dû ajouter un étai sous la forme d'un tronc d'arbre, qui était absent de l'original en bronze. L'original a été acheté par le British Museum en 1870, où il se trouve toujours.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le sanctuaire à portiques. Le Diadumène (réplique romaine d’un original du sculpteur Polyclète). La statue représente un jeune athlète ceignant sa tête du bandeau de la victoire, d'où son nom : « celui qui se ceint du bandeau ». Elle aurait été exposée dans le théâtre, démontrant fièrement le raffinement des citoyens romains et leur attachement aux idéaux de la Grèce antique. Elle illustre parfaitement les principes énoncés par Polyclète dans son Canon : la hauteur totale équivaut à sept fois la hauteur de la tête, qui est également la longueur du pied posé et la distance entre les deux pointes des seins. Le torse s'inscrit dans un carré. Le Diadumène, caractéristique du premier classicisme, mêle l'équilibre au dynamisme, grâce à une savante coordination de la torsion des épaules et des hanches, de la tête et des jambes. Pour équilibrer le marbre, les copistes ont dû ajouter un étai sous la forme d'un tronc d'arbre, qui était absent de l'original en bronze. L'original a été acheté par le British Museum en 1870, où il se trouve toujours.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Le sanctuaire à portiques. L’empereur Hadrien.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le sanctuaire à portiques. L’empereur Hadrien.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Quartier artisanal. Ce  secteur de la ville révèle  un  quartier  populaire  avec de  petites boutiques, des ateliers et de modestes logements qui étaient situés à l’étage, que l'on appelle des maisons de rapport.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Quartier artisanal. Ce secteur de la ville révèle un quartier populaire avec de petites boutiques, des ateliers et de modestes logements qui étaient situés à l’étage, que l'on appelle des maisons de rapport.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Quartier artisanal. Un dolium  y est conservé. Ce type de récipient en terre cuite  servait  au  stockage  des  aliments  comme  les  olives  ou  les 
céréales. On les enterrait aux ¾ afin de conserver les denrées à une température constante.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Quartier artisanal. Un dolium y est conservé. Ce type de récipient en terre cuite servait au stockage des aliments comme les olives ou les céréales. On les enterrait aux ¾ afin de conserver les denrées à une température constante.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Quartier artisanal.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Quartier artisanal.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Sarcophages de l’Antiquité tardive (III-IVe s.) et du haut Moyen-âge (Ve-Xe s.)
Avec l’expansion du christianisme, la pratique funéraire de l’incinération fait progressivement place A l’inhumation, tandis que se maintient la tradition antique d’enterrer les défunts à l’extérieur de la ville. Au Ve et VIe siècles, les nécropoles regroupent des sépultures taillées dans le safre, sous tuiles (coffres et hâtières), en coffre de pierre bâti, ou bien en sarcophage sous tuiles, en pierre bâtie, ou bien en sarcophage. Elles se situent au nord (dans le secteur de la chapelle St-Quenin) et à l’ouest de la ville qui s’est rétractée autour des édifices paléochrétiens. Les connaissances actuelles ne permettent pas de la délimiter avec précision.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Sarcophages de l’Antiquité tardive (III-IVe s.) et du haut Moyen-âge (Ve-Xe s.) Avec l’expansion du christianisme, la pratique funéraire de l’incinération fait progressivement place A l’inhumation, tandis que se maintient la tradition antique d’enterrer les défunts à l’extérieur de la ville. Au Ve et VIe siècles, les nécropoles regroupent des sépultures taillées dans le safre, sous tuiles (coffres et hâtières), en coffre de pierre bâti, ou bien en sarcophage sous tuiles, en pierre bâtie, ou bien en sarcophage. Elles se situent au nord (dans le secteur de la chapelle St-Quenin) et à l’ouest de la ville qui s’est rétractée autour des édifices paléochrétiens. Les connaissances actuelles ne permettent pas de la délimiter avec précision.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Sarcophages de l’Antiquité tardive (III-IVe s.) et du haut Moyen-âge (Ve-Xe s.)
A partir du VIIe siècle, les aires de sépultures sont plus éparses, disséminées dans les ruines de la ville antique, sur le versant sud de Puymin et sous le centre-ville actuel. Les sarcophages, comme l’indiquent leurs décors, sont souvent taillés dans des blocs d’architecture récupérés sur des édifices publics antiques démantelés.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Sarcophages de l’Antiquité tardive (III-IVe s.) et du haut Moyen-âge (Ve-Xe s.) A partir du VIIe siècle, les aires de sépultures sont plus éparses, disséminées dans les ruines de la ville antique, sur le versant sud de Puymin et sous le centre-ville actuel. Les sarcophages, comme l’indiquent leurs décors, sont souvent taillés dans des blocs d’architecture récupérés sur des édifices publics antiques démantelés.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Sarcophage.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Sarcophage.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La Nymphée de la source de Puymin.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La Nymphée de la source de Puymin.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre. Il a été creusé à partir de ses deux extrémités, mais à la jonction, il y a une différence de niveau visible au  plafond.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre. Il a été creusé à partir de ses deux extrémités, mais à la jonction, il y a une différence de niveau visible au plafond.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Tunnel qui, au travers de la colline, permet d'atteindre les parties supérieures du théâtre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center> Le théâtre. C'est l’un des plus petits sur la vallée du Rhône.  Avec 96 m de diamètre,  il  pouvait accueillir  6000 à 7000 spectateurs.  L’édifice creusé dans  le  flanc  nord  de  la  colline  de  Puymin  fut  construit  très  probablement  vers  le  milieu  du  Ie  siècle  ap.  J.C.,  et  remodelé  durant  la  première partie du IIe s. Il a été dégagé de 1907 à 1926 par l’archéologue J. Sautel, puis restauré entre 1932 et 1934  grâce au mécénat de Maurice Burrus.  </center>
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le théâtre. C'est l’un des plus petits sur la vallée du Rhône. Avec 96 m de diamètre, il pouvait accueillir 6000 à 7000 spectateurs. L’édifice creusé dans le flanc nord de la colline de Puymin fut construit très probablement vers le milieu du Ie siècle ap. J.C., et remodelé durant la première partie du IIe s. Il a été dégagé de 1907 à 1926 par l’archéologue J. Sautel, puis restauré entre 1932 et 1934 grâce au mécénat de Maurice Burrus.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center> Le théâtre. La cavea est l'ensemble des gradins. En bas, l'orchestra, espace plan, demi-circulaire de 30 m de diamètre. </center>
