Elle est fondée en 777 ou 782 par saint Benoît d'Aniane et fait partie au XVIIe siècle de la Congrégation de Saint-Maur. Les bâtiments monastiques sont complètement détruit entre 1561 et 1572. La reconstruction commence en 1679 par l'église, mais va durer jusqu'en 1714 ; puis le grand bâtiment Ouest et le cloître sont rebâtis. Ensemble monastique mauriste des 17e et 18e siècles unique en Languedoc. Lieu de mémoire de l'histoire pénitentiaire des 19e et 20e siècles.
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L'église Saint-Sauveur
Il ne reste rien du monastère médièval dévasté au XVIe. L’église actuelle fut construite par les moines Bénédictins de la Congrégation de St Maur, entre 1679 et 1714, dans le style baroque. Son autel a été consacré en 1683 par l’abbé le Cardinal de Bonzi.
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L'église Saint-Sauveur
Sa façade classique est caractéristique des réalisations de l'époque, avec ses deux niveaux inspirés des modèles romains : superposition de colonnes doriques et corinthiennes et fronton semi-circulaire avec volutes pour relier l'ensemble.
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L'église Saint-Sauveur
Les deux volutes ( cornes de bouc) qui ecadrent la façade évoquent l’église de Jésus à Rome. Elle est rythmée par huit colonnes superposées et jumelées qui soutiennent un fronton ayant en son centre un Christ en majesté.
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L'église Saint-Sauveur
Le fronton ayant en son centre un Christ en majesté.
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L'église Saint-Sauveur
Entre les colonnes géminées, on aperçoit les statues des apôtres Pierre et Paul, saints patrons du diocèse de Maguelonne puis de Montpellier.
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L'église Saint-Sauveur
St Pierre.
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L'église Saint-Sauveur
St paul.
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L'église Saint-Sauveur
L’intérieur de l’église présente une grande unité de style. La nef possède 6 travées, et un transept surmonté d’une coupole, qui coupe le vaisseau en deux parties : la partie la plus longue accueillait les moines, la plus courte les fidèles.
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L'église Saint-Sauveur
Allure imposante de la succession d’arcades supportant une corniche ornée d’une frise de style corinthien.
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L'église Saint-Sauveur
La croisée du transept est surmontée d'une coupole, avec, dans les trompes les quatre évangélistes.
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L'église Saint-Sauveur
dans le transept, l’autel de la vierge fut construit au XIXe siècle.
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
Construit en 1742 par Emmanuel Bossart, facteur d’orgue suisse, cet orgue de salon est acheté en 1761 à une famille de magistrats d’Aix-en-Provence pour équiper l’église abbatiale Saint-Sauveur.
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
Statue de st Benoit d'Aniane, portant la maquette de l'abbaye.
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
La chaire.
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L'église Saint-Sauveur
La chaire.
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L'église Saint-Sauveur
A droite, sur la première clé de voûte prés du chœur , on voit l’emblème de la congrégation de Saint Maur, avec le mot PAX dans une couronne d'épines, accompagné en pointe des trois clous de la Passion.
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L'église Saint-Sauveur
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L'église Saint-Sauveur
L'autel de cette église fut consacré en 1638.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Antoine Ranc. A gauche, St Benoit de Nursie et à droite St Benoit d'Anniane présentant l'abbaye.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Antoine Ranc. A gauche, St Benoit de Nursie et à droite St Benoit d'Anniane présentant l'abbaye.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Etienne Loys. L'Adoration des Bergers.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Etienne Loys. Les rois Mages.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Etienne Loys. Baptême du Christ.
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L'église Saint-Sauveur
Tableau d'Etienne Loys. La Transfiguration du Christ, d'après Raphaël. Le tableau est inversé car Loys a travaillé d'après une gravure, et les gravures sont inversées.
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La fontaine
Cette nymphe en bronze, juchée depuis 1886 sur la fontaine de la place de l’église est un legs à la commune de M. Mongin fils, propriétaire d’une usine à gaz autrefois implantée à Aniane. Erigée face à l’abbatiale Saint Sauveur, mais lui tournant délibérément le dos pour ne pas exposer à la Vierge sa poitrine dénudée, elle était équipée à l’origine d’un éclairage à gaz, remplacé par un lampadaire électrique, puis ôté.
