Tuilerie de Bossy-Métiers d'Art, Château de Gueydan, Pavillon de Chasse du Roy René.

<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre.</center>Une première Tuilerie est citée dans un acte du 12 août 1445, comme étant à l'est du château près du chemin de Gardanne. L'emplacement de la Tuilerie actuelle correspond aussi à cette description, mais rien ne permet d'affirmer qu'elle se trouve sur le môme emplacement. Une faïencerie a été construite en 1723 par P. De Gueydan au petit Valabre, et donnée à bail à Louis Carbonnel, de Marseille, puis à Jean-François Ollivier, peintre en faïence à Puymoisson. Son activité devait être très réduite, et elle n'est plus citée dans les inventaires de la succession de P. Gueydan en 1734.
Enfin, une briqueterie industrielle a fonctionné dans les années 1950 au hameau de Valabre. Elle a cessé depuis son activité.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre.
Une première Tuilerie est citée dans un acte du 12 août 1445, comme étant à l'est du château près du chemin de Gardanne. L'emplacement de la Tuilerie actuelle correspond aussi à cette description, mais rien ne permet d'affirmer qu'elle se trouve sur le môme emplacement. Une faïencerie a été construite en 1723 par P. De Gueydan au petit Valabre, et donnée à bail à Louis Carbonnel, de Marseille, puis à Jean-François Ollivier, peintre en faïence à Puymoisson. Son activité devait être très réduite, et elle n'est plus citée dans les inventaires de la succession de P. Gueydan en 1734. Enfin, une briqueterie industrielle a fonctionné dans les années 1950 au hameau de Valabre. Elle a cessé depuis son activité.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Les fours. En 1820, un jeune homme né à Aix-en-Provence près de Puyricard, Pyrame Bossy, épouse Henriette Maselaux, déclarée fille naturelle, née à Aix en 1796, et confiée aux Vidal, à Valabre. l s'engage par son mariage à vivre sa vie durant avec son épouse chez ses beaux-parents, qui leur donnent en guise de cadeau de mariage un terrain situé aux Moulières, à Valabre, qui sera celui de la Tuilerie. La légende familiale raconte qu’un compagnon potier du tour de France est hébergé par Pyrame. Participant aux travaux de la terre, il remarque la grande qualité de l'argile, et conseille à Pyrame de l'exploiter. Celui-ci crée une fabrique de produits céramiques, officiellement déclarée en 1836, année de fondation.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Les fours. En 1820, un jeune homme né à Aix-en-Provence près de Puyricard, Pyrame Bossy, épouse Henriette Maselaux, déclarée fille naturelle, née à Aix en 1796, et confiée aux Vidal, à Valabre. l s'engage par son mariage à vivre sa vie durant avec son épouse chez ses beaux-parents, qui leur donnent en guise de cadeau de mariage un terrain situé aux Moulières, à Valabre, qui sera celui de la Tuilerie. La légende familiale raconte qu’un compagnon potier du tour de France est hébergé par Pyrame. Participant aux travaux de la terre, il remarque la grande qualité de l'argile, et conseille à Pyrame de l'exploiter. Celui-ci crée une fabrique de produits céramiques, officiellement déclarée en 1836, année de fondation.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Les fours. Le premier document familial faisant état de la Tuilerie est un bail établi en 1840, donnant la Tuilerie en location avec son matériel à des artisans potiers (Louis Troin et Marius Fellen). Les bâtiments de la Tuilerie mélangent alors habitations et ateliers. Le matériel est sommaire, et comprend un four existant encore de nos jours. Ils produisent essentiellement des poteries tournées et des tuiles, ainsi que des moellons.