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le théâtre. La cavea est l'ensemble des gradins. En bas, l'orchestra, espace plan, demi-circulaire de 30 m de diamètre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center> Le théâtre. Deux entrées de vomitoires qui permettent aux spectateurs l’entrée et la sortie des gradins. </center>
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le théâtre. Deux entrées de vomitoires qui permettent aux spectateurs l’entrée et la sortie des gradins.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center> Le théâtre.</center>
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Le théâtre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Une fontaine.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Une fontaine.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>Au fond, les thermes de la maison à la tonnelle.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
Au fond, les thermes de la maison à la tonnelle.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle. Cette demeure s’étend sur environ 3 000 m². La construction est disposée sur plusieurs niveaux comprenant des pièces semi enterrées. Outre son triclinium  d’été (photo) et  ses  salles  nobles  qui  dominaient  le  jardin  et  ses  deux  bassins,  dont l’un vraisemblablement sous tonnelle,  elle  était  aussi dotée  de  secteurs  de  service.  Le  principal  était  organisé  à  partir  de  la  cour  donnant  sur  la  rue. Le jardin intérieur, rafraîchi par un bassin à exèdre, était peut-être agrémenté par une tonnelle. À proximité du puits, un escalier à double volet (à droite) permettait de rejoindre les salles de vie familiale et de réception situées à l’étage.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. Cette demeure s’étend sur environ 3 000 m². La construction est disposée sur plusieurs niveaux comprenant des pièces semi enterrées. Outre son triclinium d’été (photo) et ses salles nobles qui dominaient le jardin et ses deux bassins, dont l’un vraisemblablement sous tonnelle, elle était aussi dotée de secteurs de service. Le principal était organisé à partir de la cour donnant sur la rue. Le jardin intérieur, rafraîchi par un bassin à exèdre, était peut-être agrémenté par une tonnelle. À proximité du puits, un escalier à double volet (à droite) permettait de rejoindre les salles de vie familiale et de réception situées à l’étage.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle.  La  cuisine équipée d’un dolium, d’un évier et d’un four à pain.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. La cuisine équipée d’un dolium, d’un évier et d’un four à pain.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle. La  cuisine : le dolium et le  four à pain.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. La cuisine : le dolium et le four à pain.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center> La  cuisine : une des deux parties de la meule.</center>La maison à la tonnelle.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. La cuisine : une des deux parties de la meule.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle. La  cuisine : l'évier ou le pétrin.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. La cuisine : l'évier ou le pétrin.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : le site de Puymin. </center></center>La maison à la tonnelle. Les latrines.
Vaison-la-Romaine : le site de Puymin.
La maison à la tonnelle. Les latrines.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La chapelle est construite sur une petite éminence en bordure d’une nécropole romaine et d’un cimetière du Ve ou VIe siècle. Vers l’an 1000, un édifice honorait déjà St-Quenin, évêque de Vaison de 556 â 578. Des chanoines résidaient dans l’abbatia sancti Quinidii qui est alors dite en dehors de la ville. La chapelle actuelle est plus tardive.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La chapelle est construite sur une petite éminence en bordure d’une nécropole romaine et d’un cimetière du Ve ou VIe siècle. Vers l’an 1000, un édifice honorait déjà St-Quenin, évêque de Vaison de 556 â 578. Des chanoines résidaient dans l’abbatia sancti Quinidii qui est alors dite en dehors de la ville. La chapelle actuelle est plus tardive.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La chapelle, dédiée à Saint Quenin, évêque de Vaison au VIème siècle et patron de la ville, est un édifice roman, édifiée dans la seconde moitié du  XIIème siècle. La nef fut reconstruite entre 1630 et 1636, grâce à l’évêque, Monseigneur de Suarès. Le site, occupé durant l’époque romaine par une nécropole attestée par de nombreux vestiges, est demeuré longtemps une zone de sépultures. Pour l’agrandissement de la cave coopérative, un secteur a fait l’objet de fouilles : 135 sépultures (datées entre le Vème et la seconde moitié du Vie siècle) aux formes diverses et réutilisant parfois des fragments d’architecture plus anciens ont été mises au jour : coffres avec entourage et couverture de pierre, ou en tuiles, tombes creusées dans la roche et à simple couverture, souvent en tuiles, tombes à fosse sans protection. Dès le IVe s, la communauté religieuse est dirigée par un évêque : Daphnus présent au concile d’Arles de 314, Auspicius à celui de Riez en 439 et aussi de Vaison en 442... A la fin du VIe s, les sépultures sont réparties dans les ruines des habitats antiques.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La chapelle, dédiée à Saint Quenin, évêque de Vaison au VIème siècle et patron de la ville, est un édifice roman, édifiée dans la seconde moitié du XIIème siècle. La nef fut reconstruite entre 1630 et 1636, grâce à l’évêque, Monseigneur de Suarès. Le site, occupé durant l’époque romaine par une nécropole attestée par de nombreux vestiges, est demeuré longtemps une zone de sépultures. Pour l’agrandissement de la cave coopérative, un secteur a fait l’objet de fouilles : 135 sépultures (datées entre le Vème et la seconde moitié du Vie siècle) aux formes diverses et réutilisant parfois des fragments d’architecture plus anciens ont été mises au jour : coffres avec entourage et couverture de pierre, ou en tuiles, tombes creusées dans la roche et à simple couverture, souvent en tuiles, tombes à fosse sans protection. Dès le IVe s, la communauté religieuse est dirigée par un évêque : Daphnus présent au concile d’Arles de 314, Auspicius à celui de Riez en 439 et aussi de Vaison en 442... A la fin du VIe s, les sépultures sont réparties dans les ruines des habitats antiques.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La façade principale et les façades latérales sont soutenues par de puissants contreforts. La façade principale est surmontée d'un clocher-mur à une seule baie campanaire. Elle est ornée de deux bas-reliefs, probables remplois paléochrétiens.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La façade principale et les façades latérales sont soutenues par de puissants contreforts. La façade principale est surmontée d'un clocher-mur à une seule baie campanaire. Elle est ornée de deux bas-reliefs, probables remplois paléochrétiens.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Le bas-relief qui orne le dessus de la porte représente un vase d'où s'échappent des pampres de vigne et des grappes de raisin, le tout surmonté d’une croix latine gemmée. Ce motif est devenu le blason officiel de la ville de Vaison en 1630 par les consuls de la ville.