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La fontaine
Cette nymphe en bronze, juchée depuis 1886 sur la fontaine de la place de l’église est un legs à la commune de M. Mongin fils, propriétaire d’une usine à gaz autrefois implantée à Aniane. Erigée face à l’abbatiale Saint Sauveur, mais lui tournant délibérément le dos pour ne pas exposer à la Vierge sa poitrine dénudée, elle était équipée à l’origine d’un éclairage à gaz, remplacé par un lampadaire électrique, puis ôté.
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La fontaine
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Les balcons.
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Les balcons.
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Les balcons.
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Les balcons.
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Les balcons.
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Les balcons.
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L'hôtel de ville.
Ancien marché couvert, construit en 1780. Les guirlandes enrubannées et les cannelures des consoles qui supportent le balcon sont caractéristiques de l’ornementation de la fin du XVIIIe siècle
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Chapelle des pénitents
La Chapelle des Pénitents est l’ancienne église paroissiale d’Aniane, l’église Saint-Jean Baptiste, encore appelée Chapelle des Pénitents Blancs. Comme de nombreuses églises, elle porte la marque de plusieurs époques : préromane et romane du XIIème siècle sur ses côtés sud et ouest, fenêtre et rosace gothique et porte d’époque Louis XVI. Clocher du XIVe siècle. Entre chaque contrefort, il y avait sans doute des échoppes.
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Chapelle des pénitents
La majeure partie des voûtes sont d’origine gothique (XIIIème siècle), mais elles ont été restaurées au XVIème siècle, après les guerres de religion. La Chapelle des Pénitents est un lieu magnifique, chargé d’histoire mais toujours ouvert et vivant. La chapelle est un lieu d’exposition permanente et de concerts, qui vous permettra aussi de découvrir le centre historique d’Aniane.
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Chapelle des pénitents
Style classique de la façade : porte en plein cintre, encdré par des pilastres jumelés ssurmontés de chapiteaux ioniques.
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Chapelle des pénitents
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Chapelle des pénitents
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Chapelle des pénitents
Le clocher.
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La halle
Ancien marché couvert datant du XIXe construit sur l’emplacement de l’ancien cimetière communal.
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Le lavoir
Attenant à la halle, le lavoir a été construit en 1934.
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Le lavoir
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Ancien rempart d'Aniane.
Inféodé en 1786, c'est-à-dire qu'on a permis aux habitants de percer des fenêtres. Les remparts ont surtout servi pendant la guerre de cent ans contre les routiers.
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Ancien rempart d'Aniane.
Le ruisseau des Corbières, à droite les anciens remparts.
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Le ruisseau des Corbières.
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Ancien quartier des tanneurs.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
La cour d'honneur.
En 1793, rachat par la famille Farel et installation d'une filature de coton (120 ouvrières à l'ouverture, uniquement des femmes et des jeunes filles à partir de 7 ans). En 1810, la commune autorise l'utilisation de la source Saint-Rome pour les machines de la filature. Cette activité cesse en 1843.
En 1845 l'administration pénitentiaire regroupe les propriétés morcelées de l'ancien enclos abbatial pour créer une maison centrale de détention relevant du ministère de la justice qui accueillera plus de 800 détenus; deux ailes parallèles encadrant une longue cour sont ajoutées à l'Est. Une caserne est également créée. En 1885, la maison centrale de détention devient une « colonie industrielle pour jeunes détenus » puis une IPES (Institution publique d’éducation surveillée) le 2 février 1945. On y accueille désormais jusqu'à 200 enfants et adolescents délinquants à la fois, pour leur enseigner divers métiers industriels.
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L'ancienne abbaye.
La cour d'honneur. En 1951, de nouvelles extensions sont réalisées. l'IPES fermera ses portes définitivement en 1994, (devenant brièvement un centre de rétention administrative). Plusieurs révoltes et tentatives d'évasion massives durement réprimées marquent l'histoire de ce "bagne d'enfants" tristement célèbre, notamment en 1898 et 19383. L'historienne et romancière Marie Rouanet consacrera à cette période sombre d'Aniane un chapitre de son livre Les Enfants du bagne paru chez Payot en 1994.