En 1850, Pyrame donne la fabrique à son fils Louis, qui l'exploite lui-même. Sous sa forte impulsion, il développe la production de tuiles, moellons, et surtout de pièces tournées (tuyaux et vases). Léopold lui succède à sa mort, en 1898. Il maintient l’activité, dans le respect de la tradition paternelle.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Les fours. Le premier document familial faisant état de la Tuilerie est un bail établi en 1840, donnant la Tuilerie en location avec son matériel à des artisans potiers (Louis Troin et Marius Fellen). Les bâtiments de la Tuilerie mélangent alors habitations et ateliers. Le matériel est sommaire, et comprend un four existant encore de nos jours. Ils produisent essentiellement des poteries tournées et des tuiles, ainsi que des moellons. En 1850, Pyrame donne la fabrique à son fils Louis, qui l'exploite lui-même. Sous sa forte impulsion, il développe la production de tuiles, moellons, et surtout de pièces tournées (tuyaux et vases). Léopold lui succède à sa mort, en 1898. Il maintient l’activité, dans le respect de la tradition paternelle.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Les fours. Joseph, un des fils de Léopold, lui succède à sa mort en 1929. Il étend les bâtiments, introduit des nouvelles machines. La qualité de sa production et sa compétence amène vers la Tuilerie tout un monde d'artistes en céramique dans l'immédiat après-guerre. Joseph a un fils, Georges, né en 1923, qui lui succède en 1952. Mais c'est davantage l'épouse de Georges, Colette, qui prend en charge l'exploitation. Elle développe considérablement l'activité d'émaillage, rachetant pour cela la société Céramidi à Marseille. Au début des années 1970, suite à de graves problèmes de santé, Georges ne peut plus continuer l'exploitation, qui s'arrêtera progressivement. En 2003, Daniel succède à son père, et entame aussitôt une longue période de réhabilitation de la Tuilerie, afin de développer un centre d'Artisanat d'Art, dans la poursuite de la tradition familiale. Rapidement, des Artistes et Artisans adhèrent à ce projet, en particulier Myriam Rétif, avec qui il crée en 2006 l'association
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Les fours. Joseph, un des fils de Léopold, lui succède à sa mort en 1929. Il étend les bâtiments, introduit des nouvelles machines. La qualité de sa production et sa compétence amène vers la Tuilerie tout un monde d'artistes en céramique dans l'immédiat après-guerre. Joseph a un fils, Georges, né en 1923, qui lui succède en 1952. Mais c'est davantage l'épouse de Georges, Colette, qui prend en charge l'exploitation. Elle développe considérablement l'activité d'émaillage, rachetant pour cela la société Céramidi à Marseille. Au début des années 1970, suite à de graves problèmes de santé, Georges ne peut plus continuer l'exploitation, qui s'arrêtera progressivement. En 2003, Daniel succède à son père, et entame aussitôt une longue période de réhabilitation de la Tuilerie, afin de développer un centre d'Artisanat d'Art, dans la poursuite de la tradition familiale. Rapidement, des Artistes et Artisans adhèrent à ce projet, en particulier Myriam Rétif, avec qui il crée en 2006 l'association "les Ateliers d'Art de Valabre''.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>L'Atelier Partagé, céramistes.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
L'Atelier Partagé, céramistes.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Le four.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Le four.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Tapissier d'ameublement, Marie Gasser.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Tapissier d'ameublement, Marie Gasser.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Bijouterie et joaillerie, Zoé Lejeune.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Bijouterie et joaillerie, Zoé Lejeune.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Bijouterie et joaillerie, Zoé Lejeune. Les bancs de laminage : à gauche, pour les fils, à droite, pour les plaques.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Bijouterie et joaillerie, Zoé Lejeune. Les bancs de laminage : à gauche, pour les fils, à droite, pour les plaques.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Créatrice, Linda Fina.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Créatrice, Linda Fina.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Sculpteur raku plasticienne, Myriam Rétif.
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Sculpteur raku plasticienne, Myriam Rétif.
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<center>La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre</center>Roue pour écraser la terre. Le nom de Valabre pourrait provenir du latin volutabrum, avec le sens de bourbier, bauge, que l'on retrouve dans le toponyme Valabre, aussi rencontré dans les Alpes-Maritimes. Une autre étymologie peut aussi être retenue.
