Gardanne et les Jardins d'Albertas

<center>Gardanne</center>Le Cours Central. En 1836, suite aux problèmes liés au ruisseau St-Pierre, la décision est prise d’ouvrir le chemin de grande communication n°7, sur la rive gauche du ruisseau. Jusqu’alors, la traversée de Gardanne s’effectuait obligatoirement par les petites ruelles (actuellement rue Puget, rue Franklin, rue Parmentier, rue Borély, rue d’Aix, rue Jules-Ferry).
Entre 1836 et 1840, les études de la nouvelle route baptisée au fil du temps boulevards Carnot, Bontemps, Forbin et Cours de la République sont lancées. En 1840, le Conseil municipal (présidé par Auguste Baret) vote la décision de l’aménagement de l’actuel Cours Forbin sous la forme de promenade publique.
C’est en 1851 que les différents éléments qui constituent l’ensemble du Cours sont en place. L’artère ainsi tracée souffre alors de la présence du ruisseau St-Pierre. En 1862, le Conseil municipal vote sa couverture, les travaux seront achevés en 1869.
Gardanne
Le Cours Central. En 1836, suite aux problèmes liés au ruisseau St-Pierre, la décision est prise d’ouvrir le chemin de grande communication n°7, sur la rive gauche du ruisseau. Jusqu’alors, la traversée de Gardanne s’effectuait obligatoirement par les petites ruelles (actuellement rue Puget, rue Franklin, rue Parmentier, rue Borély, rue d’Aix, rue Jules-Ferry). Entre 1836 et 1840, les études de la nouvelle route baptisée au fil du temps boulevards Carnot, Bontemps, Forbin et Cours de la République sont lancées. En 1840, le Conseil municipal (présidé par Auguste Baret) vote la décision de l’aménagement de l’actuel Cours Forbin sous la forme de promenade publique. C’est en 1851 que les différents éléments qui constituent l’ensemble du Cours sont en place. L’artère ainsi tracée souffre alors de la présence du ruisseau St-Pierre. En 1862, le Conseil municipal vote sa couverture, les travaux seront achevés en 1869.
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<center>Gardanne</center>L'Hôtel de Ville. En 1841, l’Hôtel de Ville situé sur la place Ferrer est détruit. Mairie, écoles, bureau de poste et autres administrations s’installent dans une vieille bâtisse, à l’emplacement de la mairie actuelle.  Le projet de construction du nouvel hôtel de ville fut confié à l'architecte Eric Buyron, architecte en chef du Département, en 1903. C'est aussi l'architecte de l'église. Dans les deux bâtiments, il n'a pas suivi les canons de l'architecture provençale traditionnelle. Le bâtiment fut construit par Sylvain Allies, entrepreneur à Marseille, et fut inauguré en 1907, en présence du ministre de l'agriculture M. Ruau, un an avant son achévement. L'horloge ne fut installée qu'en 1909.
Gardanne
L'Hôtel de Ville. En 1841, l’Hôtel de Ville situé sur la place Ferrer est détruit. Mairie, écoles, bureau de poste et autres administrations s’installent dans une vieille bâtisse, à l’emplacement de la mairie actuelle. Le projet de construction du nouvel hôtel de ville fut confié à l'architecte Eric Buyron, architecte en chef du Département, en 1903. C'est aussi l'architecte de l'église. Dans les deux bâtiments, il n'a pas suivi les canons de l'architecture provençale traditionnelle. Le bâtiment fut construit par Sylvain Allies, entrepreneur à Marseille, et fut inauguré en 1907, en présence du ministre de l'agriculture M. Ruau, un an avant son achévement. L'horloge ne fut installée qu'en 1909.
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<center>Gardanne</center>Le monument aux morts, cours de la République. Sculpteur : Marius Malan. Une statue de femme, portant un voile sur la tête, pose sur un casque de soldat une couronne de laurier. Sur le socle où repose le casque, on a deux faisceaux de licteurs et le blason de la ville.
Gardanne
Le monument aux morts, cours de la République. Sculpteur : Marius Malan. Une statue de femme, portant un voile sur la tête, pose sur un casque de soldat une couronne de laurier. Sur le socle où repose le casque, on a deux faisceaux de licteurs et le blason de la ville.
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<center>Gardanne</center>Fontaine de la Républioque. Le buste de la République est dû au sculpteur Solari. Sur la plaque est marqué : visite de Messieurs Vallé, ministre de la Justice Garde des Sceaux,  Doumergue, ministre des Colonies, 15 mars 1904.
Gardanne
Fontaine de la Républioque. Le buste de la République est dû au sculpteur Solari. Sur la plaque est marqué : visite de Messieurs Vallé, ministre de la Justice Garde des Sceaux, Doumergue, ministre des Colonies, 15 mars 1904.
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<center>Gardanne</center>Buste de Françoise Joséphine Sibillot, marquise de Gueydan, 1797-1882. Sculpteur : Auguste Carli. Inaugurée en 1903, elle occupa la place du Monument aux Morts jusqu'en 1922
Gardanne
Buste de Françoise Joséphine Sibillot, marquise de Gueydan, 1797-1882. Sculpteur : Auguste Carli. Inaugurée en 1903, elle occupa la place du Monument aux Morts jusqu'en 1922
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<center>Gardanne</center>La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39 afin d'offrir aux Gardannais « un local vaste et bien aéré, une salle de spectacle, une salle de réunion, une bibliothèque, une salle de lecture, des locaux réservés aux sociétés corporatives, sportives, musicales, mutualistes, aux syndicats professionnels et aux cours d’art ménager », d’après l’architecte arlésien Henri Gourault.
Gardanne
La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39 afin d'offrir aux Gardannais « un local vaste et bien aéré, une salle de spectacle, une salle de réunion, une bibliothèque, une salle de lecture, des locaux réservés aux sociétés corporatives, sportives, musicales, mutualistes, aux syndicats professionnels et aux cours d’art ménager », d’après l’architecte arlésien Henri Gourault.
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<center>Gardanne</center>La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39. En 1935, le maire socialiste Victor Savine sabre le budget du projet, jugeant « nécessaire de réduire les dépenses le plus possible en supprimant toute idée de luxe » face à la crise économique. Dans la mouvance du Front populaire, il le reverra à la hausse deux ans plus tard. Les travaux démarrent en 39 et s’achèvent en pleine guerre. Au printemps 1940, le foyer abrite des réfugiés du nord de la France qui fuient les troupes allemandes. La rénovation de la façade emblématique, avenue Léo-Lagrange, ainsi qu’une partie côté foyer Nostre Oustaou a été terminée en 2020.
