Poudrerie de Miramas-Saint-Chamas, Istres
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Vers 1670, le long de l'Huveaune, fleuve côtier qui s'écoule de la montagne de la Sainte Beaume jusqu'à Marseille, de nombreux martinets à poudre sont édifiés sur le territoire d'Aubagne afin de fabriquer de la poudre noire pour les armées terrestres et navales du roi Louis XIV. Mais le débit de l'Huveaune est faible et irrégulier et quand les agriculteurs arrosent leurs champs, le débit des martinets à poudre est grandement perturbé.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Jean Antoine Deydier, officier au régiment de Champagne, grand propriétaire et consul d'Aubagne, connaît la Provence dans ses moindres recoins. Il trouve des arguments pertinents pour démontrer que la commune de Saint-Chamas est le lieu idéal. Il y passe le canal des Moulins, construit en 1670, qui se jette dans l'étang de Berre avec un débit beaucoup plus important. Les martinets pourraient être édifiés près du rivage, au pied de la colline et n'incommoderaient personne. Par un acte de 1690, la surverse du canal des Moulins est vendue au roi pour s'en servir au travail de martinet à poudre.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Bâtiment pour désamorcer les torpilles. Cette manufacture de poudre noire, puis d’explosifs, qui a fonctionné durant près de trois siècles, a cessé sa production en 1974.
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Caisses de munitions.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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Un lavoir.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Chapelle du XIIe siècle.
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Chapelle du XIIe siècle.
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Chapelle du XIIe siècle.
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Chapelle du XIIe siècle.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Chapelle du XIIe siècle. 1670 : Les eaux réunies du canal de Craponne et de la Touloubre sont dérivées pour actionner à Saint-Chamas les roues de divers moulins à blé. 1690 : Les eaux de surverse des moulins sont vendues à Louis XIV pour alimenter un martinet à poudre, premier élément de la Poudrerie Royale. 1823 : L'Etat devient propriétaire de la totalité des eaux de la Touloubre et du moulin à blé. Le canal prend le nom de canal de la Poudrerie. La poudrerie couvre 6 hectares.
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Chapelle du XIIe siècle.
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Chapelle du XIIe siècle.
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Chapelle du XIIe siècle. Ancienne entrée.
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Chapelle du XIIe siècle.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Colline sèche méditerranéenne. Sur les reliefs, la garrigue à romarin contraste avec le reste de l’espace boisé. Des oliviers, amandiers et figuiers, témoins de l’activité agricole d’avant 1914, y côtoient pins d’Alep, chênes verts, robiniers, micocouliers, pistachiers lentisques et térébinthes, cistes, nerpruns et genêts.
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Colline sèche méditerranéenne.
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Colline sèche méditerranéenne. Au loin, Miramas-le-Vieux.
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Voie creusée dans le safre.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Socles de réservoirs horizontaux.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Socles de réservoirs horizontaux.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Socles de réservoirs horizontaux.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Socles de réservoirs verticaux.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Etang de Berre. De la vigie, on domine la forêt humide rare en Provence, le marais et la roselière. Le rôle de cette vigie était de surveiller les ouvriers pour voir s'ils fumaient.
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Etang de Berre.
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Etang de Berre.
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Etang de Berre.
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Miramas-le-Vieux avec au sommet l'église et son fameux glacier.
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Anes débrouissailleurs.
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Ancien transformateur. 1881 : Avec la force hydraulique, on produit de l'électricité utilisée pour l'éclairage du site. La poudrerie sera la première usine de France a être éclairée. 1924 : Construction d'une centrale hydroélectrique.
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L'ancienne voie ferrée.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Imposants murs de soutènement.
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Imposants murs de soutènement.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Imposants murs de soutènement.
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Un réservoir.
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Aster.
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Cyprès chauves avec leurs curieux pneumatophores. Le cyprès chauve a été surnommé l'arbre des poudriers.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Cyprès chauves avec leurs curieux pneumatophores.
