Le Parc du Mugel, Le Revest-les-Eaux.
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Parc du Mugel.
Calanque du Grand Mugel.
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Parc du Mugel.
Entrée du parc. D’une superficie d’environ 17 hectares, le parc est naturellement protégé du mistral et des embruns par l’imposant massif rocheux du bec de l'aigle. Il en résulte un microclimat propice au développement de nombreuses variétés de plantes et c’est ainsi que l’on peut y découvrir: bambouseraie, cactus, plantes aromatiques, chênes lièges, châtaigniers et plantes tropicales comme l’oiseau du paradis.
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Parc du Mugel.
Entrée du parc. Autrefois propriété privée, le parc du Mugel est depuis 1987 aménagé et entretenu avec soin par la municipalité de la Ciotat, ce qui lui a valut d’être classé « Jardin remarquable ».
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Parc du Mugel.
Au début du XIXe siècle, trois cabanons se partageaient le terrain du Mugel. Avant que le canal de Marseille atteigne La Ciotat en 1883, les sources et les puits assuraient la survie du village, des troupeaux et des cultures. La vigne, les légumes et le blé y poussaient. L'eau douce était la plus grande des richesses. Les habitants prenaient soin de ce trésor, menacé lors des années de sécheresse. Les impluviums sont la trace de cette attention particulière portée à l’eau. Lorsqu'il pleut, elle ruisselle le long des parois du Mugel et glisse dans l'impluvium qui forme un entonnoir (à gauche). L’eau est ensuite évacuée vers des bassins via une conduite.
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Parc du Mugel.
Les trois Secs, le grand, le moyen et le petit, de gauche à droite. Ce jardin est créé par Louis Fouquet en 1923, qui achète cette propriété pour en faire sa résidence secondaire. Jusqu'au XXe siècle, des navires ramenaient des colonies des marchandises précieuses (soie, huiles, épices…). Lucien Rouvier, jardinier du Mugel depuis 1923, consacrait sa vie à embellir le parc, travaillant pour ses différents propriétaires. Il obtint des navigateurs des plantes exotiques venues des quatre coins du monde. Certaines s'y trouvent encore, comme des bambous que son père avait récupérés en Asie.
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Parc du Mugel.
Au centre, l'impluvium sur les pentes du grand Sec. En 1952, la ville de La Ciotat acquiert la moitié de la superficie du domaine. Trente ans plus tard, c'est le conseil général des Bouches-du-Rhône qui achète la deuxième moitié. En 1997, une collection de succulentes vient compléter les agaves et les cactus. Ce parc a été en grande partie valorisé et aménagé entre 1999 et 2000 par l'Agence Paysage Ingénierie Conseils de La Ciotat : réalisation de bassins, fontaines, palmeraie, bambouseraie, remise en état de l'éclairage ...
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Parc du Mugel.
Lieu rare et extraordinaire, le parc du Muge se manifeste, tel l’oasis du désert aride et minéral que constitue le Cap Canaille. La grande originalité de ce site tient à la roche rosée, appelée poudingues, qui le supporte. Dure et imperméable, elle constitue un véritable impluvium. Elle a permis la construction des calades qui récupèrent les eaux de pluie et les acheminent vers de profonds bassins. Grâce à cette eau, une prodigieuse et luxuriante végétation prospère. A l’origine de ce jardin, il y eut Louis Fouquet qui acquit cette propriété, en 1923, pour l’aménager en résidence secondaire. Ce paradis qu’il nous a légué bénéfice d’une situation exceptionnelle : le site est protégé du Mistral par le rocher du Bec de l’Aigle et réchauffé par la Méditerranée en hiver. L’inattendu est omniprésent : oiseaux de paradis, palmiers ou cactus constituent un mariage étonnant parmi les bambous, les châtaigniers ou encore quelques chênes lièges. De même, après une bonne marche, il est divin de profiter d’un panorama à 82 mètres à pic au-dessus de la mer. Le spectacle est grandiose et garanti. Le parc du Mugel s’étend sur environ 3 hectares. Il a été restauré pour votre plus grand plaisir. Restez sur les chemins balisés, il en va de la survie de ce site classé. Protégez ce patrimoine naturel et paysager, il est le joyau botanique de tous les ciotadens.
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Parc du Mugel.
La calanque du petit Mugel.
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Parc du Mugel.
Ancienne villa Bronzo.
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Parc du Mugel.
L'anse du Sec.
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Parc du Mugel.
L'anse du Sec.
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Vue de l'île Verte.