Gardanne
La maison du Peuple, de style Art Déco, construite en 1938-39. En 1935, le maire socialiste Victor Savine sabre le budget du projet, jugeant « nécessaire de réduire les dépenses le plus possible en supprimant toute idée de luxe » face à la crise économique. Dans la mouvance du Front populaire, il le reverra à la hausse deux ans plus tard. Les travaux démarrent en 39 et s’achèvent en pleine guerre. Au printemps 1940, le foyer abrite des réfugiés du nord de la France qui fuient les troupes allemandes. La rénovation de la façade emblématique, avenue Léo-Lagrange, ainsi qu’une partie côté foyer Nostre Oustaou a été terminée en 2020.
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<center>Gardanne</center>La maison où a vécu Paul Cézanne de 1885 à 1886. Paul Cezanne encadré par son fils et sa femme. Le séjour de Cezanne à Gardanne nous est relativement bien connu. Il n’en demeure pas moins un séjour dont les motivations profondes nous échappent. Aucune démarche antérieure ne laisse entendre que l’homme ait eu un quelconque intérêt pour ce village à la fois agricole et minier à quelques kilomètres d’Aix. Certes, allant à l’Estaque par Marseille, le peintre prenait un train dont la ligne ouverte depuis 1877 s’arrêtait dans la toute nouvelle gare du dit village. Il entrevoyait de la fenêtre du wagon le clocher de l’église, les moulins sur la colline. Comme Cabriès, comme Bouc bel Air, Gardanne avait, à la différence d’Aix, le cachet d’un village provençal construit sur une colline, le clocher de l’église donnant à la géographie un sens.
Gardanne
La maison où a vécu Paul Cézanne de 1885 à 1886. Paul Cezanne encadré par son fils et sa femme. Le séjour de Cezanne à Gardanne nous est relativement bien connu. Il n’en demeure pas moins un séjour dont les motivations profondes nous échappent. Aucune démarche antérieure ne laisse entendre que l’homme ait eu un quelconque intérêt pour ce village à la fois agricole et minier à quelques kilomètres d’Aix. Certes, allant à l’Estaque par Marseille, le peintre prenait un train dont la ligne ouverte depuis 1877 s’arrêtait dans la toute nouvelle gare du dit village. Il entrevoyait de la fenêtre du wagon le clocher de l’église, les moulins sur la colline. Comme Cabriès, comme Bouc bel Air, Gardanne avait, à la différence d’Aix, le cachet d’un village provençal construit sur une colline, le clocher de l’église donnant à la géographie un sens.
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<center>Gardanne</center>Rue Puget, ancienne rue principale.
Gardanne
Rue Puget, ancienne rue principale.
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<center>Gardanne</center>Buste de Claude de Forbin. Chevalier puis comte de Gardanne, né le 6 août 1656 à Gardanne, mort à Marseille le 2 mars 1733, c'est un officier de marine et mémorialiste français du Grand Siècle. En 1685, il sert dans la flotte chargée d'emmener un ambassadeur et plusieurs jésuites auprès de Narai, le roi de Siam. Sur place pendant trois ans, il est nommé amiral et général du roi de Siam, avant de regagner Pondichéry puis la France. En 1689, il est placé sous les ordres de Jean Bart à Dunkerque avec qui il s'adonne à la guerre de course. Promu capitaine de vaisseau, il est chargé — toujours en compagnie de Jean Bart — d'escorter des navires marchands lorsque les deux hommes sont attaqués par une flotte anglaise plus puissante et faits prisonniers. Envoyés à Plymouth, ils parviennent malgré leurs blessures à s'échapper et à regagner la France à la rame. Pendant la guerre de la Ligue d'Augsbourg de Forbin sert sous les ordres de Tourville au cap Béveziers (en 1690), à la défaite de la Hougue (en 1692) et lors de la prise du convoi de Smyrne au large de Lagos (en 1693). Dans les années qui suivent, il capture encore plusieurs navires avant d'être fait chevalier de Saint-Louis en 1699. Il reprend du service pendant la guerre de Succession d'Espagne, en Méditerranée, en mer du Nord et dans la Baltique. Il est alors élevé au grade de chef d'escadre. Entretenant de mauvaises relations avec le Secrétaire d'État à la Marine Pontchartrain il demande à quitter le service e
Gardanne
Buste de Claude de Forbin. Chevalier puis comte de Gardanne, né le 6 août 1656 à Gardanne, mort à Marseille le 2 mars 1733, c'est un officier de marine et mémorialiste français du Grand Siècle. En 1685, il sert dans la flotte chargée d'emmener un ambassadeur et plusieurs jésuites auprès de Narai, le roi de Siam. Sur place pendant trois ans, il est nommé amiral et général du roi de Siam, avant de regagner Pondichéry puis la France. En 1689, il est placé sous les ordres de Jean Bart à Dunkerque avec qui il s'adonne à la guerre de course. Promu capitaine de vaisseau, il est chargé — toujours en compagnie de Jean Bart — d'escorter des navires marchands lorsque les deux hommes sont attaqués par une flotte anglaise plus puissante et faits prisonniers. Envoyés à Plymouth, ils parviennent malgré leurs blessures à s'échapper et à regagner la France à la rame. Pendant la guerre de la Ligue d'Augsbourg de Forbin sert sous les ordres de Tourville au cap Béveziers (en 1690), à la défaite de la Hougue (en 1692) et lors de la prise du convoi de Smyrne au large de Lagos (en 1693). Dans les années qui suivent, il capture encore plusieurs navires avant d'être fait chevalier de Saint-Louis en 1699. Il reprend du service pendant la guerre de Succession d'Espagne, en Méditerranée, en mer du Nord et dans la Baltique. Il est alors élevé au grade de chef d'escadre. Entretenant de mauvaises relations avec le Secrétaire d'État à la Marine Pontchartrain il demande à quitter le service en 1710 et se retire sur ses terres au château de Saint-Marcel, à Marseille, où il meurt le 2 mars 1733.
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<center>Gardanne</center>
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<center>Gardanne</center>Rue Courbet.
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Rue Courbet.
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<center>Gardanne</center>Rue de l' Accord.
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Rue de l' Accord.
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<center>Gardanne</center>
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<center>Gardanne</center>L'ange Papillon. Oeuvres réalisées par les enfants et les parents du Centre Ancien, avec Marie Kazazian, céramiste à « Roultaterre ». « La Source Sainte  Victoire » en partenariat avec le Conseil de quartier, la municipalité de Gardanne et l'association « Contacts »,  2020.