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L'embarcadère Il se nommait ES111 et servait de point d'embarquement pour les trains. Son inclinaison facilitait le chargement de poudre dans les wagons. Une fois chargés, les trains rejoignaient la gare de Miramas ou le port de Saint-Chamas, au moyen des voies dont vous voyez encore quelques vestiges ça et là dans la Poudrerie. La poudre était alors acheminée et vendue aux quatre coins du monde. En face, se trouvait l'atelier de réparation. Au bord de l'étang, se trouvait le dépôt de poudre noire qui a été démoli en 1980.
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Arbre traversé par une barre de fer lors de l'explosion de 1936.
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Le tube ressortait ici : l'arbre a recouvert le tube de son écorce.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Le monument aux victimes des explosions de 1936 et 1940. Le 16 novembre 1936, une terrible explosion détruise le bâtiment 104 où l'on fabriquait de la tolite (trinitrotoluène - T.N.T). Cet accident fit 53 morts et près de 200 blessés. Tous les ans, à cette même date, une cérémonie a lieu pour commémorer cet événement
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Le monument aux victimes des explosions de 1936 et 1940.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
En 2005, pour les 30 ans du Conservatoire du Littoral, propriétaire des lieux, les enfants des centres aérés de Miramas et Saint-Chamas, parrainés par d'anciens poudriers et leur famille, ont planté 53 cyprès chauves, en hommage aux 53 victimes de l'explosion.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
En 2005, pour les 30 ans du Conservatoire du Littoral, propriétaire des lieux, les enfants des centres aérés de Miramas et Saint-Chamas, parrainés par d'anciens poudriers et leur famille, ont planté 53 cyprès chauves, en hommage aux 53 victimes de l'explosion.
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En bordure de cette allée des pancartes portent le nom de chaque enfant et celui du poudrier dont nous avons voulu perpétuer le souvenir.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Le monument "EMPREINTE" élevé pour le 40ème anniversaire de l'explosion de 1936. Au-delà d'un simple monument, Empreinte est en fait une mise en situation composée de quatre éléments symbolisant les mutations successives du site de la Poudrerie : - le métal et les blocs de pierre constituent l'ossature déstructurée du bâtiment 104 suite à la violence de l'explosion, - la terre teintée de jaune, de rouge et de noir permet de visualiser le spectre de couleur de la tolite, l'explosif à l'origine de la catastrophe de 1936, - le bois incarne l'arbre qui prend racine, se nourrit de l'Histoire et restitue cette mémoire aux nouvelles générations. - le bas relief fait référence aux onze victimes piégées dans le souterrain censé les protéger de l'explosion, - le téléphone définitivement décroché après avoir donné l'alerte semble encore retentir des cris des poudriers....
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Le monument "EMPREINTE" élevé pour le 40ème anniversaire de l'explosion de 1936. Du reste cette œuvre a vocation à évoluer avec son environnement : - le bois encore frais va se patiner, se fendre, se déplacer, - le fer va rouiller, et se tordre, - et peu à peu la végétation va chercher à s'emparer du monument, comme elle l'a fait partout ailleurs dans la Poudrerie. - les branchages comportent cinquante-trois rameaux.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
Le réseau hydraulique Ce bassin se trouve sur un des points culminants du site de la poudrerie. Il est placé en hauteur pour que la pression de l'eau en contre bas soit importante. Les vannes qui l'entourent répartissent l'eau vers les endroits où elle sera utilisée. Les bassins Il y a sur chaque hauteur un ou plusieurs bassins comme celui-ci. Ils sont ouverts pour pouvoir récupérer les eaux de pluie, et si cela ne suffit pas, les tuyaux, que l'on peut voir au dessus de la margelle, puisent de l'eau dans les canaux ou les bassins en aval, pour maintenir un niveau suffisamment élevé et avoir en permanence une réserve de sécurité.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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Bâtiment pour désamorcer les torpilles.
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La poudrerie de Saint-Chamas.