Le bec de l'Aigle et la balise qui, au centre de la passe, est le sommet d'une aiguille rocheuse. Cette balise s'appelle la tour du Canonnier du Sud. Au pied de la falaise, l'anse du Sec et, à droite, la calanque du Mugel et le parc. Au fond, à gauche, l'île de Riou. Au centre, le sémaphore au sommet du cap Canaille.
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Parc du Mugel.
Vu depuis le parc, donc aussi de La Ciotat, le bec de l'Aigle apparait comme une masse ronde, le grand Sec, s'élevant à 155 mètres au dessus de la mer, servant ainsi d'abri au mistral pour le parc, réchauffé par la Méditerranée en hiver.
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Parc du Mugel.
L'anse du Sec. A droite, le belvédère et l'impluvium. Derrière, le moyen Sec.
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Parc du Mugel.
L'anse du Sec. Cette roche brune à gros galets, que les géologues appellent « poudingue », s’est formée il y a environ 90 millions d’années. Elle témoigne d’un continent disparu, lointain cousin de la Corse et de la Sardaigne. À cette période reculée, la région de La Ciotat se situe sur les bords d’un continent faisant face à la Provence et a priori solidaire de la Corse et de la Sardaigne. Ce continent s’érodait et les sables, graviers et galets transportés par les fleuves, se sont accumulés dans des deltas au pied de cette terre émergée. L’un d’eux constitue aujourd’hui le poudingue du Bec de l’Aigle. La disparition de cette « Atlantide » séparée de la Provence par une petite mer intérieure, est liée à la naissance de la mer Méditerranée qui découle de la rotation dans le sens inverse des aiguilles d’une montre de la Corse.
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Parc du Mugel.
Le poudingue est ici un assemblage de galets arrondis composés de quartz, de grès, de schiste, de granite ou de calcaire, le tout cimenté naturellement. Outre l’attrait esthétique de cette curiosité géologique, le sol siliceux et acide voit l’existence d’une végétation silicicole bien différente (châtaignier, lavande stoechas, ciste, palmier nain…) de celle des calanques calcaires toutes proches (chêne kermès, myrte, romarin, pin maritime…). On a donc un paysage de maquis et pas de garrigue des sols calcaires.
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Parc du Mugel.
Le poudingue. Galets etr lichens.
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Parc du Mugel.
L'île Verte et la tour du Canonnier du Sud. Au fond, de gauche à droite : la Sainte Baume, La Cadière d'Azur, Le Castellet, le Mont Caume, le Faron, la presqu'île de Port d'Alon, à droite de l'île, le cap Sicié et les îles des Embiez.
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Parc du Mugel.
L'île Verte et la tour du Canonnier du Sud
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Montée vers le belvédère.
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Parc du Mugel.
Les calades (rigoles créées sur les pentes du Bec), permettaient de recueillir l'eau dans des bassins pour arroser les plantations nombreuses et exotiques du parc.
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Parc du Mugel.
Une calade.
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Parc du Mugel.
Une canalisation.
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Parc du Mugel.
Un bassin.
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Parc du Mugel.
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Parc du Mugel.
Une fontaine en rocaille.
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Parc du Mugel.
Le chemin qui nous mène jusqu’au grand belvédère situé à 82 mètres au dessus de la mer.
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Parc du Mugel.
Certaines marches sont décorées de soleils, de fleurs....
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Parc du Mugel.
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Parc du Mugel.
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Parc du Mugel.
Falaises du grand Sec, vues du belvédère.
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Parc du Mugel.
Falaises vues du belvédère. Profil Mitterrandesque.
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Parc du Mugel.
Falaises vues du belvédère. Les parpelles.
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Parc du Mugel.
Falaises vues du belvédère. Les parpelles.
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Parc du Mugel.
Ruines de la maison bleue.
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Parc du Mugel.
Ruines de la maison bleue.
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Parc du Mugel.
Ruines de la maison bleue.
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Parc du Mugel.
Ruines de la maison bleue.
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Parc du Mugel.
Ce jardin public abrite l’Atelier bleu du Cap de l’Aigle, qui est un centre d’initiation à l’environnement.
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Parc du Mugel.
La bastide qui abrite l’Atelier bleu du Cap de l’Aigle, centre d’initiation à l’environnement.
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Parc du Mugel.
L'orangeraie.
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Parc du Mugel.
La fontaine.
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Parc du Mugel.
La terrasse panoramique.
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Parc du Mugel.
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Parc du Mugel.
L'orangeraie.
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Parc du Mugel.
Le bassin.
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Parc du Mugel.