En effet, le nom de Valabre n'est cité qu'à partir du 16ème siècle, mais dans un acte de 1299, le lieu est nommé
La Tuilerie Bossy. Domaine de Valabre
Roue pour écraser la terre. Le nom de Valabre pourrait provenir du latin volutabrum, avec le sens de bourbier, bauge, que l'on retrouve dans le toponyme Valabre, aussi rencontré dans les Alpes-Maritimes. Une autre étymologie peut aussi être retenue. En effet, le nom de Valabre n'est cité qu'à partir du 16ème siècle, mais dans un acte de 1299, le lieu est nommé "Lavabre". En Occitan, Vabre désigne un ravin, un torrent encaissé, ce qui correspond bien à l'endroit. De fait, Valabre est une terre argileuse, humide, boisée, propice au développement de la céramique, qui nécessite la matière première, l'eau, et le feu.
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<center>Gardanne.</center>La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39.
Gardanne.
La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39.
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<center>Écomusée de la forêt Méditerranéenne</center>Le moulin.
Écomusée de la forêt Méditerranéenne
Le moulin.
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<center>Écomusée de la forêt Méditerranéenne</center>Le moulin.
Écomusée de la forêt Méditerranéenne
Le moulin.
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<center>Écomusée de la forêt Méditerranéenne</center>Le moulin.
Écomusée de la forêt Méditerranéenne
Le moulin.
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<center>Écomusée de la forêt Méditerranéenne</center>La meule dormante du moulin.
Écomusée de la forêt Méditerranéenne
La meule dormante du moulin.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Bassin pour élever les poissons. Les Gueidan est une famille bourgeoise de Reillane qui connut une rapide ascension et acquit la noblesse par charge. Lors des enquêtes de noblesse ordonnées par Louis XIV, les Gueydan tentèrent de se rattacher frauduleusement, ou par défaut d'une tradition suffisamment solide, à d'anciens barons de Gueydan, illustrés par Elzéar-Christol de Gueydan gouverneur de Forcalquier, tué au siège de la Rochelle, et son fils Pierre de Gueidan, capitaine sous la Ligue, nommé par lettres patentes du roi gouverneur de Forcalquier en 1593. Cette prétention et la falsification de titres qui en a suivi, doit pouvoir être tempéré, par une certaine prudence quant aux origines véritables des Gueydan de Reillane dont la position sociale était loin d'être négligeable et dont l'origine antérieure à 1550 reste encore non élucidée.
Le château de Gueydan.
Bassin pour élever les poissons. Les Gueidan est une famille bourgeoise de Reillane qui connut une rapide ascension et acquit la noblesse par charge. Lors des enquêtes de noblesse ordonnées par Louis XIV, les Gueydan tentèrent de se rattacher frauduleusement, ou par défaut d'une tradition suffisamment solide, à d'anciens barons de Gueydan, illustrés par Elzéar-Christol de Gueydan gouverneur de Forcalquier, tué au siège de la Rochelle, et son fils Pierre de Gueidan, capitaine sous la Ligue, nommé par lettres patentes du roi gouverneur de Forcalquier en 1593. Cette prétention et la falsification de titres qui en a suivi, doit pouvoir être tempéré, par une certaine prudence quant aux origines véritables des Gueydan de Reillane dont la position sociale était loin d'être négligeable et dont l'origine antérieure à 1550 reste encore non élucidée.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Pierre de GUEIDAN écuyer d'Aix, achète en 1681 une maison sur le grand cours d’Aix (hôtel de Gueidan, 22 cours Mirabeau) et en 1683 le domaine de Valabre près de Gardanne, transforme la bastide en château et agrandit le domaine. Il épouse par contrat du 27 mars 1677, Madeleine de TRETS née en 1657 à Aix, fille de Charles, conseiller au parlement de Provence, et de Louise de LIEUTAUD. Leur fils, Gaspard de GUEIDAN avocat général au parlement de Provence, nommé en 1740 président à mortier au parlement, fait ériger en fief le domaine de Valabre, et rénove le château qui prend parfois le nom de château de Gueidan. En 1746, il demande l'autorisation de donner à ce domaine le nom de Gueidan, sa requête est acceptée. L'année suivante il demande que cette acquisition soit décorée du titre de marquisat. En mai 1752 par lettres patentes de Versailles, il obtient satisfaction et peut désormais porter le titre de Marquis de Gueidan. Il épouse en 1724 à Aix, alors âgé de 36 ans, Angélique de SIMIANE de la Tour, fille de Joseph, marquis de SIMIANE, et de feue Marguerite de VALBELLE.
