InterContinental Marseille – Hotel Dieu

<center>Hôtel-Dieu. </center>
Hôtel-Dieu.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Honoré Daumier, né à Marseille le 26 février 1808, est représenté par un magnifique buste en bronze que la municipalité de Jean-Claude Gaudin avait installé au pied de l’Hôtel Dieu, en position dominante face à la place Villeneuve Bargemon sous laquelle s’écrit désormais l’histoire politique de la ville. Mais le buste gênait l’hôtel Intercontinental qui s’ouvrira dans quelques jours dans les augustes murs rénovés de cette très belle architecture hospitalière. Alors Daumier a été descellé et enlevé.
Hôtel-Dieu.
Honoré Daumier, né à Marseille le 26 février 1808, est représenté par un magnifique buste en bronze que la municipalité de Jean-Claude Gaudin avait installé au pied de l’Hôtel Dieu, en position dominante face à la place Villeneuve Bargemon sous laquelle s’écrit désormais l’histoire politique de la ville. Mais le buste gênait l’hôtel Intercontinental qui s’ouvrira dans quelques jours dans les augustes murs rénovés de cette très belle architecture hospitalière. Alors Daumier a été descellé et enlevé.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Fondé au XIIème siècle sous le nom d'Hôpital de St-Esprit sur le même emplacement, il a été une première fois agrandi en 1593. Au milieu du XVIIIème siècle, l'hôpital est reconstruit d'après les plans de Mansart, le neveu de Jules Hardouin Mansart. Il est remanié sous le Second Empire et érigé en véritable monument dédié à la médecine. Au XIXème siècle, la question de l'agrandissement de l'Hôtel-Dieu se pose une nouvelle fois. Il faut attendre le Second Empire pour voir entreprendre les travaux par l'architecte Blanchet qui  prolonge l'aile gauche de la cour, érige les pavillons aux extrémités des deux ailes et surélève l'ensemble du bâtiment d'un étage tout en respectant son architecture du XVIIIème siècle. Il est en rénovation pour accueillir un hôtel 5 étoiles.
Hôtel-Dieu.
Fondé au XIIème siècle sous le nom d'Hôpital de St-Esprit sur le même emplacement, il a été une première fois agrandi en 1593. Au milieu du XVIIIème siècle, l'hôpital est reconstruit d'après les plans de Mansart, le neveu de Jules Hardouin Mansart. Il est remanié sous le Second Empire et érigé en véritable monument dédié à la médecine. Au XIXème siècle, la question de l'agrandissement de l'Hôtel-Dieu se pose une nouvelle fois. Il faut attendre le Second Empire pour voir entreprendre les travaux par l'architecte Blanchet qui prolonge l'aile gauche de la cour, érige les pavillons aux extrémités des deux ailes et surélève l'ensemble du bâtiment d'un étage tout en respectant son architecture du XVIIIème siècle. Il est en rénovation pour accueillir un hôtel 5 étoiles.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Fondé au XIIe siècle, sous le nom d'Hôpital du St Esprit, il fut agrandi à la fin du XVIe siècle par l'annexion d'un autre hôpital, l'hôpital Saint-Jacques-de-Galice. Guillaume de Vair, ancien Garde des Sceaux et président de la Chambre Souveraine de Provence, laissa par testament 36 000 livres à l'hôpital. L'Hôtel Dieu était géré par des recteurs qui à chaque entrée en fonction devaient verser une aumône pour permettre l'achat de lits en fer.
Hôtel-Dieu.
Fondé au XIIe siècle, sous le nom d'Hôpital du St Esprit, il fut agrandi à la fin du XVIe siècle par l'annexion d'un autre hôpital, l'hôpital Saint-Jacques-de-Galice. Guillaume de Vair, ancien Garde des Sceaux et président de la Chambre Souveraine de Provence, laissa par testament 36 000 livres à l'hôpital. L'Hôtel Dieu était géré par des recteurs qui à chaque entrée en fonction devaient verser une aumône pour permettre l'achat de lits en fer.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Les travaux d'agrandissement furent ralentis par des problèmes financiers mais au XVIIIe siècle, des dons inattendus permirent de les terminer. Il a été construit à partir de 1753 par l'architecte marseillais Claude-Henri-Jacques d'Aggeville (1721-1794) sur les plans et élévations de l'architecte du roi Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), petit-fils de Jules Hardouin-Mansart. Après quelques modifications, ce fut une des plus belles réalisations hospitalières de l'Ancien Régime avec un bâtiment de 3 étages aérés par des galeries en arcade.
Hôtel-Dieu.
Les travaux d'agrandissement furent ralentis par des problèmes financiers mais au XVIIIe siècle, des dons inattendus permirent de les terminer. Il a été construit à partir de 1753 par l'architecte marseillais Claude-Henri-Jacques d'Aggeville (1721-1794) sur les plans et élévations de l'architecte du roi Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), petit-fils de Jules Hardouin-Mansart. Après quelques modifications, ce fut une des plus belles réalisations hospitalières de l'Ancien Régime avec un bâtiment de 3 étages aérés par des galeries en arcade.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Le bâtiment fut réaménagé dans son état actuel de 1860 à 1866 par l'architecte des hôpitaux de Marseille, Félix Blanchet. Il prolongea l'aile gauche de la cour, érigea les pavillons aux extrémités des deux ailes et suréleva l'ensemble du bâtiment d'un étage. Le nouvel Hôtel-Dieu fut inauguré par Napoléon III, le 15 novembre 1866, jour de fête de l'impératrice Eugénie.