En 1939, à la veille de la guerre, l’État Français a décidé de réquisitionner des ressortissants indochinois afin de soutenir l’effort de guerre et d’assurer une main d’œuvre dans les usines d’armement et de munitions. 20 000 travailleurs Indochinois sont ainsi venus en France, regroupés en 72 compagnies ; 3 compagnies avaient été affectées à St-Chamas. Ces personnes ont travaillé dans des conditions de vie et de santé extrêmement précaires.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Le Pont Flavien est un ouvrage d'art romain remarquablement conservé, sur la route qui reliait Marseille à Arles par la rive nord de l'étang de Berre, dans le prolongement de la via Aurelia. Ce pont mesure 22 mètres de long entre les arcs, près de 6 mètres de large, lance son arche unique en plein centre d'un rayon de 6, 50 mètres à quelques 6 mètres au-dessus de la Touloubre.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Il porte le nom de son promoteur, un certain Claudius Donnius Flavius, au Ier siècle.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Calcaire, dont pierre de Calissanne. Des véhicules de l'armée américaine ont détruit le portique nord à leur passage en 1945.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Sur la face externe de chaque arc du pont, la même inscription : « L. DONNIV C. F. FLAVUS FLAMEN ROMAE ET AVGVSTI TESTAMENTO FIEREI IVSSI T. ARBITRATV C. DONNEI VENAE ET C. ATTEI RVFEI ». Traduction : Claudius Donnius Flavus, fils de Claudius, flamine de Rome et d'Auguste, a ordonné par son testament de bâtir ce pont et ces arcs, sous la direction de C. Donnius Vena et de C. Attius Rufus.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Le Touloubre.
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Le pont flavien à Saint-Chamas.
Le Touloubre.
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Les maisons troglodytes de Saint-Chamas.
Vue du port du Pertuis, côté Ouest, la falaise aux couleurs changeantes, passant du gris au jaune, présente des ouvertures à une belle hauteur, en à pic de la rue du Baou. Ces ouvertures sont autant de fenêtres, de baies vitrées ou non, des habitats troglodytiques aménagés dans les grottes dont l’entrée principale se situe, côté Est, dans le village, rue des Pénitents mais ici, nous disons montée des Pénitents. Ces « baumes » ne sont pas toutes naturelles. Elles ont été creusées pour servir de remises, de bergeries, de champignonnières et aussi de moulin à huile. La plus ancienne daterait des années 1600. Le long de la rue du Baou, des grottes sont visibles à l’état brut. Il arrive que des blocs de safre se décrochent et la prudence est de mise. En 1615 seulement deux grottes naturelles étaient habitées.C'est seulement après que le seigneur de Saint Aman ai cédé ses droits de propriété au conseil de communauté, que l'autorisation de creuser des grottes est officielle. Les travaux pour vivre dans une grotte sont de deux ordres : creuser pour élargir et approfondir, en tenant compte des voisins et des risques d’éboulement et puis agencer en intégrant tout le confort : eau, électricité…et les pièces à vivre. Aucun problème pour l’isolation, elle est naturelle aussi bien phonique que climatique et la grotte garde une température quasi constante été comme hiver. Les murs sont à 19° tout le temps, et l'air ambiant subit des variations allant de 18 à 23°, très naturellement. Ces habitats sont, écologiquement et économiquement parlant, très performants.
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Istres.
Le Portail d'Arles (dit aussi St Eloi, d'en bas), a été édifié entre 1771 et 1773 à l'emplacement de l'ancienne porte des remparts écroulés, par les maîtres-maçons Jean Tabusteau d'Istres et François Peytrau de St Mitre avec des pierres provenant d'une carrière locale. De forme légèrement concave, sa face antérieure d'une grande sobriété, est décorée de deux guirlandes fleuries. L'arc repose sur deux pilastres et sa clef de voûte est ornée d'un écusson de style Louis XV. Une grande corniche court à la partie supérieure de ce monument.
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Le Portail d'Arles.
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Le Portail d'Arles.
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Le Portail d'Arles. Sous la guilande de gauche est gravée l'inscription « tous les citoyens habitant la même.... Cette phrase d'inspiration révolutionnaire, incomplète sur le portail d'Arles, trouve sa suite grâce à la phrase entière qui figure sur la façade de l'hôtel de ville de Marseille : «Tous les citoyens habitant la même cité, sont garants civilement des attentats commis contre les personnes et les biens.»