Le bassin.
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Parc du Mugel.
Le bassin.
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Parc du Mugel.
Germandrée arbustive.
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Parc du Mugel.
Bougainviller glabre.
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Parc du Mugel.
Polygala à feuilles de myrtes.
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Parc du Mugel.
Le grand et le moyen Sec.
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Parc du Mugel.
Strelitzia ou oiseau de paradis.
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Calanque de Figuerolles.
Son nom désigne en provençal la culture de figuiers, et sa géologie singulière a attiré les peintres. C'est une crique de galets, orientée vers le large, encadrée de falaises de poudingue et surplombée par le Rocher du Capucin. Elle se situe à l'ouest du centre ville de La Ciotat après le parc du Mugel. A gauche, des tafoni, du corse tafone, qui sont en géomorphologie des formes en creux arrondies, creusées par l'érosion, sous l'action du vent, dans les roches cristallines ou gréseuses.
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Calanque de Figuerolles.
L’hôtel-restaurant Chez Tania surplombe la calanque depuis 1956. Depuis cette date existe la République Indépendante de Figuerolles. Une boutade que l’on doit aux fondateurs du restaurant qui trouvaient l’endroit tellement atypique et différent qu’il ne pouvait pas appartenir à la France. Selon la légende, il y règne d’ailleurs un décalage horaire d’une heure.
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Calanque de Figuerolles.
Le Rocher du Capucin.
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Calanque de Figuerolles.
A gauche, l'îlot du lion, à droite, le Rocher du Capucin .
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Vue de Notre Dame de la Garde.
Au fond, le Bec de l'Aigle, et derrière, l'île Verte. Au centre, le Rocher du Capucin avec, à gauche, un bout de la calanque de Figuerolles.
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Le Revest-les-Eaux.
L'Église Saint-Christophe. Avec l’assentiment de l’évêque de Toulon, dès 1634 les villageois décident de construire une nouvelle église en remplacement de l’ancienne chapelle Saint-Jacques. Faute de moyens, l’entreprise est remise à des jours meilleurs. En 1674, le projet est relancé et un premier « appel d’offre » s’élève à 2400 livres.Cette somme étant hors de portée de la petite communauté. Les moines de Montrieux aident alors le village « en remettant à la population une dette pour la remercier de l’accueil fait aux leurs, un siècle plus tôt, lors du pillage du monastère ».
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L'Église Saint-Christophe.
Construite en matériaux « tout venant » et en tuf, pierre poreuse, légère, facile à tailler mais se délitant rapidement sous l’effet de l’humidité, elle est longue de 34,60 m, large de 8,10 m dans la nef et de 18,50 à la croix du transept.
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L'Église Saint-Christophe.
Achevée en 1679, comme l'indique la pierre à droite de la fenêtre, la nouvelle église est consacrée sous le vocable de Notre-Dame de l’Assomption que rappelle un magnifique tableau d’époque au-dessus du maître-autel. L’église fut placée sous la protection conjointe de Saint-Jacques le Majeur, protecteur de l’ancienne chapelle, et de Saint-Christophe.
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L'Église Saint-Christophe.
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L'Église Saint-Christophe.
Elle ne comporte qu’une simple porte cintrée comme entrée principale.
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L'Église Saint-Christophe.
Les fonts baptismaux. A droite, statue de Sainte Philomène.
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L'Église Saint-Christophe.
Baptistère en marbre de Turris.
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L'Église Saint-Christophe.
Copie de la Vierge à la chaise, de Raphaël. Raffaello Sanzio, né à Urbino en 1483 et mort à Rome en 1520. Cadre en bois sculpté du XVIIIe siècle. Vierge à l'Enfant avec à droite, Jean-Baptiste enfant.
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L'Église Saint-Christophe.
A droite, en entrant, la Sainte Famille à gauche, et à droite Jean-Baptiste enfant, Saint Zacharie et Sainte Elisabeth.. XVIIIe siècle.
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L'Église Saint-Christophe.
La chapelle Saint-Joseph, avec un tableau du XIXe siècle représentant la Bonne Mort de saint Joseph. En bas, sur une soucoupe, les seins de Sainte Agathe.
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L'Église Saint-Christophe.
Saint Sébastien, XVIIIe.
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L'Église Saint-Christophe.
A gauche, en entrant, tableau représentant Saint Cyprien et Saint Clair, anonyme du 18° siècle. Un putti présente à Saint Clair une soucoupe avec les yeux de Sainte Claire. Saint Clair protégeait des Sarrasins, et Saint-Cyprien est le protecteur du diocèse.