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L'ange Papillon. Oeuvres réalisées par les enfants et les parents du Centre Ancien, avec Marie Kazazian, céramiste à « Roultaterre ». « La Source Sainte Victoire » en partenariat avec le Conseil de quartier, la municipalité de Gardanne et l'association « Contacts », 2020.
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<center>Gardanne</center>Clocher de Gardanne, datant du XVIIIe siècle. Il est le témoin de l’implantation de l’église paroissiale datant du Moyen-âge, désaffectée en 1890 et remplacée en 1906 par l’église actuelle, la Paroisse Sainte-Marie. Il domine la Chapelle des Pénitents qui était primitivement l’église médiévale de Saint-Valentin et lieu de pèlerinage du patron de la localité.
Gardanne
Clocher de Gardanne, datant du XVIIIe siècle. Il est le témoin de l’implantation de l’église paroissiale datant du Moyen-âge, désaffectée en 1890 et remplacée en 1906 par l’église actuelle, la Paroisse Sainte-Marie. Il domine la Chapelle des Pénitents qui était primitivement l’église médiévale de Saint-Valentin et lieu de pèlerinage du patron de la localité.
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<center>Gardanne</center>Clocher de Gardanne.
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Clocher de Gardanne.
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<center>Gardanne</center>Les toits de la ville, la colline des Frères, le terril Saint Pierre, la chaine de l'Etoile avec le Pilon du Roi.
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Les toits de la ville, la colline des Frères, le terril Saint Pierre, la chaine de l'Etoile avec le Pilon du Roi.
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<center>Gardanne</center>Les toits de la ville, l'usine Alteo.
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Les toits de la ville, l'usine Alteo.
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<center>Gardanne</center>La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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<center>Gardanne</center>La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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<center>Gardanne</center>La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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La chapelle Saint-Valentin est devenue la chapelle des Pénitents au XVIIe siècle.
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<center>Gardanne</center>La chapelle des Pénitents qui était primitivement l’église médiévale de Saint-Valentin.
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La chapelle des Pénitents qui était primitivement l’église médiévale de Saint-Valentin.
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<center>Gardanne</center>Le lavoir.
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Le lavoir.
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<center>Gardanne</center>Le poisson.
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Le poisson.
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<center>Gardanne</center>Le poulpe.
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Le poulpe.
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<center>Gardanne</center>Porte de l’hôtel des Forbin. Palamède de Forbin (Marseille, 1433–Aix-en-Provence, 12 février 1508), surnommé le Grand, est un gentilhomme provençal qui fut grand-sénéchal, gouverneur et lieutenant-général de Provence, ainsi que gouverneur de Dauphiné. Il fut seigneur de Solliès, du Luc, de Peyruis, de Porquerolles, de Puimichel, de Pierrefeu, baron des Croilas en Aragon, vicomte de Martigues. De son fils, Jacques, marié en 1452 avec Marthe Teinturier est issue la branche des Forbin Gardanne.
Gardanne
Porte de l’hôtel des Forbin. Palamède de Forbin (Marseille, 1433–Aix-en-Provence, 12 février 1508), surnommé le Grand, est un gentilhomme provençal qui fut grand-sénéchal, gouverneur et lieutenant-général de Provence, ainsi que gouverneur de Dauphiné. Il fut seigneur de Solliès, du Luc, de Peyruis, de Porquerolles, de Puimichel, de Pierrefeu, baron des Croilas en Aragon, vicomte de Martigues. De son fils, Jacques, marié en 1452 avec Marthe Teinturier est issue la branche des Forbin Gardanne.
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<center>Gardanne</center>Les lampadaires rappellent les piliers de soutènement des galeries des mines.
Gardanne
Les lampadaires rappellent les piliers de soutènement des galeries des mines.
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<center>Gardanne</center>On connaît de Cezanna 10 toiles, 4 aquarelles, 4 dessins dont le sujet est Gardanne. Nous allons voir les 3 principales vues, peintes depuis
Gardanne
On connaît de Cezanna 10 toiles, 4 aquarelles, 4 dessins dont le sujet est Gardanne. Nous allons voir les 3 principales vues, peintes depuis "la colline des Frères". Ce sont elles qui auraient inspiré les premiers paysages cubistes de Braque, Picasso, Derain : on peut dire que le cubisme est né à Gardanne.
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<center>Gardanne</center>Trois tableaux majeurs prennent en compte le village regroupé autour du clocher (FWN225-R569, FWN223-R570, FWN224-R571). Deux de ces tableaux adoptent le même point de vue  mais l’un choisit un cadrage en hauteur  quand le deuxième choisit un format horizontal, le tableau retenu dans un cadrage en hauteur étant peint de plus près. Les heures d’éclairement sont encore différentes :le tableau FWN225-R569 est une œuvre du matin ; le tableau FWN223-R570 du milieu du jour ; le tableau FWN224-R571 est délibérément pris d’un point de vue différent : il est peint l’après-midi au vu des ombres portées.
Gardanne
Trois tableaux majeurs prennent en compte le village regroupé autour du clocher (FWN225-R569, FWN223-R570, FWN224-R571). Deux de ces tableaux adoptent le même point de vue mais l’un choisit un cadrage en hauteur quand le deuxième choisit un format horizontal, le tableau retenu dans un cadrage en hauteur étant peint de plus près. Les heures d’éclairement sont encore différentes :le tableau FWN225-R569 est une œuvre du matin ; le tableau FWN223-R570 du milieu du jour ; le tableau FWN224-R571 est délibérément pris d’un point de vue différent : il est peint l’après-midi au vu des ombres portées.
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<center>Gardanne</center>« Gardanne le matin» (vuede la planque), huile sur toile, 1886, 64,8 x 100,3 cm, Fondation Barnes, Philadelphie. Le tableau de cadrage horizontal (Gardanne FWN225-R569) répond parfaitement à une œuvre de Corot, alors que les deux autres tableaux impliquent, dans leur inachèvement, une tension accrue entre les végétations et les architectures.
Gardanne
« Gardanne le matin» (vuede la planque), huile sur toile, 1886, 64,8 x 100,3 cm, Fondation Barnes, Philadelphie. Le tableau de cadrage horizontal (Gardanne FWN225-R569) répond parfaitement à une œuvre de Corot, alors que les deux autres tableaux impliquent, dans leur inachèvement, une tension accrue entre les végétations et les architectures.