Hôtel-Dieu.
Le bâtiment fut réaménagé dans son état actuel de 1860 à 1866 par l'architecte des hôpitaux de Marseille, Félix Blanchet. Il prolongea l'aile gauche de la cour, érigea les pavillons aux extrémités des deux ailes et suréleva l'ensemble du bâtiment d'un étage. Le nouvel Hôtel-Dieu fut inauguré par Napoléon III, le 15 novembre 1866, jour de fête de l'impératrice Eugénie.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation.
Hôtel-Dieu.
Avant la rénovation.
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<center>L'Hôtel-Dieu. </center>Le bâtiment fut réaménagé dans son état actuel de 1860 à 1866 par l'architecte des hôpitaux de Marseille, Félix Blanchet. Il prolongea l'aile gauche de la cour, érigea les pavillons aux extrémités des deux ailes et suréleva l'ensemble du bâtiment d'un étage. Le nouvel Hôtel-Dieu fut inauguré par Napoléon III, le 15 novembre 1866, jour de fête de l'impératrice Eugénie. En 1993, les derniers malades quittent l'Hôtel Dieu. L’établissement assure alors l'enseignement des élèves infirmiers. Il ferme définitivement ses portes en 2006 avant sa réouverture en hôtel 5 étoiles en juin 2013.
L'Hôtel-Dieu.
Le bâtiment fut réaménagé dans son état actuel de 1860 à 1866 par l'architecte des hôpitaux de Marseille, Félix Blanchet. Il prolongea l'aile gauche de la cour, érigea les pavillons aux extrémités des deux ailes et suréleva l'ensemble du bâtiment d'un étage. Le nouvel Hôtel-Dieu fut inauguré par Napoléon III, le 15 novembre 1866, jour de fête de l'impératrice Eugénie. En 1993, les derniers malades quittent l'Hôtel Dieu. L’établissement assure alors l'enseignement des élèves infirmiers. Il ferme définitivement ses portes en 2006 avant sa réouverture en hôtel 5 étoiles en juin 2013.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Les architectes de l'hôtel intercontinental sont  Anthony Bechu, Emmanuel Dujardin,  en collaboration avec Tangram, mandataire de la partie architecturale. Le décorateur est Jean-Philippe Nuel et le constructeur, Eiffage Construction Provence.
Hôtel-Dieu.
Les architectes de l'hôtel intercontinental sont Anthony Bechu, Emmanuel Dujardin, en collaboration avec Tangram, mandataire de la partie architecturale. Le décorateur est Jean-Philippe Nuel et le constructeur, Eiffage Construction Provence.
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<center>L'Hôtel-Dieu. </center>Les architectes de l'hôtel intercontinental sont  Anthony Bechu, Emmanuel Dujardin,  en collaboration avec Tangram, mandataire de la partie architecturale. Le décorateur est Jean-Philippe Nuel et le constructeur, Eiffage Construction Provence.
L'Hôtel-Dieu.
Les architectes de l'hôtel intercontinental sont Anthony Bechu, Emmanuel Dujardin, en collaboration avec Tangram, mandataire de la partie architecturale. Le décorateur est Jean-Philippe Nuel et le constructeur, Eiffage Construction Provence.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation. Buste en bronze de Daviel, chirurgien du roi, sur le parvis de l'Hôtel-Dieu de Marseille. On peut lire sur le socle : « A exécuté pour la première fois son opération de la cataracte par l'extraction du cristallin le 2(1) avril 1745 à Marseille. »
Hôtel-Dieu.
Avant la rénovation. Buste en bronze de Daviel, chirurgien du roi, sur le parvis de l'Hôtel-Dieu de Marseille. On peut lire sur le socle : « A exécuté pour la première fois son opération de la cataracte par l'extraction du cristallin le 2(1) avril 1745 à Marseille. »
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation.
Hôtel-Dieu.
Avant la rénovation.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Les deux escaliers latéraux de la cour furent établis de 1780 à 1785 par Esprit-Joseph Brun qui travaillait alors à l'extension de l'hôtel de ville. Ils présentent des paliers aériens et de belles rampes en fer forgé.
Hôtel-Dieu.