Le château de Gueydan.
Pierre de GUEIDAN écuyer d'Aix, achète en 1681 une maison sur le grand cours d’Aix (hôtel de Gueidan, 22 cours Mirabeau) et en 1683 le domaine de Valabre près de Gardanne, transforme la bastide en château et agrandit le domaine. Il épouse par contrat du 27 mars 1677, Madeleine de TRETS née en 1657 à Aix, fille de Charles, conseiller au parlement de Provence, et de Louise de LIEUTAUD. Leur fils, Gaspard de GUEIDAN avocat général au parlement de Provence, nommé en 1740 président à mortier au parlement, fait ériger en fief le domaine de Valabre, et rénove le château qui prend parfois le nom de château de Gueidan. En 1746, il demande l'autorisation de donner à ce domaine le nom de Gueidan, sa requête est acceptée. L'année suivante il demande que cette acquisition soit décorée du titre de marquisat. En mai 1752 par lettres patentes de Versailles, il obtient satisfaction et peut désormais porter le titre de Marquis de Gueidan. Il épouse en 1724 à Aix, alors âgé de 36 ans, Angélique de SIMIANE de la Tour, fille de Joseph, marquis de SIMIANE, et de feue Marguerite de VALBELLE.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Le fils de Gaspard et d'Angélique de Simiane,  Joseph Gaspard, né en 1725, mort en 1784, est donc le 2e marquis de Gueydan, chevalier, seigneur de Castellet, Aurenc, Mousteiret, Villemus et autres terres. Il épouse en 1764 à Gardanne Claire Marie Hélène de Clapiers Collongues, puis, en 1781, Henriette de Félix d’Ollières, dont il eut comme fils Alphonse, 3e marquis de Gueydan, conseiller général, propriétaire du château de Castellet, né en 1783, décédé le 24 août 1853, sans postérité, et qui épouse en 1823 à Aix, Joséphine SIBILLOT. A la mort d'Alphonse, elle se remarie en  1863 à Jules LEMERCIER de MAISONCELLE de RICHEMONT, né en 1803 à Lamentin (Guadeloupe), et meurt le 15 mars 1882.
Le château de Gueydan.
Le fils de Gaspard et d'Angélique de Simiane, Joseph Gaspard, né en 1725, mort en 1784, est donc le 2e marquis de Gueydan, chevalier, seigneur de Castellet, Aurenc, Mousteiret, Villemus et autres terres. Il épouse en 1764 à Gardanne Claire Marie Hélène de Clapiers Collongues, puis, en 1781, Henriette de Félix d’Ollières, dont il eut comme fils Alphonse, 3e marquis de Gueydan, conseiller général, propriétaire du château de Castellet, né en 1783, décédé le 24 août 1853, sans postérité, et qui épouse en 1823 à Aix, Joséphine SIBILLOT. A la mort d'Alphonse, elle se remarie en 1863 à Jules LEMERCIER de MAISONCELLE de RICHEMONT, né en 1803 à Lamentin (Guadeloupe), et meurt le 15 mars 1882.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Le château de Valabre et le domaine de 250 ha qui l'entoure, sont légués, le 10 mai 1880, à la ville de Gardanne, par Françoise Sibilot (an VI-1882), marquise de Gueydan, à condition « d'y fonder et faire fonctionner un établissement public qui prendra le nom d'Institut agronomique de Valabre et sera destiné à élever, instruire et former des jeunes gens dans la science et la pratique de l'agriculture ». Il est fermé entre 1943 et 1946. En 1967, le sous-préfet Francis Arrighi installe, au château de Valabre, le Centre inter-régional de formation de la sécurité civile (CIFSC), devenu École d'application de sécurité civile (ECASC). En 1970, le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA) est ouvert aux stagiaires adultes et aux apprentis. 