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<center>Gardanne</center>
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<center>Gardanne</center>Ce tableau (du musée de Brooklyn à New York)  traduit un flamboiement de verdure  à l’assaut des architectures étagées de manière désordonnée autour du clocher régulateur entre deux collines (dont celle de droite correspond au début de la montagne Sainte-Victoire). Inachevée, cette toile comprend des traces de crayon à la Twombly, des jets de peinture à la Pollock, en tout cas des vestiges de coups de pinceaux rapidement donnés. Il est peint l’après-midi au vu des ombres portées. Cette toile apparaît alors, proche dans le temps et la thématique en complète opposition avec le tableau de la Barnes Foundation (FWN225-R569) si appliqué dans chaque morceau de toit ou de mur, voire dans la sagesse opiniâtreté prise pour figurer des arbres solides, puissamment éclairés du soleil matinal.
Gardanne
Ce tableau (du musée de Brooklyn à New York) traduit un flamboiement de verdure à l’assaut des architectures étagées de manière désordonnée autour du clocher régulateur entre deux collines (dont celle de droite correspond au début de la montagne Sainte-Victoire). Inachevée, cette toile comprend des traces de crayon à la Twombly, des jets de peinture à la Pollock, en tout cas des vestiges de coups de pinceaux rapidement donnés. Il est peint l’après-midi au vu des ombres portées. Cette toile apparaît alors, proche dans le temps et la thématique en complète opposition avec le tableau de la Barnes Foundation (FWN225-R569) si appliqué dans chaque morceau de toit ou de mur, voire dans la sagesse opiniâtreté prise pour figurer des arbres solides, puissamment éclairés du soleil matinal.
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<center>Gardanne</center>
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<center>Gardanne</center>« Gardanne », 1885-1886, Huile sur toile, 80 x 64.1 cm, Metropolitan Museum of Art, New York. Le tableau FWN223-R570, inachevé, à peine coloré d’un jus pictural léger, s’intercale entre les deux autres  tableaux comme un rêve d’une harmonie délicate entre les bleutés, les orangés et verts. Il est peint au milieu du jour. Sur la droite, deux moulins.
Gardanne
« Gardanne », 1885-1886, Huile sur toile, 80 x 64.1 cm, Metropolitan Museum of Art, New York. Le tableau FWN223-R570, inachevé, à peine coloré d’un jus pictural léger, s’intercale entre les deux autres tableaux comme un rêve d’une harmonie délicate entre les bleutés, les orangés et verts. Il est peint au milieu du jour. Sur la droite, deux moulins.
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<center>Gardanne</center>
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<center>Gardanne</center>La Sculpture de l'An 2000. Sur le rond-point Péchiney de l'avenue Paul Cézanne à Gardanne, la municipalité a fait réaliser cette statue qui symbolise l'An 2000, c'est loeuvre de l'artiste plasticien de Miramas, Michel Stéfanini.
Gardanne
La Sculpture de l'An 2000. Sur le rond-point Péchiney de l'avenue Paul Cézanne à Gardanne, la municipalité a fait réaliser cette statue qui symbolise l'An 2000, c'est loeuvre de l'artiste plasticien de Miramas, Michel Stéfanini.
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<center>Gardanne</center>La Sculpture de l'An 2000. Michel Stéfanini se situant
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La Sculpture de l'An 2000. Michel Stéfanini se situant "dans et hors de son temps" a créé une oeuvre dédiée à la lumière. A 6 silhouettes de ciment rapide mesurant de 2,5m à 6,5 m de haut, il a donc associé des plaques de verre découpant le spectre de la lumière.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Autrefois. Musée de l'histoire locale : Il retrace la vie des gardannais et des provençaux depuis le XVIIIème siècle jusqu'au milieu du XXème siècle. L'épicerie.
Le musée Gardanne Autrefois.
Autrefois. Musée de l'histoire locale : Il retrace la vie des gardannais et des provençaux depuis le XVIIIème siècle jusqu'au milieu du XXème siècle. L'épicerie.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>L'épicerie.
Le musée Gardanne Autrefois.
L'épicerie.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>L'épicerie.
Le musée Gardanne Autrefois.
L'épicerie.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La pharmacie.
Le musée Gardanne Autrefois.
La pharmacie.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La droguerie.
Le musée Gardanne Autrefois.
La droguerie.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La boutique de l'électricité.
Le musée Gardanne Autrefois.
La boutique de l'électricité.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Le coiffeur.
Le musée Gardanne Autrefois.
Le coiffeur.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Instruments de mesure.
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Instruments de mesure.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Instruments de mesure.
Le musée Gardanne Autrefois.
Instruments de mesure.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>L'école.
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L'école.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>L'école.
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L'école.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois. Les jouets.</center>
Le musée Gardanne Autrefois. Les jouets.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois. Les jouets.</center>Les jouets.
Le musée Gardanne Autrefois. Les jouets.
Les jouets.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Le cordonnier et le menuisier.
Le musée Gardanne Autrefois.
Le cordonnier et le menuisier.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Instruments agricoles.
Le musée Gardanne Autrefois.
Instruments agricoles.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Fontaine à absinthe.
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Fontaine à absinthe.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>
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Le musée Gardanne Autrefois.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Le potager.
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Le potager.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La lessive ou bugade.
Le musée Gardanne Autrefois.
La lessive ou bugade.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>
Le musée Gardanne Autrefois.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>Le haut d'un confessional.
Le musée Gardanne Autrefois.
Le haut d'un confessional.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La chapelle des pénitents.
Le musée Gardanne Autrefois.
La chapelle des pénitents.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La chapelle des pénitents. Le cabanon.
Le musée Gardanne Autrefois.
La chapelle des pénitents. Le cabanon.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La chapelle des pénitents. Les Feuilles Roses et les Feuilles de Fougère en Provence. L’enfilage du fil perlé est la base du travail.
Dans un premier temps, les femmes disposaient des perles dans leur tablier et plongeaient le fil de fer dont elles avaient crocheté l'embout.
Puis il y a eu l'invention d'un
Le musée Gardanne Autrefois.