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L'Église Saint-Christophe.
Tableau de 1847 d'Emilie Bourgarel représentant la délivrance des Âmes du Purgatoire par le Saint Esprit.
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L'Église Saint-Christophe.
A l’angle du transept se trouve la chaire sur les panneaux de laquelle sont sculptés les quatre évangélistes.
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L'Église Saint-Christophe.
La chapelle de la Sainte Vierge (autrefois Notre-Dame-des-Neiges, ainsi nommée à cause de la farine blanche moulue dans les moulins de Dardennes.) Ce vitrail et les deux du choeur sont l'oeuvre d'André Bourget et Gwendoline Bonnet, des Ateliers Verre l'Essentiel à Hyères. La Vierge.
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L'Église Saint-Christophe.
La chapelle de la Sainte Vierge. Tableau au crayon de couleurs de Géo Condé, 1952.0
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L'Église Saint-Christophe.
Le chœur. A gauche, statues de la Vierge à l'Enfant, de Saint Joseph avec Jésus. A gauche, celle de Saint Christophe et le buste de Saint Roch.
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L'Église Saint-Christophe.
Le chœur possède un maître-autel qui date de 1848.
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L'Église Saint-Christophe.
La tabernacle.
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L'Église Saint-Christophe.
L'Assomption par Pierre Le Roy - 1675. Une tradition veut que cette oeuvre ait été donnée par Louis XIII après la naissance du Dauphin, le futur Louis XIV. Saint Jacques le Majeur et Saint Christophe y sont représentés.
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L'Église Saint-Christophe.
Sur les côtés, deux tableaux peints par M. le Curé Chabert, en 1711. la Nativité.
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L'Église Saint-Christophe.
La Crucifixion.
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L'Église Saint-Christophe.
Buste en bois de Saint Joseph du 18° siècle.
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L'Église Saint-Christophe.
Buste en bois de Saint Roch. Les deux bustes ont été échangés : ici, à droite, un chien tient un pain dans sa gueule et le présente au saint qui porte la coquille : ce ne peut être que saint Roch et pas saint Joseph. Il est d'ailleurs trop jeune pour saint Joseph.
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L'Église Saint-Christophe.
Sainte Rita.
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L'Église Saint-Christophe.
Saint Joseph.
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L'Église Saint-Christophe.
Saint Christophe (1868).
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L'Église Saint-Christophe.
Vierge à l'Enfant du XVIIe ?
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L'Église Saint-Christophe.
Donation du Rosaire à Saint Dominique et Catherine de Sienne. En bas, maquette du village.
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L'Église Saint-Christophe.
Vitrail de EM. Teissier, représentant le Christ. Au-dessus, les armoiries de la Chartreuse de Montrieux, partenaire de la construction de l’église.
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L'Église Saint-Christophe.
L'Agneau de l'Apocalypse, armoiries de la Chartreuse de Montrieux.
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Le Revest-les-Eaux.
La fontaine et l'ormeau. Cette fontaine, de A. Bouisson, 1877, a été donnée par la ville de Toulon en 1900. Elle devait commémorer la naissance du fils de Napoléon Ier. Les quatre mascarons représentent les saisons. De face, l'été, à gauche l'hiver. Au sommet de la colonne pyramidale se trouve un panier fleuri.
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Le Revest-les-Eaux.
La Grand-Rue.
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Le Revest-les-Eaux.
Maison de 1679, rue Maréchal Foch.
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Le Revest-les-Eaux.
Ancienne mairie, ancienne poste.
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Le Revest-les-Eaux.
Dans cette maison, hôtel de ville du Revest jusqu'en 1910, fut rédigé le 22 mars 1789 le Cahier de doléances porté à la sénéchaussée de Toulon par Louis Gabriel Cordeil et François Cadière.
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Le Revest-les-Eaux.
Blason du Revest, qui est normalement celui du Revest-les-Brousses. La confusion remonterait à 1697.
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Le Revest-les-Eaux.
Le contrefort.
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Le Revest-les-Eaux.
La tour-donjon du Revest. Au sommet du village, au centre du site fortifié nommé «Castram de Revesto » par le Cartulaire de la Chartreuse de Montrieux au XIIe siècle. La tour elle- même date du XIIIe siècle. Elle a régulièrement servi de refuge à la population au cours des siècles. Sur l’ancienne plateforme sommitale on a ajouté un campanile.
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Le Revest-les-Eaux.