1979 voit la création du Centre inter-régional de coordination opérationnelle de la sécurité civile (CIRCOSC), devenu le Centre opérationnel de zone (COZ) dans un préfabriqué près du CIFSC. Un bâtiment en dur est construit en 1985, utilisé conjointement par le COZ et le ECASC.
Le château de Gueydan.
Le château de Valabre et le domaine de 250 ha qui l'entoure, sont légués, le 10 mai 1880, à la ville de Gardanne, par Françoise Sibilot (an VI-1882), marquise de Gueydan, à condition « d'y fonder et faire fonctionner un établissement public qui prendra le nom d'Institut agronomique de Valabre et sera destiné à élever, instruire et former des jeunes gens dans la science et la pratique de l'agriculture ». Il est fermé entre 1943 et 1946. En 1967, le sous-préfet Francis Arrighi installe, au château de Valabre, le Centre inter-régional de formation de la sécurité civile (CIFSC), devenu École d'application de sécurité civile (ECASC). En 1970, le Centre de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA) est ouvert aux stagiaires adultes et aux apprentis. 1979 voit la création du Centre inter-régional de coordination opérationnelle de la sécurité civile (CIRCOSC), devenu le Centre opérationnel de zone (COZ) dans un préfabriqué près du CIFSC. Un bâtiment en dur est construit en 1985, utilisé conjointement par le COZ et le ECASC.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Ce château du XVIIe (entre 1600-1635), exemple du style baroque en Provence, est construit sur les fondations d’une construction bien plus ancienne. La porte est encadrée par 4 pilastres à impostes, surmontée d'un fronton. Les fenêtres sont à balustres.
Le château de Gueydan.
Ce château du XVIIe (entre 1600-1635), exemple du style baroque en Provence, est construit sur les fondations d’une construction bien plus ancienne. La porte est encadrée par 4 pilastres à impostes, surmontée d'un fronton. Les fenêtres sont à balustres.
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<center>Le château de Gueydan.</center>A gauche, les deux croix de Toulouse en position 1-4, et au centre, les trois losanges viennent des armes des Gueidan. En position 2-3, les tours et les fleurs de lis viennent des armes des Simiane. A droite, les lions viennent des armes Valbelle.
Le château de Gueydan.
A gauche, les deux croix de Toulouse en position 1-4, et au centre, les trois losanges viennent des armes des Gueidan. En position 2-3, les tours et les fleurs de lis viennent des armes des Simiane. A droite, les lions viennent des armes Valbelle. Au-dessus, la couronne des marquis.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Dans les coins, deux petits balcons supportés par des colonnes à impostes.
Le château de Gueydan.
Dans les coins, deux petits balcons supportés par des colonnes à impostes.
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<center>Le château de Gueydan.</center>La corniche à pieds-droits..
Le château de Gueydan.
La corniche à pieds-droits..
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<center>Le château de Gueydan.</center>Le salon de la Marquise.
Le château de Gueydan.
Le salon de la Marquise.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Alphonse de GUEYDAN 3e marquis de Gueydan, conseiller général, épouse en 1823 à Aix, Joséphine SIBILLOT. Elle meurt le 15 mars 1882 après avoir légué par testament à la ville de Gardanne le château de Valabre afin d'y fonder un institut agronomique, et offert son hôtel d'Aix afin d'y loger le premier magistrat de la cour. Elle avait à Gardanne une réputation de bonté et de bienveillance « La bonne personne » disait-on en parlant d'elle.
Le château de Gueydan.