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Le bas-relief qui orne le dessus de la porte représente un vase d'où s'échappent des pampres de vigne et des grappes de raisin, le tout surmonté d’une croix latine gemmée. Ce motif est devenu le blason officiel de la ville de Vaison en 1630 par les consuls de la ville.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Autre bas-relief : le chrisme (monogramme du Christ). Quenin (Quinis) né à Vaison entre 500 et 510, a été évêque de la ville. Une charte de 910 mentionne la célébration de sa fête mais il est probable que cette vénération est plus ancienne. Quenin a été canonisé par le pape Innocent III en 1205, à la demande de l’évêque Raimbaud II.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Autre bas-relief : le chrisme (monogramme du Christ). Quenin (Quinis) né à Vaison entre 500 et 510, a été évêque de la ville. Une charte de 910 mentionne la célébration de sa fête mais il est probable que cette vénération est plus ancienne. Quenin a été canonisé par le pape Innocent III en 1205, à la demande de l’évêque Raimbaud II.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La nef et la façade ont été reconstruites au XVIIe siècle par la confrérie de Saint-Quenin sous l’impulsion de l’évêque Joseph-Marie de Suarès. Ses armoiries sont visibles à l’extérieur sous le clocheton.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La nef et la façade ont été reconstruites au XVIIe siècle par la confrérie de Saint-Quenin sous l’impulsion de l’évêque Joseph-Marie de Suarès. Ses armoiries sont visibles à l’extérieur sous le clocheton.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Son originalité est son chevet triangulaire avec  les deux baies romanes en plein cintre éclairant l'intérieur de l'abside centrale, mais aussi son appareil mural superbe avec des demi-colonnes à chapiteaux corinthiens  et une corniche à l’antique.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Son originalité est son chevet triangulaire avec les deux baies romanes en plein cintre éclairant l'intérieur de l'abside centrale, mais aussi son appareil mural superbe avec des demi-colonnes à chapiteaux corinthiens et une corniche à l’antique.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Colonne cannelée avec un chapiteau à feuilles d'acanthe.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Colonne cannelée avec un chapiteau à feuilles d'acanthe.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>L'entablement à l'antique avec frise sous corniche. Les trois bandeaux de l'architrave sont constitués d'un décor à l'antique fait de perles et pirouettes et la frise elle-même, constituée de petits panneaux décorés de figures géométriques, d'entrelacs, feuillage, fleurs.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
L'entablement à l'antique avec frise sous corniche. Les trois bandeaux de l'architrave sont constitués d'un décor à l'antique fait de perles et pirouettes et la frise elle-même, constituée de petits panneaux décorés de figures géométriques, d'entrelacs, feuillage, fleurs.
60
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Sur les pilastres d'angles, les dés s'ornent de tableaux décorés de personnages aux diverses postures.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Sur les pilastres d'angles, les dés s'ornent de tableaux décorés de personnages aux diverses postures.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Homme bénissant avec sa main droite.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Homme bénissant avec sa main droite.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Frise de la travée de chœur, avec un  homme tenant un bâton, vêtu d'un grand manteau
et coiffé d'un capuchon et un autre, assis, tenant  un faucon.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Frise de la travée de chœur, avec un homme tenant un bâton, vêtu d'un grand manteau et coiffé d'un capuchon et un autre, assis, tenant un faucon.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Homme au faucon. Il y a deux frises sur la façade Sud, ce qui est peut être la conséquence d’un rehaussement du toit. Au-dessus, une corniche très dégradée à une seule rangée de motifs.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Homme au faucon. Il y a deux frises sur la façade Sud, ce qui est peut être la conséquence d’un rehaussement du toit. Au-dessus, une corniche très dégradée à une seule rangée de motifs.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnage tenant une crosse (Saint Quenin ?).
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnage tenant une crosse (Saint Quenin ?).
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnage barbu aux grandes oreilles.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnage barbu aux grandes oreilles.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Pour les faces Sud-Est et Nord-Est, on ne voit qu’une seule rangée de frises. La corniche semble en meilleur état et comporte deux rangées de motifs.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Pour les faces Sud-Est et Nord-Est, on ne voit qu’une seule rangée de frises. La corniche semble en meilleur état et comporte deux rangées de motifs.
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnage semblant tirer la frise composée d'entrelacs.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnage semblant tirer la frise composée d'entrelacs.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Chapiteau avec une tête humaine
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Chapiteau avec une tête humaine
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Pilastre cannelé à chapiteau corinthien du chevet.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Pilastre cannelé à chapiteau corinthien du chevet.
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Chapiteau historié
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Chapiteau historié
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnage assis tenant un poignard de la main droite. La volute du chapiteau semble figurer une tête frisée ou un lion. Est-ce la représentation du Sacrifice d'Abraham ou Hercule et le lion de Némée ?
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnage assis tenant un poignard de la main droite. La volute du chapiteau semble figurer une tête frisée ou un lion. Est-ce la représentation du Sacrifice d'Abraham ou Hercule et le lion de Némée ?
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnages essayant d'étirer la tête d'une monstre, occupant l'autre volute du chapiteau. Inspiré de modèles romains, ce chapiteau
fait notamment référence à Hercule ouvrant la gueule du Lion de Némée.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnages essayant d'étirer la tête d'une monstre, occupant l'autre volute du chapiteau. Inspiré de modèles romains, ce chapiteau fait notamment référence à Hercule ouvrant la gueule du Lion de Némée.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Personnage les bras levés en signe de vénération. Sur la façade Nord,  les frises sans doute très dégradées ont disparu.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Personnage les bras levés en signe de vénération. Sur la façade Nord, les frises sans doute très dégradées ont disparu.