La chapelle des pénitents. Les Feuilles Roses et les Feuilles de Fougère en Provence. L’enfilage du fil perlé est la base du travail. Dans un premier temps, les femmes disposaient des perles dans leur tablier et plongeaient le fil de fer dont elles avaient crocheté l'embout. Puis il y a eu l'invention d'un "saladier à perles". La totalité de l'appareil était en matériaux de récupération, même la bobine centrale n’était qu'une ancienne bobine de fil vide. On disait que l'inventeur était Monsieur Salomon de Fuveau vers 1890, information non vérifiée. Les perles étaient disposées dans la cuvette. L'extrémité du fil de fer était tordue en crochet. On tournait la bobine centrale et par la force centrifuge les perles s'enfilaient. On pouvait alors réaliser des mètres de fil perlé. Les femmes les plus expertes montaient alors les feuilles, les autres préparaient seulement des bobines de fil perlé.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La chapelle des pénitents. L'allumeur de réverbère. En 1885, le conseil municipal décide de doter les rues de la ville d'un éclairage à pétrole. Boze Benoît est chargé d'allumer les réverbères.
Le musée Gardanne Autrefois.
La chapelle des pénitents. L'allumeur de réverbère. En 1885, le conseil municipal décide de doter les rues de la ville d'un éclairage à pétrole. Boze Benoît est chargé d'allumer les réverbères.
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<center>Le musée Gardanne Autrefois.</center>La chapelle des pénitents. Les Enfants qui travaillaient dans les mines de Gardanne s'appelaient les Mendits.
Le mendit dans la langue des troubadours est le valet du berger.
Ils travaillaient dans les Descenderies (Galeries creusées à flanc de coteau, parfois inclinées à 45°. Elles ont été creusées avant de creuser les puits verticaux. Ces chantiers étaient envahis par les eaux en cas de fortes pluies.). Ils portaient sur le dos un couffin de charbon dont le poids allait de 16 à 25kg pour les plus jeunes et de 60 à70kg pour  les 17/18 ans.
Ils montaient les escaliers en s'appuyant sur les mains.
Une législation va protéger ces jeunes mineurs. Le décret du 3 janvier 1813 interdit le travail du fond aux enfants âgés de moins de 10 ans
La loi du 2 Novembre 1892 et le décret du 3 mai 1898 qui le complète, réglemente le travail à 10 heures de présence effective au fond.
Par la loi du 3 juillet 1906 l'âge d'admission est fixé à 12 ans et la durée du travail à 8 heures.
Par décret du 14 juin 1946 l’âge est fixé à 14 ans et la durée du travail à 8 heures de présence effective.
Le musée Gardanne Autrefois.
La chapelle des pénitents. Les Enfants qui travaillaient dans les mines de Gardanne s'appelaient les Mendits. Le mendit dans la langue des troubadours est le valet du berger. Ils travaillaient dans les Descenderies (Galeries creusées à flanc de coteau, parfois inclinées à 45°. Elles ont été creusées avant de creuser les puits verticaux. Ces chantiers étaient envahis par les eaux en cas de fortes pluies.). Ils portaient sur le dos un couffin de charbon dont le poids allait de 16 à 25kg pour les plus jeunes et de 60 à70kg pour les 17/18 ans. Ils montaient les escaliers en s'appuyant sur les mains. Une législation va protéger ces jeunes mineurs. Le décret du 3 janvier 1813 interdit le travail du fond aux enfants âgés de moins de 10 ans La loi du 2 Novembre 1892 et le décret du 3 mai 1898 qui le complète, réglemente le travail à 10 heures de présence effective au fond. Par la loi du 3 juillet 1906 l'âge d'admission est fixé à 12 ans et la durée du travail à 8 heures. Par décret du 14 juin 1946 l’âge est fixé à 14 ans et la durée du travail à 8 heures de présence effective.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La nappe d'eau ou bassin en lyre avec ses rampes d'accès, elle accueille le visiteur et le prépare aux « surprises » du parc, avec élégance et majesté.<br> C'est autour de 1640 qu'Henri de Séguiran commence la création d'un grand jardin sur sa terre de Bouc. Premier Président de la Cour des Comptes, Aides et Finances de Provence et Lieutenant des Mers du Cardinal de Richelieu, il se partage entre son Hôtel d'Aix, sa seigneurie de Bouc et Marseille, le grand port de mer du Royaume.
En 1678, au décès de son fils Reynaud, l'inventaire de succession décrit un jardin très proche de son état actuel.
Les jardins d'Albertas
La nappe d'eau ou bassin en lyre avec ses rampes d'accès, elle accueille le visiteur et le prépare aux « surprises » du parc, avec élégance et majesté.
C'est autour de 1640 qu'Henri de Séguiran commence la création d'un grand jardin sur sa terre de Bouc. Premier Président de la Cour des Comptes, Aides et Finances de Provence et Lieutenant des Mers du Cardinal de Richelieu, il se partage entre son Hôtel d'Aix, sa seigneurie de Bouc et Marseille, le grand port de mer du Royaume. En 1678, au décès de son fils Reynaud, l'inventaire de succession décrit un jardin très proche de son état actuel.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La nappe d'eau ou bassin en lyre était à l’origine le point d’entrée des jardins (et non le portail aujourd’hui sur la route nationale). <br> C'est en 1673, par le mariage de Marc-Antoine d'Albertas, capitaine de vaisseau, avec Madeleine de Séguiran, que la famille d'Albertas entre en possession de la terre de Bouc.
Leur fils Henri Reynaud d'Albertas, Premier Président à son tour est le créateur de l'Hôtel et de la place d'Albertas à Aix. Leur petit-fils Jean-Baptiste sera un passionné de jardins, il crée les extraordinaires Jardins de Gémenos : jardin classique à l'emplacement du village actuel et romantique dans la vallée de Saint Pons. A Bouc, les plans de 1751 montrent un programme très ambitieux de restauration des jardins. Il envisage même un château, jamais réalisé...
Les jardins d'Albertas
La nappe d'eau ou bassin en lyre était à l’origine le point d’entrée des jardins (et non le portail aujourd’hui sur la route nationale).
C'est en 1673, par le mariage de Marc-Antoine d'Albertas, capitaine de vaisseau, avec Madeleine de Séguiran, que la famille d'Albertas entre en possession de la terre de Bouc. Leur fils Henri Reynaud d'Albertas, Premier Président à son tour est le créateur de l'Hôtel et de la place d'Albertas à Aix. Leur petit-fils Jean-Baptiste sera un passionné de jardins, il crée les extraordinaires Jardins de Gémenos : jardin classique à l'emplacement du village actuel et romantique dans la vallée de Saint Pons. A Bouc, les plans de 1751 montrent un programme très ambitieux de restauration des jardins. Il envisage même un château, jamais réalisé...
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La nappe d'eau ou bassin en lyre.<br> Le 14 juillet 1790, Jean-Baptiste d'Albertas est assassiné dans son parc de Gémenos lors d'un banquet offert à la Garde Nationale pour la fête de la Fédération.