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Istres.
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Istres.
Ancien Hotel de Ville en fonction jusqu'en 1830. La porte d'entrée encadrée de deux pilastres, est surmontée d'une imposte et d'une grande plaque sculptée de deux génies. Un incendie s'est déclaré en 1706, ravageant une partie des archives, d'où un deuxième étage «atypique » du reste du bâtiment, reconstruit au XVIIIème siècle. A droite, le blason d'Istres : D'azur à l'étoile d'or. L'étoile rappelle celle composée de seize rais d'argent de la maison de Baux qui fut suzerain de la ville au Moyen Âge.
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Emplacement dans le mur de l'étal d'un four datant de 1634.
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Très bel hôtel particulier rénové au XVIIIème siècle, sous le règne de Louis XV. De construction antérieure au XVIIème siècle, cette demeure faisait alors partie de la «porte de Place », porte principale des remparts, flanquée de tours étroites.
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Cet hôtel habité par des notables, était par sa position et par l'importance de son bâti, l'un des plus importants de la cité.
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Les niches sont l’empreinte de la ferveur catholique de la Provence jusqu’au XIXème siècle.
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Maison adossée à un reste du rempart, on peut voir ce qui correspondait au chemin de ronde.
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Maison restaurée sous le premier empire. La façade est décorée de pilastres de trois ordres : dorique, ionique et corinthien.
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La grande rue des Fabre : elle fut dans l'ancienne ville, l'une des principales artères commerçantes. Cette rue présente une très belle unité de façades, avec permanence de la moulure-bandeau entre les étages.
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La grande rue des Fabre
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La grande rue des Fabre.
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La grande rue des Fabre.
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La grande rue des Fabre.
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La grande rue des Fabre. Les angles des rues (contreforts d’angles à refends, pans coupés), gardent le souvenir de ce bourg agricole où les charrettes devaient pouvoir tourner facilement.
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Eglise de la Sainte Famille. Bel édifice d'architecture contemporaine, construite en 2004, l'église de la Sainte famille se caractérise par une coupole monumentale, en pierres taillées par les compagnons du devoir et recouverte de cuivre sur sa partie extérieure.
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Céramique du tympan. Dix spécialistes de la mosaïque, des ouvriers italiens, serbo-croates et mexicains dont 4 femmes, ont pendant trois jours réalisé la fresque religieuse du tympan de l’Église de la Sainte Famille sous la houlette du Père Marko Ivan Rupnik, jésuite. 800000 pierres, en onyx, marbre, émaux ou galets, ont été nécessaires pour réaliser les 5 personnages composant la mosaïque.
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La coupole ovoïde s'impose par ses dimensions, 18 m de longueur, 26 m de largeur et 19 m de hauteur. La lumière pénétre grâce à un oculus situé au sommet de la coupole et par deux absidioles abritant le baptistère au nord et le tabernacle au sud.
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Elle repose sur 4 piliers en béton armé de 10 m de haut et pesant chacun 50 tonnes.
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Chaque pilier est coiffé d'un chapiteau pierre de chandoré sculpté des symboles représentant les 4 évangélistes : St Marc par le lion,
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St Luc par le Taureau,
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St Mathieu par l'homme,
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et St Jean par l'Aigle.
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Saint Etienne, premier martyr, saint patron de la ville.
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Eglise de la Sainte Famille.
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Eglise de la Sainte Famille.
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Eglise de la Sainte Famille.
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Le tabernacle.
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Outre le baptistère destiné aux jeunes enfants, réalisé en pierre de Tavel et composé d'une vasque et d'un pied en forme de croix vrillée d'un quart de tour,
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Eglise de la Sainte Famille. , l'église comporte la particularité d'abriter sur la gauche de l'autel, un baptistère pour adultes se présentant sous la forme d'un bassin.