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La nef à vaisseau unique et à trois travées est voûtée en berceau brisé
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La nef à vaisseau unique et à trois travées est voûtée en berceau brisé
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>L’abside, en cul-de-four nervé, est précédée d'une courte travée sur laquelle ouvrent de biais deux absidioles.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
L’abside, en cul-de-four nervé, est précédée d'une courte travée sur laquelle ouvrent de biais deux absidioles.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La nef unique à trois travées est voûtée en berceau brisé.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La nef unique à trois travées est voûtée en berceau brisé.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès : une tour d'argent, maçonnée de sable, surmontée d'un aigle éployé d'or et couronné de même.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès : une tour d'argent, maçonnée de sable, surmontée d'un aigle éployé d'or et couronné de même.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Clé de voûte avec les armoiries de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
88
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Inscription de l'église. Des chanoines résidaient dans l’abbatia sancti Quinidii qui est alors dite en dehors de la ville.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Inscription de l'église. Des chanoines résidaient dans l’abbatia sancti Quinidii qui est alors dite en dehors de la ville.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Inscription en l'honneur de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Inscription en l'honneur de l’évêque Joseph-Marie de Suarès
90
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>1641, date de la fin de la reconstruction de la nef.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
1641, date de la fin de la reconstruction de la nef.
91
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>2006, date de la dernière restauration.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
2006, date de la dernière restauration.
92
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Ce tableau réalisé à la suite d’un vœu (ex voto) rappelle comment St-Quenin a protégé la ville lors de la venue du nouveau gouverneur de la Provence, Mummol. Le guerrier s’attendant à être reçu avec de nombreux honneurs se sentit offensé par la simplicité de l’accueil de Quenin. Il s’apprêtait à le châtier lui et la population, quand il se trouva envahi de vives douleurs. Saint Quenin, invoquant l’assistance divine, obtint alors sa guérison. Le prélat, coiffé d’une mitre et appuyé sur une crosse est vêtu d’une soutane foncée recouverte de rochet blanc en dentelle, d’une chape et d’une étole pourpres à galon doré. Il est chaussé de rouge. Le visage clément, il bénit Mummol, prosterné à ses pieds, couronne et sceptre déposés en signe de soumission et tendant la main pour toucher le vêtement du prélat en signe de reconnaissance. Il porte une tunique blanche et une cuirasse à lambrequins, un manteau bleu et des chaussures montantes. A l’arrière, sous un- ciel sombre, la ville fortifiée autour de la cathédrale est dominée par un château couronnant la colline. Dans le lointain, apparaît un autre château qui pourrait être celui du Crestet.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Ce tableau réalisé à la suite d’un vœu (ex voto) rappelle comment St-Quenin a protégé la ville lors de la venue du nouveau gouverneur de la Provence, Mummol. Le guerrier s’attendant à être reçu avec de nombreux honneurs se sentit offensé par la simplicité de l’accueil de Quenin. Il s’apprêtait à le châtier lui et la population, quand il se trouva envahi de vives douleurs. Saint Quenin, invoquant l’assistance divine, obtint alors sa guérison. Le prélat, coiffé d’une mitre et appuyé sur une crosse est vêtu d’une soutane foncée recouverte de rochet blanc en dentelle, d’une chape et d’une étole pourpres à galon doré. Il est chaussé de rouge. Le visage clément, il bénit Mummol, prosterné à ses pieds, couronne et sceptre déposés en signe de soumission et tendant la main pour toucher le vêtement du prélat en signe de reconnaissance. Il porte une tunique blanche et une cuirasse à lambrequins, un manteau bleu et des chaussures montantes. A l’arrière, sous un- ciel sombre, la ville fortifiée autour de la cathédrale est dominée par un château couronnant la colline. Dans le lointain, apparaît un autre château qui pourrait être celui du Crestet.
93
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Ce tableau est le plus ancien. Il est peint à la suite du vœu d'un croyant (S. Qvirinidvs. Ex voto). Quenin bénit de la même droite et tient la crosse épiscopale de la gauche. Il est coiffé d'une mitre blanche auréolée. Il est coiffé d'une mitre blanche auréolée. Il est ganté de rouge et vêtu de blanc. Le peintre a soigné le visage, l'attitude est un peu statique.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Ce tableau est le plus ancien. Il est peint à la suite du vœu d'un croyant (S. Qvirinidvs. Ex voto). Quenin bénit de la même droite et tient la crosse épiscopale de la gauche. Il est coiffé d'une mitre blanche auréolée. Il est coiffé d'une mitre blanche auréolée. Il est ganté de rouge et vêtu de blanc. Le peintre a soigné le visage, l'attitude est un peu statique.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Un des lustres.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Un des lustres.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Le chœur roman avec son abside sur laquelle ouvrent de biais deux absidioles.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Le chœur roman avec son abside sur laquelle ouvrent de biais deux absidioles.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>L'autel.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
L'autel.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Une des deux absidioles
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Une des deux absidioles
98
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>La corniche décorée d'oves de l'absidiole.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
La corniche décorée d'oves de l'absidiole.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>L'abside
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
L'abside
100
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Voûte de l'abside, avec l'Agneau au centre.  A la naissance de la voûte en cul-de-four, un petit entablement se compose d'un rang de 
dents d'engrenage, suivi d'un frise à double rais de cœur, d'oves et de fers de lance.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Voûte de l'abside, avec l'Agneau au centre. A la naissance de la voûte en cul-de-four, un petit entablement se compose d'un rang de dents d'engrenage, suivi d'un frise à double rais de cœur, d'oves et de fers de lance.
101
<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>Les six colonnes sont toutes différentes.