La tour-donjon du Revest. Cette tour carrée, de 8 mètres de côté, haute de 12 mètres et aux murs épais de 2 mètres, dominait l'ancien village et la chapelle Saint-Jacques qui appar¬tenait aux Pénitents Blancs de 1679 jusqu'à la Révolution. La porte du bas a été percée ultérieurement, la porte d'origine était située au niveau de la fenêtre (récente) et accessible par une échelle.
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Le Revest-les-Eaux.
La tour-donjon du Revest. Les archères permettaient de battre la base extérieure de la tour.
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Le Revest-les-Eaux.
Le pigeonnier, perché sur un bloc de grès dominant le quartier des Arrosants, rénové en 2008, au pied du mont Caume.
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Le Revest-les-Eaux.
La porte du rempart.
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Le Revest-les-Eaux.
Fenêtre à meneaux de la rue de la Tour .
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Le Revest-les-Eaux.
Ancien rempart, avec, en haut, une meurtrière.
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Le Revest-les-Eaux.
Le clocher de l'église.
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Le Revest-les-Eaux.
Maison de 1517.
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Le Revest-les-Eaux.
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Le Revest-les-Eaux.
Le groupe revestois, rue de la Paix.
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Le Revest-les-Eaux.
Le château dit "du Roi René". Cet édifice fut construit à partir de 1578 à la demande de Melchior Parisson et de son oncle Barthélémy Thomas de Sainte-Marguerite, qui se partageaient la seigneurie du Revest. L'appellation "Château du Roi René" est donc injustifiée. En effet, le Roi René est né en 1409 à Angers, il est mort en 1480 à Aix-en-Provence. Nota : en 1481, la Provence sera rattachée à la France. C'est une lourde bâtisse à deux étages, formée de deux ailes raccordées à angle droit, qui présente deux belles façades au sud et à l'ouest. Une tour cylindrique s'élève à l'angle nord-ouest. Elle n’est pas décorative mais donne un air féodal à l’ensemble. Le toit de tuiles canal présente un débord simple, sans gênoise.
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Le Revest-les-Eaux.
Le château revêt une certaine élégance due aux deux poivrières (tourelles coiffées d'un toit conique) qui flanquent les deux angles de la façade sud. Elles sont construites en briques, recouvertes d’un crépi et percées de petites fenêtres. Les fenêtres du deuxième étage des façades sont moins hautes que celles du premier. La hauteur sous plafond des pièces de ce dernier niveau sous les combles est moins élevée que celle du premier étage. Les maîtres logent au premier, se réservant les pièces hautes de plafond.
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Le Revest-les-Eaux.
Chaque poivrière est ornée à sa base d'un épervier qui garda sa tête jusqu'aux émeutes pré-révolutionnaires du 25 mars 1789. Ces tourelles n'avaient rien de défensif mais servaient à embellir le bâtiment, sur sa face sud, la plus visible, comme pour affirmer la notoriété des propriétaires.
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Le Revest-les-Eaux.
Chaque poivrière est ornée à sa base d'un épervier qui garda sa tête jusqu'aux émeutes pré-révolutionnaires du 25 mars 1789. Ces tourelles n'avaient rien de défensif mais servaient à embellir le bâtiment, sur sa face sud, la plus visible, comme pour affirmer la notoriété des propriétaires.
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Le Revest-les-Eaux.
L'école occupait l'aile droite et l'aile gauche du rez-de-chaussée de la mairie actuelle. Elle ne comportait que trois classes, et quatre quelques années plus tard, cette quatrième classe étant située au premier étage. La mairie n'occupait qu'une toute petite place en haut et au centre du bâtiment, entre les appartements du directeur et de la directrice.
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Le Revest-les-Eaux.
Monument pour la Libération du Revest le 20 août 1944, avec les bustes de Jean Moulin et du général De Gaulle.
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Le Revest-les-Eaux.
Square Albert Decaris. Au fond, la fontaine Laure de 1926. Buriniste renommé pour sa virtuosité, il a également travaillé à l'aquarelle et au lavis d'encre, souvent pour préparer ses gravures, et a gravé de nombreux timbres-poste, en particulier des Marianne, coq.
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Le Revest-les-Eaux.
Le lavoir du village.
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Le Revest-les-Eaux.
Le lavoir du village.
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Le Revest-les-Eaux.
Le lavoir du village. Petit bassin et fontaine des 4 saisons. Elle se trouvait avant sur la place centrale du village.
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Le Revest-les-Eaux.
Monument à la mémoire des sapeurs pompiers morts au feu ou en service commandé.
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Le Revest-les-Eaux.
Un béal.
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