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L’église est bâtie en pierres de taille (pierre du Luberon des carrières de Ménerbes). Chaque pierre, numérotée, est posée à un emplacement précis. Les pierres sont posées par des tailleurs de pierre, principalement des Compagnons du Devoir, suivant l’antique tradition. Depuis 10 siècles, les Compagnons, dont on sait l’ouverture spirituelle, favorisent l'accomplissement de l'Homme par le Travail (perfection de l’ouvrage). Les angles des pierres ont été cassés avant le transport pour éviter les cassures accidentelles. Les cavités ainsi formées servent de pièges à son.
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Pour concevoir l’église de la Sainte Famille, François Gautier, architecte, s’est inspiré de l’architecture de l’époque baroque. Les matériaux: La pierre, pour l'éternité, Le bois, pour évoquer l’arbre du Paradis terrestre. L’arbre de la connaissance est l’axe du monde qui relie la terre au ciel. La terre cuite. Dans la Bible, le premier homme a été créé à base d’argile (Adam signifie homme rouge en hébreu).
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Il n'y a pas de clé de voûte : le lustre tire l'ensemble et assure la stabilité.
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Rue de la Salpétrière avec son passage couvert.
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Rue de la Salpétrière avec son passage couvert.
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Clocher de l'Eglise Notre Dame De Beauvoir. Le clocher d'origine qui était pointu, déjà frappé par la foudre en 1788 et 1831, s'écroulera le 28 octobre 1835 en faisant cinq victimes (deux femmes et trois enfants). Reconstruit à côté du bâtiment dans le style de celui de beaucoup d'églises de Provence, il fut inauguré en 1838.
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La place Léon Julien : c'est à cet emplacement que l'on situe l'ancien château féodal.
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A la base de la rampe d'escaliers une très belle main sculptee en fonte du XIXème siècle.
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L'Eglise Notre Dame De Beauvoir
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L'Eglise Notre Dame De Beauvoir
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L'Eglise Notre Dame De Beauvoir. A-t-elle été édifiée à partir de la chapelle et ruines de l'ancien château auquel elle devrait sa base fortifiée et son asymétrie ? Ses dimensions 34 m de long, 21 m de large, 11 m de hauteur, ses voûtes, ta sobriété de son décor en font un très bel édifice de style roman provençal.
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L'Eglise Notre Dame De Beauvoir. Son clocher d'origine qui était pointu, déjà frappé par la foudre en 1788 et 1831, s'écroulera le 28 octobre 1835 en faisant cinq victimes (deux femmes et trois enfants). Reconstruit à côté du bâtiment dans le style de celui de beaucoup d'églises de Provence, il fut inauguré en 1838.
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Etang de l'Olivier, où se trouve le jet d'eau le plus haut de France (50m).
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Istres.
Maison Arts Déco.
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Les HBM : Habitations Bon Marché de la loi Loucheur, construites en 1930. Ancêtres des HLM.
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Théâtre de l'Olivier.
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
On retrouve sur la tranche des miroirs les bandes de Buren.
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
Panneau n°1 où manque la couleur bleue. Elle est remplacée par des rayures chères à Buren.
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Buren : cinq couleurs moins une
Panneau n°2 où manque la couleur jaune. Elle est remplacée par des rayures chères à Buren.
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Buren : cinq couleurs moins une
Panneau n°3 où manque la couleur magenta. Elle est remplacée par des rayures chères à Buren.
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Buren : cinq couleurs moins une
Panneau n°4 où manque la couleur rouge. Elle est remplacée par des rayures chères à Buren.
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Buren : cinq couleurs moins une
Seule la couleur verte est présente sur les quatre panneaux. Le panneau de droite est le panneau n°1 où manque le bleu. Les autres panneaux sont dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Buren : cinq couleurs moins une
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Etang de Pourra.
Environné de collines recouvertes de garrigues et de pinèdes, ce vaste étang, peu profond, dont le plancher est situé à 6 m au-dessous du niveau de la mer, fait partie d'un ensemble de cinq étangs occupant des dépressions d'origine éolienne.
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