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
Les six colonnes sont toutes différentes.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la chapelle Saint-Quenin</center></center>
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<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>C’est sur l’éperon rocheux, marquant le paysage (actuellement occupé par la Haute-Ville), que se sont abritées les populations ligures, puis celto-ligures à partir de l’invasion des Voconces au IV ème siècle avant J. C. Vaison s’appelle alors
Vaison-la-Romaine
C’est sur l’éperon rocheux, marquant le paysage (actuellement occupé par la Haute-Ville), que se sont abritées les populations ligures, puis celto-ligures à partir de l’invasion des Voconces au IV ème siècle avant J. C. Vaison s’appelle alors "Vasio voncontiorum" c’est-à-dire "Vaison des Voconces". Dès avant la conquête romaine, la cité est la capitale de ce peuple d’origine celtique qui occupait un territoire limité par la Durance au sud, l’Isère au nord, le couloir rhodanien à l’ouest, la Durance et les Préalpes à l’est. Avec la conquête romaine Vasio devient "cité fédérée" (et non une colonie). Les Voconces descendent sur la rive droite où se structure progressivement une ville.
107
<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>Après la chute de l’empire romain, Vaison devint un centre religieux relativement important (un évêché y existe dès le IVème siècle) où se réunirent deux conciles, en 442 et 529. jusqu’au XIIème siècle, la ville se développe en plaine autour de la cathédrale (à droite) et du palais épiscopal où elle subit plusieurs invasions dues aux conflits, entre les comtes de Toulouse et les évêques successifs. Au XIIIème siècle la population chercha refuge sur le rocher, au pied du château construit par les Comtes de Toulouse, mais devenu propriété papale.
Vaison-la-Romaine
Après la chute de l’empire romain, Vaison devint un centre religieux relativement important (un évêché y existe dès le IVème siècle) où se réunirent deux conciles, en 442 et 529. jusqu’au XIIème siècle, la ville se développe en plaine autour de la cathédrale (à droite) et du palais épiscopal où elle subit plusieurs invasions dues aux conflits, entre les comtes de Toulouse et les évêques successifs. Au XIIIème siècle la population chercha refuge sur le rocher, au pied du château construit par les Comtes de Toulouse, mais devenu propriété papale.
108
<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>Le site archéologique de la Villasse correspond à un quartier riche et très actif de la ville avec ses rues, ses boutiques et son ensemble thermal.
Vaison-la-Romaine
Le site archéologique de la Villasse correspond à un quartier riche et très actif de la ville avec ses rues, ses boutiques et son ensemble thermal.
109
<center><center>Vaison-la-Romaine </center></center>Vue de la rue du pont romain. Au XIIe s, Vaison est dans le marquisat de Provence des comtes de Toulouse. La ville (civitas vasionensis) est alors située dans la vallée autour de la cathédrale. La rivalité de propriété entre les comtes et les évêques successifs aboutit à la construction du château comtal (fin XIIe s) et au déplacement de la population vers les défenses  naturelles de la hauteur rocheuse. Au milieu du. XIIIe siècle, les droits et les pouvoirs sont réglés (1253) et le comtat Venaissin devient propriété pontificale (1274) ; le bourg sous le château (castrum vasione) compte alors plus de cent maisons. Les constructions s’y poursuivent. La Haute-ville s’entoure de remparts au XIVe siècle pendant la période troublée de la guerre de cent ans. Jusqu'au XVIIIe s, elle s'embellit d'hôtels particuliers et d'édifices publics.
Vaison-la-Romaine
Vue de la rue du pont romain. Au XIIe s, Vaison est dans le marquisat de Provence des comtes de Toulouse. La ville (civitas vasionensis) est alors située dans la vallée autour de la cathédrale. La rivalité de propriété entre les comtes et les évêques successifs aboutit à la construction du château comtal (fin XIIe s) et au déplacement de la population vers les défenses naturelles de la hauteur rocheuse. Au milieu du. XIIIe siècle, les droits et les pouvoirs sont réglés (1253) et le comtat Venaissin devient propriété pontificale (1274) ; le bourg sous le château (castrum vasione) compte alors plus de cent maisons. Les constructions s’y poursuivent. La Haute-ville s’entoure de remparts au XIVe siècle pendant la période troublée de la guerre de cent ans. Jusqu'au XVIIIe s, elle s'embellit d'hôtels particuliers et d'édifices publics.
110
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Remparts du XIVe siècle avec des meurtières. Dès la fin de l'antiquité, la population s'est regroupée autour d'édifices chrétiens dans le secteur ouest de l'ancienne ville antique. La cathédrale N.D. de Nazareth et son cloître témoignent justement de la ville épiscopale du XIIe siècle. À la suite de rivalités de possessions, les comtes de Toulouse l'attaquèrent à plusieurs reprises et firent construire une tour, puis un château sur la hauteur rocheuse de la rive gauche de l'Ouvèze. Cette situation conflictuelle a provoqué l'abandon de la ville de l'évêque. Une nouvelle ville s'est alors établie en contrebas du château au cours de la première moitié du XIIIe siècle. Elle s'y est développée derrière ses remparts jusqu'au XVIIIe siècle entre la cathédrale à l'est, la place du marché à l'ouest, le château au sud.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Remparts du XIVe siècle avec des meurtières. Dès la fin de l'antiquité, la population s'est regroupée autour d'édifices chrétiens dans le secteur ouest de l'ancienne ville antique. La cathédrale N.D. de Nazareth et son cloître témoignent justement de la ville épiscopale du XIIe siècle. À la suite de rivalités de possessions, les comtes de Toulouse l'attaquèrent à plusieurs reprises et firent construire une tour, puis un château sur la hauteur rocheuse de la rive gauche de l'Ouvèze. Cette situation conflictuelle a provoqué l'abandon de la ville de l'évêque. Une nouvelle ville s'est alors établie en contrebas du château au cours de la première moitié du XIIIe siècle. Elle s'y est développée derrière ses remparts jusqu'au XVIIIe siècle entre la cathédrale à l'est, la place du marché à l'ouest, le château au sud.