Son fils Jean-Baptiste Suzanne sera fait pair de France et Préfet des Bouches-du-Rhône par Louis XVIII. Il est amoureux de ses jardins, « sa tabatière » qu'il embellit avec son fils Alfred.
En 1949, le Marquis Jean d'Albertas et son épouse Sylvia entament une campagne de sauvetage des jardins abandonnés depuis près d'un siècle. Actuellement, la famille poursuit cet effort de longue haleine pour restaurer les jardins dans le respect des plans du XVIIIème siècle.
Les jardins d'Albertas
La nappe d'eau ou bassin en lyre.
Le 14 juillet 1790, Jean-Baptiste d'Albertas est assassiné dans son parc de Gémenos lors d'un banquet offert à la Garde Nationale pour la fête de la Fédération. Son fils Jean-Baptiste Suzanne sera fait pair de France et Préfet des Bouches-du-Rhône par Louis XVIII. Il est amoureux de ses jardins, « sa tabatière » qu'il embellit avec son fils Alfred. En 1949, le Marquis Jean d'Albertas et son épouse Sylvia entament une campagne de sauvetage des jardins abandonnés depuis près d'un siècle. Actuellement, la famille poursuit cet effort de longue haleine pour restaurer les jardins dans le respect des plans du XVIIIème siècle.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La nappe d'eau ou bassin en lyre.<br> Depuis 1993 ont été menés à bien la restauration du réseau hydraulique, du « bassin des tritons », de l'essentiel de la statuaire, des murs des terrasses, de la nappe d'eau, de la terrasse des parterres, la grande allée des marronniers, la serre. En 2015 ont été restaurés le portail d'entrée Louis XV, le grand canal et ses 13 mascarons sculptés ainsi que le bassin octogonal en marbre de Saint Pons. De 2019 à 2022, ont été restaurés les allées supérieures, la grande entrée du bassin en lyre, les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés et le nouveau Jardin du faune a été aménagé sur un emplacement abandonné depuis deux cent ans...
En attendant d'autres projets à venir...
Les jardins d'Albertas
La nappe d'eau ou bassin en lyre.
Depuis 1993 ont été menés à bien la restauration du réseau hydraulique, du « bassin des tritons », de l'essentiel de la statuaire, des murs des terrasses, de la nappe d'eau, de la terrasse des parterres, la grande allée des marronniers, la serre. En 2015 ont été restaurés le portail d'entrée Louis XV, le grand canal et ses 13 mascarons sculptés ainsi que le bassin octogonal en marbre de Saint Pons. De 2019 à 2022, ont été restaurés les allées supérieures, la grande entrée du bassin en lyre, les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés et le nouveau Jardin du faune a été aménagé sur un emplacement abandonné depuis deux cent ans... En attendant d'autres projets à venir...
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<center>Les jardins d'Albertas</center>L'allée des marronniers est créée vers 1750 avec le portail, pour relier les jardins du haut (XVIIème siècle) avec la bastide de l'autre côté de la route royale. Tout au fond, la belle grille d'entrée de style Louis XV présente au Levant les armes des Séguiran et au couchant celles des Albertas.
Les jardins d'Albertas
L'allée des marronniers est créée vers 1750 avec le portail, pour relier les jardins du haut (XVIIème siècle) avec la bastide de l'autre côté de la route royale. Tout au fond, la belle grille d'entrée de style Louis XV présente au Levant les armes des Séguiran et au couchant celles des Albertas.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
Les jardins d'Albertas
La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
Les jardins d'Albertas
La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
Les jardins d'Albertas
La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
Les jardins d'Albertas
La grande allée des platanes, plantés vers 1830 en remplacement des ormeaux d'origine, ils culminent à plus de 35 mètres de haut.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le Grand canal, l'eau des sources y coule par treize mascarons sculptés du XVIIème siècle. Aussi une réserve d'eau pour l'arrosage gravitaire des cultures.
Les jardins d'Albertas
Le Grand canal, l'eau des sources y coule par treize mascarons sculptés du XVIIème siècle. Aussi une réserve d'eau pour l'arrosage gravitaire des cultures.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Comme à Gémenos, c'est un site exceptionnel, un vallon, véritable théâtre de verdure et surtout la présence de l'eau, miraculeuse en Provence. Un sens aigu de l'architecture et des volumes transparaît dans la mise en forme du site ; terrasses, murs, bassins et plantations structurent le paysage et font référence à la fois à la tradition du jardin « à la française » et aux influences italiennes si présentes en Provence.
Ainsi les différentes terrasses ménagent des surprises successives au promeneur.
Les jardins d'Albertas
Comme à Gémenos, c'est un site exceptionnel, un vallon, véritable théâtre de verdure et surtout la présence de l'eau, miraculeuse en Provence. Un sens aigu de l'architecture et des volumes transparaît dans la mise en forme du site ; terrasses, murs, bassins et plantations structurent le paysage et font référence à la fois à la tradition du jardin « à la française » et aux influences italiennes si présentes en Provence. Ainsi les différentes terrasses ménagent des surprises successives au promeneur.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Terrasses, murs, bassins et plantations structurent le paysage et font référence à la fois à la tradition du jardin « à la française » et aux influences italiennes si présentes en Provence.
Ainsi les différentes terrasses ménagent des surprises successives au promeneur.
Les jardins d'Albertas
Terrasses, murs, bassins et plantations structurent le paysage et font référence à la fois à la tradition du jardin « à la française » et aux influences italiennes si présentes en Provence. Ainsi les différentes terrasses ménagent des surprises successives au promeneur.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Neptune, œuvre du sculpteur aixois Chastel (1726-1793.)
Les jardins d'Albertas
Neptune, œuvre du sculpteur aixois Chastel (1726-1793.)
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Un triton.
Les jardins d'Albertas
Un triton.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Au bout du grand canal, le petit bâtiment octogonal, qui était en cours de construction en 1651, abrite la Grotte de fraîcheur . Au fond, le reste d'un colombier. Les grottes dites « artificielles » ou « architecturales » sont construites comme des petits bâtiments, qualifiés de «folies » destinées à impressionner les visiteurs et démontrer le faste du propriétaire. Henri de Seguiran (1594-1669), seigneur de Bouc, Premier Président de la cour des Comptes d’Aix, nommé Lieutenant des Mers du Levant par le cardinal de Richelieu, y réalisait depuis les années 1640 un jardin, l’un des plus richement élaborés en Provence avec ses bassins, ses statues, ses parterres, son potager et ses arbres fruitiers... La grotte de fraîcheur en était l'élément le plus rare et précieux, étincelant de coquillages nacrés, concrétions et calcifications.