Alphonse de GUEYDAN 3e marquis de Gueydan, conseiller général, épouse en 1823 à Aix, Joséphine SIBILLOT. Elle meurt le 15 mars 1882 après avoir légué par testament à la ville de Gardanne le château de Valabre afin d'y fonder un institut agronomique, et offert son hôtel d'Aix afin d'y loger le premier magistrat de la cour. Elle avait à Gardanne une réputation de bonté et de bienveillance « La bonne personne » disait-on en parlant d'elle.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Le salon de la Marquise.
Le château de Gueydan.
Le salon de la Marquise.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Adélaïde de Gueydan (1725-1786) et sa soeur Catherine. Ce sont les filles de Gaspard de GUEIDAN et d'Angélique de SIMIANE de la Tour.
Le château de Gueydan.
Adélaïde de Gueydan (1725-1786) et sa soeur Catherine. Ce sont les filles de Gaspard de GUEIDAN et d'Angélique de SIMIANE de la Tour.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Jean, 1674.
Le château de Gueydan.
Jean, 1674.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Angélique de Simiane et Adélaïde ?
Le château de Gueydan.
Angélique de Simiane et Adélaïde ?
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<center>Le château de Gueydan.</center>Plusieurs fils de Gaspard furent chevalier de Malte.
Le château de Gueydan.
Plusieurs fils de Gaspard furent chevalier de Malte.
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<center>Le château de Gueydan.</center>
Le château de Gueydan.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Henry, 1713.
Le château de Gueydan.
Henry, 1713.
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<center>Le château de Gueydan.</center>
Le château de Gueydan.
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<center>Le château de Gueydan.</center>
Le château de Gueydan.
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<center>Le château de Gueydan.</center>
Le château de Gueydan.
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<center>Le château de Gueydan.</center>A gauche, les deux croix de Toulouse en position 1-4, et au centre, les trois losanges. viennent des armes des Gueidan. En position 2-3, les tours et les fleurs de lis viennent des armes des Simiane. A droite, les lions viennent des armes Valbelle. A gauche, une licorne, à droite, Hercule.
Le château de Gueydan.
A gauche, les deux croix de Toulouse en position 1-4, et au centre, les trois losanges. viennent des armes des Gueidan. En position 2-3, les tours et les fleurs de lis viennent des armes des Simiane. A droite, les lions viennent des armes Valbelle. A gauche, une licorne, à droite, Hercule. Au-dessus, la couronne des marquis.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries.
Le château de Gueydan.
Les écuries.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Elles sont creusées dans le rocher.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Elles sont creusées dans le rocher.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Les mangeoires.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Les mangeoires.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Le côté droit.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Le côté droit.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Le côté droit.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Le côté droit.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Le côté gauche. Au dessus des colonnes, le départ des arcatures nous indique que le plafond était voûté.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Le côté gauche. Au dessus des colonnes, le départ des arcatures nous indique que le plafond était voûté.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. Le côté gauche.
Le château de Gueydan.
Les écuries. Le côté gauche.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Les écuries. La porte s'ouvre au niveau de la route, donc en soubassement du château.
Le château de Gueydan.
Les écuries. La porte s'ouvre au niveau de la route, donc en soubassement du château.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Façade arrière.
Le château de Gueydan.
Façade arrière.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Façade arrière.
Le château de Gueydan.
Façade arrière.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Façade arrière.
Le château de Gueydan.
Façade arrière.
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<center>Le château de Gueydan.</center>L'escalier qui monte au jardin.
Le château de Gueydan.
L'escalier qui monte au jardin.
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<center>Le château de Gueydan.</center>L'escalier du jardin.
Le château de Gueydan.
L'escalier du jardin.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Volute de l'escalier.
Le château de Gueydan.
Volute de l'escalier.
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<center>Le château de Gueydan.</center>Le jardin à l'italienne.
Le château de Gueydan.
Le jardin à l'italienne.
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<center>La rivière Luynes.</center>Selon A. de Coston, le nom « Luynes » provient de l'ancien français « losne » et signifie « rivière » ou « cours d'eau ».