111
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Remparts du XIVe siècle avec des meurtières. Les remparts qui enserrent ce bourg médiéval ont été en partie édifiés avec des pierres provenant de la ville romaine.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Remparts du XIVe siècle avec des meurtières. Les remparts qui enserrent ce bourg médiéval ont été en partie édifiés avec des pierres provenant de la ville romaine.
112
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
113
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du poids. Il s’y trouvait la première maison commune et la salle du jeu de paume.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du poids. Il s’y trouvait la première maison commune et la salle du jeu de paume.
114
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Rue de l'horloge. Porte Vieille sur barbacane.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Rue de l'horloge. Porte Vieille sur barbacane.
115
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Porte Vieille sur barbacane.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Porte Vieille sur barbacane.
116
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Tour du Beffroi (base du XIVe s.) qui abritait la deuxième maison commune et  la salle de garde de laquelle on actionnait le pont-levis, le grand portail et la herse qui protégeaient l’entrée. Sur le mur, sculpture de Sebastien Zanello.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Tour du Beffroi (base du XIVe s.) qui abritait la deuxième maison commune et la salle de garde de laquelle on actionnait le pont-levis, le grand portail et la herse qui protégeaient l’entrée. Sur le mur, sculpture de Sebastien Zanello.
117
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
118
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Entrée de la salle de garde, établie sous la tour.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Entrée de la salle de garde, établie sous la tour.
119
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Escalier qui menait à la deuxième maison commune (1523-1727).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Escalier qui menait à la deuxième maison commune (1523-1727).
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Rue de l'église.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Rue de l'église.
121
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Croix.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Croix.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L’Hôtel particulier du marquis de Vedène qui devient la troisième maison commune au XVIIIe siècle.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L’Hôtel particulier du marquis de Vedène qui devient la troisième maison commune au XVIIIe siècle.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>La demeure soignée des de Blégiers. La porte est d'origine.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
La demeure soignée des de Blégiers. La porte est d'origine.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale Ste-Marie de l’Assomption.  Dans le courant du XIIIe siècle, à la suite de l'abandon .progressif de la cité médiévale située sur la rive droite, la Haute-Ville se constitue. Une église y est édifiée en 1464 à l'emplacement d'une ancienne chapelle. Elle est située à la limite du vide et englobe à sa base le rempart. Mais elle s'avère exigüe à la fin du XVIe siècle. Débute alors un important chantier (1599 à 1601) comprenant le creusement du rocher au sud. Les derniers travaux d’envergure correspondent à l'élévation de la façade de type Jésuite (1776) qui prolonge légèrement la nef au nord et ennoblit l’entrée.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale Ste-Marie de l’Assomption. Dans le courant du XIIIe siècle, à la suite de l'abandon .progressif de la cité médiévale située sur la rive droite, la Haute-Ville se constitue. Une église y est édifiée en 1464 à l'emplacement d'une ancienne chapelle. Elle est située à la limite du vide et englobe à sa base le rempart. Mais elle s'avère exigüe à la fin du XVIe siècle. Débute alors un important chantier (1599 à 1601) comprenant le creusement du rocher au sud. Les derniers travaux d’envergure correspondent à l'élévation de la façade de type Jésuite (1776) qui prolonge légèrement la nef au nord et ennoblit l’entrée.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale. Pendant la période révolutionnaire, les affrontements militaires et les tensions sociales entre partisans du pape et pro-français ont des répercussions religieuses. L’édifice perd sa fonction cathédrale lors de la réunion en un seul département du Comtat et d'Avignon (6 mars 1791). Seul l'évêché d'Avignon est conservé. À Vaison, l'évêque et les membres du chapitre sont remplacés par un curé constitutionnel. Le dépeuplement continu de la Haute-Ville entraîne le transfert de la paroisse dans l’ancienne cathédrale Notre-Dame de Nazareth en 1897. L'édifice est alors progressivement délaissé. En 2019, ont été posés dix-neuf vitrages artistiques dans les principales baies, offerts par le mécène Léonard Gianadda qui en a confié la création à l'artiste Kim En Joong.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale. Pendant la période révolutionnaire, les affrontements militaires et les tensions sociales entre partisans du pape et pro-français ont des répercussions religieuses. L’édifice perd sa fonction cathédrale lors de la réunion en un seul département du Comtat et d'Avignon (6 mars 1791). Seul l'évêché d'Avignon est conservé. À Vaison, l'évêque et les membres du chapitre sont remplacés par un curé constitutionnel. Le dépeuplement continu de la Haute-Ville entraîne le transfert de la paroisse dans l’ancienne cathédrale Notre-Dame de Nazareth en 1897. L'édifice est alors progressivement délaissé. En 2019, ont été posés dix-neuf vitrages artistiques dans les principales baies, offerts par le mécène Léonard Gianadda qui en a confié la création à l'artiste Kim En Joong.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Planet de l'église.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Planet de l'église.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Planet de l'église.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Planet de l'église.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Vue du Planet. Le Ventoux.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Vue du Planet. Le Ventoux.
129
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale. Le clocher de plan carré, daté de 1470, s'élève au-dessus de la troisième chapelle latérale ouest.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale. Le clocher de plan carré, daté de 1470, s'élève au-dessus de la troisième chapelle latérale ouest.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale. Pot-à-feu de la façade.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale. Pot-à-feu de la façade.
132
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale.
133
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'Eglise-Cathédrale.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'Eglise-Cathédrale.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Plan Pascal avec une belle porte.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Plan Pascal avec une belle porte.
135
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place de l'Orme. Un orme existait autrefois sur la place éponyme. Sans que l’on puisse en déterminer la raison deux habitants l’ont abattu le 1 mai 1647. La fontaine de la Place de l’Orme fait partie des deux dernières fontaines remises en valeur en 2011 par l’APHV (Association pour la protection de la Haute-Ville). Derrière, les restes de la chapelle dédiée à Sainte-Constance .
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place de l'Orme. Un orme existait autrefois sur la place éponyme. Sans que l’on puisse en déterminer la raison deux habitants l’ont abattu le 1 mai 1647. La fontaine de la Place de l’Orme fait partie des deux dernières fontaines remises en valeur en 2011 par l’APHV (Association pour la protection de la Haute-Ville). Derrière, les restes de la chapelle dédiée à Sainte-Constance .