Les jardins d'Albertas
Au bout du grand canal, le petit bâtiment octogonal, qui était en cours de construction en 1651, abrite la Grotte de fraîcheur . Au fond, le reste d'un colombier. Les grottes dites « artificielles » ou « architecturales » sont construites comme des petits bâtiments, qualifiés de «folies » destinées à impressionner les visiteurs et démontrer le faste du propriétaire. Henri de Seguiran (1594-1669), seigneur de Bouc, Premier Président de la cour des Comptes d’Aix, nommé Lieutenant des Mers du Levant par le cardinal de Richelieu, y réalisait depuis les années 1640 un jardin, l’un des plus richement élaborés en Provence avec ses bassins, ses statues, ses parterres, son potager et ses arbres fruitiers... La grotte de fraîcheur en était l'élément le plus rare et précieux, étincelant de coquillages nacrés, concrétions et calcifications.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Curieusement aucun document du XVIIIème siècle, quand les Albertas deviennent marquis de Bouc, ne parle de la grotte. Elle figure pourtant sur les plans de cette époque. L'entretien difficile et coûteux des fragiles décors et des systèmes d'adduction d'eau explique la disparition ou l'abandon de nombreuses grottes de fraîcheur.
A part une mention en 1831 (à l'occasion de travaux derrière la grotte), il faut attendre les grands travaux de reprise du jardin par le marquis Jean d'Albertas, terminés dans les années 1950, pour redécouvrir la grotte de fraîcheur, mais sans ses sculptures, ses vasques, jeux d'eau, ni l'essentiel de son fragile et 	délicat décor de coquillages.
Les jardins d'Albertas
Curieusement aucun document du XVIIIème siècle, quand les Albertas deviennent marquis de Bouc, ne parle de la grotte. Elle figure pourtant sur les plans de cette époque. L'entretien difficile et coûteux des fragiles décors et des systèmes d'adduction d'eau explique la disparition ou l'abandon de nombreuses grottes de fraîcheur. A part une mention en 1831 (à l'occasion de travaux derrière la grotte), il faut attendre les grands travaux de reprise du jardin par le marquis Jean d'Albertas, terminés dans les années 1950, pour redécouvrir la grotte de fraîcheur, mais sans ses sculptures, ses vasques, jeux d'eau, ni l'essentiel de son fragile et délicat décor de coquillages.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La Grotte de fraîcheur (vers 1640) tapissée de concrétions calcaires et jadis de coquillages. La voûte.
Les jardins d'Albertas
La Grotte de fraîcheur (vers 1640) tapissée de concrétions calcaires et jadis de coquillages. La voûte.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La voûte.
Les jardins d'Albertas
La voûte.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>L’eau sortait en petits jets du sol et de la voûte pour rafraîchir par surprise les visiteurs. Sept niches, décrites en 1680, ornaient l’intérieur, chacune avec une «figure» (statue, visage...) des «sept planètes » et une vasque pour recueillir l’eau qui ruisselait sur une végétation de mousses et de fougères, pour se jeter ensuite dans une élégante rigole de pierre.
Le modèle pour cette grotte fut celle (disparue) qu’on venait de construire à Carcès (Var) pour Jean de Pontévès, comte de Carcès, Grand Sénéchal de Provence, un proche de Henri de Seguiran.
Les jardins d'Albertas
L’eau sortait en petits jets du sol et de la voûte pour rafraîchir par surprise les visiteurs. Sept niches, décrites en 1680, ornaient l’intérieur, chacune avec une «figure» (statue, visage...) des «sept planètes » et une vasque pour recueillir l’eau qui ruisselait sur une végétation de mousses et de fougères, pour se jeter ensuite dans une élégante rigole de pierre. Le modèle pour cette grotte fut celle (disparue) qu’on venait de construire à Carcès (Var) pour Jean de Pontévès, comte de Carcès, Grand Sénéchal de Provence, un proche de Henri de Seguiran.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>
Les jardins d'Albertas
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Les jardins d'Albertas
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<center>Les jardins d'Albertas</center>
Les jardins d'Albertas
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les recherches menées en 2022 par une équipe d’archéologues ont permis, en retirant 70 cm de terre qui masquaient le sol d’origine, de redonner à la grotte son volume initial, de retrouver la fine calade et les cloisonnements du sol en pierre et terre cuite, les 16 sorties en plomb des jets d’eau pour arroser par surprise les visiteurs, ainsi que l’alimentation et l’écoulement de la fontaine centrale disparue.
Un projet de restauration de la grotte de fraîcheur est à l'étude.
Les jardins d'Albertas
Les recherches menées en 2022 par une équipe d’archéologues ont permis, en retirant 70 cm de terre qui masquaient le sol d’origine, de redonner à la grotte son volume initial, de retrouver la fine calade et les cloisonnements du sol en pierre et terre cuite, les 16 sorties en plomb des jets d’eau pour arroser par surprise les visiteurs, ainsi que l’alimentation et l’écoulement de la fontaine centrale disparue. Un projet de restauration de la grotte de fraîcheur est à l'étude.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les restes du colombier.
Les jardins d'Albertas
Les restes du colombier.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>L'art des fontainiers du XVIIème siècle a canalisé l'eau des quatre sources en un réseau élaboré de galeries, citernes, voûtes, vannes, conduites et bassins qui surversent les uns dans les autres.
L'utile et l'agréable se rejoignaient ; le réseau hydraulique permettait le jaillissement des fontaines, mais il accumulait aussi, grâce aux bassins, les réserves d'eau nécessaires à l'arrosage des terres cultivées.
De même le « boulingrin » (prairie) entre le grand canal et le bassin des Tritons (dit « des 17 jets ») était orné sur les plans de 1751 par un jardin potager.
Les variétés de légumes, constituaient un magnifique décor de formes et de couleurs.
Les jardins d'Albertas
L'art des fontainiers du XVIIème siècle a canalisé l'eau des quatre sources en un réseau élaboré de galeries, citernes, voûtes, vannes, conduites et bassins qui surversent les uns dans les autres. L'utile et l'agréable se rejoignaient ; le réseau hydraulique permettait le jaillissement des fontaines, mais il accumulait aussi, grâce aux bassins, les réserves d'eau nécessaires à l'arrosage des terres cultivées. De même le « boulingrin » (prairie) entre le grand canal et le bassin des Tritons (dit « des 17 jets ») était orné sur les plans de 1751 par un jardin potager. Les variétés de légumes, constituaient un magnifique décor de formes et de couleurs.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le « Bassin des Tritons » pièce maitresse des Jardins, huit tritons  soufflent de l'eau, la terrasse est soutenue par quatre atlantes angainés et deux autres dans les coins.