Les deux escaliers latéraux de la cour furent établis de 1780 à 1785 par Esprit-Joseph Brun qui travaillait alors à l'extension de l'hôtel de ville. Ils présentent des paliers aériens et de belles rampes en fer forgé.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation. Buste en bronze du docteur Édouard Delanglade, par son frère Charles Delanglade. Édouard Delanglade (1868-1917) est le condisciple d’Edmond Rostand au Lycée de Marseille avant de s’orienter vers la médecine. En 1900, il devient chirurgien des Hôpitaux de Marseille et, en 1905, obtient la chaire de clinique chirurgicale à l’école de médecine sise à l’Hôtel-Dieu. Il s’engage dans le conflit de la première Guerre mondiale : il est mortellement blessé sur le front alsacien le 24 décembre 1917 (il meurt le lendemain), tout juste quelques mois après le décès de son fils Jules, étudiant en médecine, tué à Vadelaincourt dans la nuit du 4 au 5 septembre 1917. Une rue du 6e arrondissement de Marseille porte aujourd’hui son nom.
Hôtel-Dieu.
Avant la rénovation. Buste en bronze du docteur Édouard Delanglade, par son frère Charles Delanglade. Édouard Delanglade (1868-1917) est le condisciple d’Edmond Rostand au Lycée de Marseille avant de s’orienter vers la médecine. En 1900, il devient chirurgien des Hôpitaux de Marseille et, en 1905, obtient la chaire de clinique chirurgicale à l’école de médecine sise à l’Hôtel-Dieu. Il s’engage dans le conflit de la première Guerre mondiale : il est mortellement blessé sur le front alsacien le 24 décembre 1917 (il meurt le lendemain), tout juste quelques mois après le décès de son fils Jules, étudiant en médecine, tué à Vadelaincourt dans la nuit du 4 au 5 septembre 1917. Une rue du 6e arrondissement de Marseille porte aujourd’hui son nom.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation. Buste en bronze d'Augustin Fabre, par Emile Aldebert, 1893. Augustin Fabre (1836-1884) est le frère de l’armateur marseillais Cyprien Fabre. Il effectue son internat de médecine à Paris (1856-1861) avant de revenir exercer dans la cité phocéenne. Professeur suppléant à l’École de Médecine en 1864, il devient titulaire de la chaire de pathologie en 1868. Puis, à partir de 1871, il préside la Société de Médecine. Par ailleurs fervent chrétien, il exprime sa foi par la charité : il soigne gratuitement les nécessiteux deux jours par semaine, devenant ainsi le « bon docteur » ou encore le « médecin des pauvres ». Sa popularité est telle que, lorsqu’il meurt brusquement, ses obsèques sont suivies par 20000 personnes et prennent l’allure d’un deuil public.
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Avant la rénovation. Buste en bronze d'Augustin Fabre, par Emile Aldebert, 1893. Augustin Fabre (1836-1884) est le frère de l’armateur marseillais Cyprien Fabre. Il effectue son internat de médecine à Paris (1856-1861) avant de revenir exercer dans la cité phocéenne. Professeur suppléant à l’École de Médecine en 1864, il devient titulaire de la chaire de pathologie en 1868. Puis, à partir de 1871, il préside la Société de Médecine. Par ailleurs fervent chrétien, il exprime sa foi par la charité : il soigne gratuitement les nécessiteux deux jours par semaine, devenant ainsi le « bon docteur » ou encore le « médecin des pauvres ». Sa popularité est telle que, lorsqu’il meurt brusquement, ses obsèques sont suivies par 20000 personnes et prennent l’allure d’un deuil public.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Cage d'escalier de l'Hôtel-Dieu de Marseille vue d'en haut.
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Cage d'escalier de l'Hôtel-Dieu de Marseille vue d'en haut.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Les paliers aériens.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Avant la rénovation. Les paliers aériens.
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Avant la rénovation. Les paliers aériens.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>La cour arrière.
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La cour arrière.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Une chambre. L'hôtel dispose en tout de 172 chambres, et 22 suites dont 72 avec vue sur le Vieux-Port et 33 avec terrasse privatives. La tête de lit en cuir blanc, le plaid brodé sur le lit ou la baignoire de style rétro nous rappellent que nous sommes dans un bâtiment ancien mais dans une réinterprétation plus contemporaine.
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Une chambre. L'hôtel dispose en tout de 172 chambres, et 22 suites dont 72 avec vue sur le Vieux-Port et 33 avec terrasse privatives. La tête de lit en cuir blanc, le plaid brodé sur le lit ou la baignoire de style rétro nous rappellent que nous sommes dans un bâtiment ancien mais dans une réinterprétation plus contemporaine.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Vue de la chambre.
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Vue de la chambre.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Vue de la chambre.
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Vue de la chambre.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Une suite. Les 22 suites se composent de 15 Suites Junior, 6 Suites Prestige et 1 Suite Présidentielle. Ces dernières, dont la Suite Présidentielle avec terrasse privée de 80 m2, étonnent par leur remarquable hauteur sous plafond et leurs vues exceptionnelles sur le Vieux-Port et Notre-Dame de la Garde.
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Une suite. Les 22 suites se composent de 15 Suites Junior, 6 Suites Prestige et 1 Suite Présidentielle. Ces dernières, dont la Suite Présidentielle avec terrasse privée de 80 m2, étonnent par leur remarquable hauteur sous plafond et leurs vues exceptionnelles sur le Vieux-Port et Notre-Dame de la Garde.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Une suite.
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Une suite.
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<center>Hôtel-Dieu. </center>Une suite.
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