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place de l'Orme. Les restes de la chapelle dédiée à Sainte-Constance. Cette reine d’Aragon d’une grande charité et à la foi profonde est la mère de Sainte-Elisabeth du Portugal. Dans le Paradis de Dante elle est « La Bonne Constance »
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place de l'Orme. Les restes de la chapelle dédiée à Sainte-Constance. Cette reine d’Aragon d’une grande charité et à la foi profonde est la mère de Sainte-Elisabeth du Portugal. Dans le Paradis de Dante elle est « La Bonne Constance »
137
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place de l'Orme. L’ancien presbytère.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place de l'Orme. L’ancien presbytère.
138
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place de l'Orme. Le portail XVIII ème siècle de la maison du Prévôt du Chapitre.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place de l'Orme. Le portail XVIII ème siècle de la maison du Prévôt du Chapitre.
139
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Montée du Chapitre. Plaque commémorative en l'honneur de Guy Mounerau (1890-1976), journaliste, grand reporter, écrivain et poète qui séjourna à Vaison de 1933 à 1976 et fit de nombreux dons à la ville et à la paroisse.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Montée du Chapitre. Plaque commémorative en l'honneur de Guy Mounerau (1890-1976), journaliste, grand reporter, écrivain et poète qui séjourna à Vaison de 1933 à 1976 et fit de nombreux dons à la ville et à la paroisse.
140
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Au début du XIIème siècle, Vaison fait partie du marquisat de Provence qui dépend du comte de Toulouse. Ce dernier se heurte à l’évêque, seul maître et seigneur de la ville depuis 1108, au sujet de leurs possessions. Pour affirmer son pouvoir, Raymond VI fait élever une tour en bois en 1180. Elle est remplacée par un donjon de pierre (Turris) avec entrée au 1er étage vers 1193-1195.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Au début du XIIème siècle, Vaison fait partie du marquisat de Provence qui dépend du comte de Toulouse. Ce dernier se heurte à l’évêque, seul maître et seigneur de la ville depuis 1108, au sujet de leurs possessions. Pour affirmer son pouvoir, Raymond VI fait élever une tour en bois en 1180. Elle est remplacée par un donjon de pierre (Turris) avec entrée au 1er étage vers 1193-1195.
141
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Au début du XIIIème siècle, deux corps de bâtiment sont ajoutés, comprenant, au 1er- étage, cuisine, grande salle (aulas de 58 m²) appartements privés (chambres) et au rez-de-chaussée, les communs (celliers, citerne...). La résidence garde un caractère militaire avec ses façades austères.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Au début du XIIIème siècle, deux corps de bâtiment sont ajoutés, comprenant, au 1er- étage, cuisine, grande salle (aulas de 58 m²) appartements privés (chambres) et au rez-de-chaussée, les communs (celliers, citerne...). La résidence garde un caractère militaire avec ses façades austères.
142
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). En 1274, l'Eglise hérite du marquisat de Provence et se fait représenter ou château par un capitaine et quelques soldats.
Au .début du XVIème siècle, des travaux de fortification sont entrepris, puis la salle - basse du donjon devient un cachot, avec un accès direct pat le rez-de-chaussée. Dans les ailes, différents espaces sont aménagés à l’aide de cloisons de plâtre (chambre, oratoire, cuisine:..) et un niveau supplémentaire est créé avec la mise, en place d'un plancher au-dessus des bandeaux, sous les voûtes.
Les conditions de vie des soldats sont médiocres, leur capitaine réside en ville. L'édifice n'est plus entretenu, se délabre peu à peu, puis est abandonné.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). En 1274, l'Eglise hérite du marquisat de Provence et se fait représenter ou château par un capitaine et quelques soldats. Au .début du XVIème siècle, des travaux de fortification sont entrepris, puis la salle - basse du donjon devient un cachot, avec un accès direct pat le rez-de-chaussée. Dans les ailes, différents espaces sont aménagés à l’aide de cloisons de plâtre (chambre, oratoire, cuisine:..) et un niveau supplémentaire est créé avec la mise, en place d'un plancher au-dessus des bandeaux, sous les voûtes. Les conditions de vie des soldats sont médiocres, leur capitaine réside en ville. L'édifice n'est plus entretenu, se délabre peu à peu, puis est abandonné.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
144
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Le château est composé de trois corps de bâtiments, flanqués d’un donjon carré, entourant une cour intérieure. Les remaniements et les adjonctions (bretèche, échauguette, barbacane) datent du XVème siècle. Ils confirment la fonction militaire du château, qui est un poste de surveillance plus qu’une résidence seigneuriale. L’édifice n’est plus occupé à partir de 1791, date à laquelle il est vendu à la communauté de Vaison.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). Le château est composé de trois corps de bâtiments, flanqués d’un donjon carré, entourant une cour intérieure. Les remaniements et les adjonctions (bretèche, échauguette, barbacane) datent du XVème siècle. Ils confirment la fonction militaire du château, qui est un poste de surveillance plus qu’une résidence seigneuriale. L’édifice n’est plus occupé à partir de 1791, date à laquelle il est vendu à la communauté de Vaison.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
146
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
147
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). L'étendard porte les armes de Vaison.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.). L'étendard porte les armes de Vaison.
148
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Vue du château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Vue du château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
149
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Vue du château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Vue du château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Le château comtal (fin XIIe s.-XVIe s.).