La longueur de son cours d'eau est de 19km. La Luynes prend sa source à l'altitude de 455 mètres sur la commune de Mimet au nord du Baou Trauqua (massif de l'Etoile). La Luynes rejoint l'arc (en rive gauche) à la Pioline sur la commune d'Aix-en-Provence .
La Luynes a un affluent référencé : le ruisseau de Payannet.
La rivière Luynes.
Selon A. de Coston, le nom « Luynes » provient de l'ancien français « losne » et signifie « rivière » ou « cours d'eau ». La longueur de son cours d'eau est de 19km. La Luynes prend sa source à l'altitude de 455 mètres sur la commune de Mimet au nord du Baou Trauqua (massif de l'Etoile). La Luynes rejoint l'arc (en rive gauche) à la Pioline sur la commune d'Aix-en-Provence . La Luynes a un affluent référencé : le ruisseau de Payannet.
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<center>La rivière Luynes.</center>
La rivière Luynes.
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<center>La rivière Luynes.</center>
La rivière Luynes.
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<center>Pavillon de chasse du Roi René .</center>Cette massive construction rurale, improprement appelée pavillon de chasse du Roi René, aurait appartenu à un conseiller du parlement d'Aix, Thomas de Milhaud, à la fin du XVIe s. Ses parties les plus anciennes remonteraient aux années 1580. La mention exacte est la « Bastide des quatre tours », bien que ce bâtiment n'ai ni la forme ni les  décors d'une bastide au sens classique du terme. C'est plutôt une maison forte, un édifice de taille plus modeste. Son architecture est très particulière. Il se compose d'un bâtiment central rectangulaire aux formes assez maladroites, entouré de tours trop petites aux angles.
Pavillon de chasse du Roi René .
Cette massive construction rurale, improprement appelée pavillon de chasse du Roi René, aurait appartenu à un conseiller du parlement d'Aix, Thomas de Milhaud, à la fin du XVIe s. Ses parties les plus anciennes remonteraient aux années 1580. La mention exacte est la « Bastide des quatre tours », bien que ce bâtiment n'ai ni la forme ni les décors d'une bastide au sens classique du terme. C'est plutôt une maison forte, un édifice de taille plus modeste. Son architecture est très particulière. Il se compose d'un bâtiment central rectangulaire aux formes assez maladroites, entouré de tours trop petites aux angles.
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<center>Pavillon de chasse du Roi René .</center>Le Roi René vécut de 1409 à 1480. Il était Duc d’Anjou, Comte de Provence et de Forcalquier et Roi de Jérusalem et de Sicile. Il prit possession de tout le village dont des îlots de maisons qui formèrent l’Hostel du Roi René. Il venait de temps en temps chasser les oiseaux des étangs, ou le petit gibier. Il appréciait le bon vivre et les
paysages bucoliques. Pour ce pavillon, dit Pavillon de Chasse du Roy René, construit à la fin du 16e siècle (1513-1583), l'appellation est fausse, car le Roi René est mort en 1480...
Pavillon de chasse du Roi René .
Le Roi René vécut de 1409 à 1480. Il était Duc d’Anjou, Comte de Provence et de Forcalquier et Roi de Jérusalem et de Sicile. Il prit possession de tout le village dont des îlots de maisons qui formèrent l’Hostel du Roi René. Il venait de temps en temps chasser les oiseaux des étangs, ou le petit gibier. Il appréciait le bon vivre et les paysages bucoliques. Pour ce pavillon, dit Pavillon de Chasse du Roy René, construit à la fin du 16e siècle (1513-1583), l'appellation est fausse, car le Roi René est mort en 1480...
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<center>Pavillon de chasse du Roi René .</center>Au sol, une belle calade de galets posés sur la tranche.
Pavillon de chasse du Roi René .
Au sol, une belle calade de galets posés sur la tranche.
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<center>Pavillon de chasse du Roi René .</center>Un ancien puits.
Pavillon de chasse du Roi René .
Un ancien puits.
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