Les jardins d'Albertas
Le « Bassin des Tritons » pièce maitresse des Jardins, huit tritons soufflent de l'eau, la terrasse est soutenue par quatre atlantes angainés et deux autres dans les coins.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>
Les jardins d'Albertas
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La quatre tritons de droite.
Les jardins d'Albertas
La quatre tritons de droite.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La quatre tritons de gauche.
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La quatre tritons de gauche.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Srtatue à l'entrée de la rampe d'accés à la terrasse des parterres.
Les jardins d'Albertas
Srtatue à l'entrée de la rampe d'accés à la terrasse des parterres.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Srtatue à l'entrée de la rampe d'accés à la terrasse des parterres.
Les jardins d'Albertas
Srtatue à l'entrée de la rampe d'accés à la terrasse des parterres.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les quatre statues monumentales d'Hercule, David, Mars et du gladiateur Borghèse sont peu communes dans les parcs provençaux.
Les jardins d'Albertas
Les quatre statues monumentales d'Hercule, David, Mars et du gladiateur Borghèse sont peu communes dans les parcs provençaux.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Hercule arbore la peau du lion de Némée et les pommes d'or du jardin des Hespérides.
Les jardins d'Albertas
Hercule arbore la peau du lion de Némée et les pommes d'or du jardin des Hespérides.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>David arme sa fronde.
Les jardins d'Albertas
David arme sa fronde.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>David arme sa fronde.
Les jardins d'Albertas
David arme sa fronde.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Mars porte la main à son glaive.
Les jardins d'Albertas
Mars porte la main à son glaive.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le Gladiateur Borghèse (ou d'Ephèse) lance son poing en avant.
Les jardins d'Albertas
Le Gladiateur Borghèse (ou d'Ephèse) lance son poing en avant.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>La terrasse des parterres a retrouvé sa composition du XVIIIème siècle; bassins, jets d'eau, bordures de buis et haies de chênes verts. Le grand bassin octogonal avec son jet d’eau central, qui avait disparu, a été recréé en marbre de Saint-Pons (Languedoc).
Les jardins d'Albertas
La terrasse des parterres a retrouvé sa composition du XVIIIème siècle; bassins, jets d'eau, bordures de buis et haies de chênes verts. Le grand bassin octogonal avec son jet d’eau central, qui avait disparu, a été recréé en marbre de Saint-Pons (Languedoc).
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les roses Jardin d'Albertas. Les fins rameaux du rosier  portent des fleurs rose pâle irisées de rose vif au pourtour des pétales tout en finesse. Chaque rose a une configuration unique, qui participe à toute la grâce de ce rosier buisson au port souple et ouvert. L'obtenteur est Guillot-Massad, l'éditeur est la Roseraie Guillot.
Les jardins d'Albertas
Les roses Jardin d'Albertas. Les fins rameaux du rosier portent des fleurs rose pâle irisées de rose vif au pourtour des pétales tout en finesse. Chaque rose a une configuration unique, qui participe à toute la grâce de ce rosier buisson au port souple et ouvert. L'obtenteur est Guillot-Massad, l'éditeur est la Roseraie Guillot.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les roses Jardin d'Albertas. Les fleurs rosées ont le caractère des roses anciennes, les pétales harmonieusement disposés et pointus se déploient en donnant beaucoup de légèreté. Son parfum, bien que léger, rappellera les senteurs des roses du Bengale pour son raffinement. Ce rosier fleurira vaillamment en 4 ou 5 vagues successives, jusqu'aux premières gelées.
Les jardins d'Albertas
Les roses Jardin d'Albertas. Les fleurs rosées ont le caractère des roses anciennes, les pétales harmonieusement disposés et pointus se déploient en donnant beaucoup de légèreté. Son parfum, bien que léger, rappellera les senteurs des roses du Bengale pour son raffinement. Ce rosier fleurira vaillamment en 4 ou 5 vagues successives, jusqu'aux premières gelées.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Deux sphinges se font face, gardiennes de la terrasse supérieure, elles portent le blason des Albertas entre leurs griffes (un loup).
Les jardins d'Albertas
Deux sphinges se font face, gardiennes de la terrasse supérieure, elles portent le blason des Albertas entre leurs griffes (un loup).
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Vue de la terrasse supérieure.
Les jardins d'Albertas
Vue de la terrasse supérieure.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>
Les jardins d'Albertas
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
Les jardins d'Albertas
Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
Les jardins d'Albertas
Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
Les jardins d'Albertas
Les deux bassins quadrilobés en marbre de Carrare ont été recréés.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le système d'irrigation.
Les jardins d'Albertas
Le système d'irrigation.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>En réalité il semble bien qu'il n'ait jamais été sérieusement envisagé de construire un château au-dessus des jardins...
Il aura fallu la passion pour les jardins d'Henri et Reynaud de Séguiran puis de Jean-Baptiste d'Albertas et de ses descendants pour créer, rénover et entretenir ainsi sur 13 générations ces jardins hors du commun...
Les jardins d'Albertas
En réalité il semble bien qu'il n'ait jamais été sérieusement envisagé de construire un château au-dessus des jardins... Il aura fallu la passion pour les jardins d'Henri et Reynaud de Séguiran puis de Jean-Baptiste d'Albertas et de ses descendants pour créer, rénover et entretenir ainsi sur 13 générations ces jardins hors du commun...
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le Belvédère du Moulin à huile qui permet d'avoir une vue d'ensemble.
Les jardins d'Albertas
Le Belvédère du Moulin à huile qui permet d'avoir une vue d'ensemble.
129
<center>Les jardins d'Albertas</center>Le jardin du Faune...tout récemment créé dans l'esprit d'un jardin romantique du XIXème tel que l'imaginait Alfred d'Albertas à l’époque.
Les jardins d'Albertas
Le jardin du Faune...tout récemment créé dans l'esprit d'un jardin romantique du XIXème tel que l'imaginait Alfred d'Albertas à l’époque.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Statue du Faune avec sa peau de bête sur l'épaule
Les jardins d'Albertas
Statue du Faune avec sa peau de bête sur l'épaule
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<center>Les jardins d'Albertas</center>et sa petite queue.
Les jardins d'Albertas
et sa petite queue.
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<center>Les jardins d'Albertas</center>Le Grand canal.
Les jardins d'Albertas
Le Grand canal.
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