151
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Four dégagé en janvier 2017. Propriété privée. Fours banaux Communaux. Les banalités désignaient l'obligation pour les habitants d'utiliser des installations entretenues par le seigneur du lieu. En contrepartie, les usagers réglaient une redevance. Les fours banaux et les réserves à grains étaient établis dans cette rue depuis fort longtemps sans que l'on sache si cela remonte à l'établissement de la population dans la Haute- Ville au XIIIe s. A cette époque, le four appartient au comte de Toulouse, marquis de Provence. A partir de 1274, le Comtat Venaissin est désormais un territoire du pape. Le four, ainsi que les autres aménagements techniques (moulin à blé et un moulin à huile en bordure d'Ouvèze) compris dans les banalités, sont alors détenus par le nouveau seigneur local, l'évêque. En 1722, l'évêque Gualteri reconnaît la pauvreté de la population et cède la banalité des fours à la communauté. En 1793, la disparition définitive des banalités sur tout le territoire est une conséquence de la révolution française.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Four dégagé en janvier 2017. Propriété privée. Fours banaux Communaux. Les banalités désignaient l'obligation pour les habitants d'utiliser des installations entretenues par le seigneur du lieu. En contrepartie, les usagers réglaient une redevance. Les fours banaux et les réserves à grains étaient établis dans cette rue depuis fort longtemps sans que l'on sache si cela remonte à l'établissement de la population dans la Haute- Ville au XIIIe s. A cette époque, le four appartient au comte de Toulouse, marquis de Provence. A partir de 1274, le Comtat Venaissin est désormais un territoire du pape. Le four, ainsi que les autres aménagements techniques (moulin à blé et un moulin à huile en bordure d'Ouvèze) compris dans les banalités, sont alors détenus par le nouveau seigneur local, l'évêque. En 1722, l'évêque Gualteri reconnaît la pauvreté de la population et cède la banalité des fours à la communauté. En 1793, la disparition définitive des banalités sur tout le territoire est une conséquence de la révolution française.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Lavoir couvert.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Lavoir couvert.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Rue des Fours, ancienne rue Neuve.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Rue des Fours, ancienne rue Neuve.
154
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Montée de la Piégonne.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Montée de la Piégonne.
155
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du vieux marché.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du vieux marché.
156
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du vieux marché. Dans la cité médiévale, le Pilori était installé sur la place du Vieux Marché. C’était un espace où l’on attachait un condamné à un pilier ou à un mur à l’aide d’un carcan (collier métallique), pour un délai déterminé. Le but était d’exposer la personne à la vue des passants en indiquant sur une pancarte la nature de son délit et ainsi de servir d’exemple à la population. La petite place ombragée accueille depuis le XVIIIème, près d’un arbre datant de plusieurs siècles, une belle fontaine en pierre.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du vieux marché. Dans la cité médiévale, le Pilori était installé sur la place du Vieux Marché. C’était un espace où l’on attachait un condamné à un pilier ou à un mur à l’aide d’un carcan (collier métallique), pour un délai déterminé. Le but était d’exposer la personne à la vue des passants en indiquant sur une pancarte la nature de son délit et ainsi de servir d’exemple à la population. La petite place ombragée accueille depuis le XVIIIème, près d’un arbre datant de plusieurs siècles, une belle fontaine en pierre.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du vieux marché. Une pile centrale supporte un réservoir à couvercle d’écailles. Autour de ce réceptacle trois mascarons crachent leur eau vers le bassin rond .
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du vieux marché. Une pile centrale supporte un réservoir à couvercle d’écailles. Autour de ce réceptacle trois mascarons crachent leur eau vers le bassin rond .
158
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du vieux marché. Une pile centrale supporte un réservoir à couvercle d’écailles. Sur le mur de derrière, une plaque indique l’emplacement du pilori (carcan).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du vieux marché. Une pile centrale supporte un réservoir à couvercle d’écailles. Sur le mur de derrière, une plaque indique l’emplacement du pilori (carcan).
159
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Porte ogivale du quartier juif (XIVe s.).
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Porte ogivale du quartier juif (XIVe s.).
160
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Place du vieux marché.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Place du vieux marché.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Emplacement de l’ancien évêché (XVII-XVIIIe s.)
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Emplacement de l’ancien évêché (XVII-XVIIIe s.)
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Emplacement de l’ancien évêché (XVII-XVIIIe s.)
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Emplacement de l’ancien évêché (XVII-XVIIIe s.)
163
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'hôtel du marquis de Taulignan (XVIIème siècle) jouxte la chapelle des Pénitents Blancs.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'hôtel du marquis de Taulignan (XVIIème siècle) jouxte la chapelle des Pénitents Blancs.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>L'hôtel du marquis de Taulignan (XVIIème siècle) jouxte la chapelle des Pénitents Blancs.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
L'hôtel du marquis de Taulignan (XVIIème siècle) jouxte la chapelle des Pénitents Blancs.
165
<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Chapelle des pénitents blancs (XVIIe s.) Après que Monseigneur de Cheysolme leur ait donné leurs statuts en 1602, les Pénitents Blancs s’installèrent en 1639 à cet endroit. La chapelle a été consacrée en 1664 par Monseigneur Joseph-Marie de Suarès et dédiée à notre dame de la pitié. Elle a été rénovée en 1739. L'inscription sur le linteau est le témoin de ce temps: «FACITE FRUCTUS DIGNOS.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Chapelle des pénitents blancs (XVIIe s.) Après que Monseigneur de Cheysolme leur ait donné leurs statuts en 1602, les Pénitents Blancs s’installèrent en 1639 à cet endroit. La chapelle a été consacrée en 1664 par Monseigneur Joseph-Marie de Suarès et dédiée à notre dame de la pitié. Elle a été rénovée en 1739. L'inscription sur le linteau est le témoin de ce temps: «FACITE FRUCTUS DIGNOS.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Ancien hôtel particulier de la famille Fabre de Saint-Véran (XVIIIe). Il possède deux encadrements de porte du XVIème siècle parfaitement conservés.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Ancien hôtel particulier de la famille Fabre de Saint-Véran (XVIIIe). Il possède deux encadrements de porte du XVIème siècle parfaitement conservés.
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<center><center>Vaison-la-Romaine : la haute-ville.</center></center>Ancien hôtel particulier de la famille Fabre de Saint-Véran (XVIIIe). Il possède deux encadrements de porte du XVIème siècle parfaitement conservés.
Vaison-la-Romaine : la haute-ville.
Ancien hôtel particulier de la famille Fabre de Saint-Véran (XVIIIe). Il possède deux encadrements de porte du XVIème siècle parfaitement conservés.
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