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L'ancienne abbaye.
La cour d'honneur.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître. Chapelle funéraire.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître. Chapelle funéraire.
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Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître.
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L'ancienne abbaye.
Le cloître. Vestiges de l'abbatiale ?
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L'ancienne abbaye.
Le cloître. Vestiges de l'abbatiale ?
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers. Le réfectoire.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers. Les fouilles.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers. Les fouilles.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers. Les fouilles.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Les ateliers.
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L'ancienne abbaye.
Linaire cymbalaire, cymbalaire, ruines-de-Rome.
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L'ancienne abbaye.
L'escalier monumental menant aux cellules.
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L'ancienne abbaye.
L'escalier monumental menant aux cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Les anciennes cellules.
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L'ancienne abbaye.
Appartement du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Appartement du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Appartement du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Appartement du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Jardin du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Jardin du directeur.
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L'ancienne abbaye.
Jardin du directeur.
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Domaine de RIEUSSEC
Le site est très ancien, vraisemblablement occupé par une villa romaine sous le nom de VILLA GRANARIO. Le premier acte connu concernant le Domaine de RIEUSSEC est un acte du 23 juin 853 portant donation de WISTRIMIRUS,wisigoth vraisemblablement converti à la religion chrétienne, à l’abbaye d’ANIANE.
Depuis le XV Siècle, le vignoble de RIEUSSEC appartient à la même famille. Au 15ème siècle le vignoble se situe au «Vallon de RIEUSSEC».
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Domaine de RIEUSSEC
Caveau familial Lonjon-Raynaud. JULES RAYNAUD, avocat au Barreau de Paris, en 1863, réuni les vignes du Domaine de RIEUSSEC en une seule unité foncière et leur adjoigna celles contiguës du Domaine de GASSAC qui appartenait à sa femme.
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Domaine de RIEUSSEC
Caveau familial Lonjon-Raynaud. Lorsque leur fille, MARGUERITE RAYNAUD hérita du Domaine de GASSAC, son époux le préfet LOUIS LONJON rebaptisa le Domaine de GASSAC qui devint le Domaine des MARGUERITES du prénom de son épouse et de sa fille, MARGUERITE(S) LONJON-RAYNAUD. Jusqu'en 1786, les protestants ne pouvaient pas enterrer leurs morts dans les cimetières communaux.
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Domaine de RIEUSSEC
Jardin paysager à la française.
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Domaine de RIEUSSEC
Jardin paysager à la française.
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Domaine de RIEUSSEC
C'est vers 1860 que des éléments architecturaux d'ornementation ont été introduits : escalier de pierre, balustres destinés à valoriser un petit « jardin anglais ».
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Domaine de RIEUSSEC
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Domaine de RIEUSSEC
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Domaine de RIEUSSEC
L'ancienne magnanerie a été transformée en orangerie. C'est vers 1860 que fut installée dans le parc toute une série de vases d'Anduze.
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Domaine de RIEUSSEC
Vase d'Anduze de l'entreprise Boisset, 1810.
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Domaine de RIEUSSEC
Vase d'Anduze de l'entreprise Boisset, 1810.
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Domaine de RIEUSSEC
Vase d'Anduze de l'entreprise Boisset, 1810.
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Domaine de RIEUSSEC
Dans les jardins, la nature y est à peine apprivoisée et c'est bien pour cette raison que le Domaine de RIEUSSEC a fait l'objet d'une protection au titre des Monuments Historiques en raison de son authenticité et c'est en totalité que ses jardins, terrasses et son espace boisé ont fait l'objet de cette protection. Les jardins ont été crées à deux époques différentes, l'une au XVII siècle où l'on remarque de grands arbres autour de la maison principale d'essences variées employées généralement pour la création des parcs. Ici, une allée de mûriers blancs
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Domaine de RIEUSSEC
Un mûrier blanc.
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Domaine de RIEUSSEC
Les arbres de haute futaie ont actuellement trois siècles et constituent la structure de l'ensemble boisé. Il y a des pins pignons,des abiés pinsapos, plantés par trois, en référence à coutume religieuse liée à la Saint Trinité, des hêtres, des frênes, des ormes
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Domaine de RIEUSSEC
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Domaine de RIEUSSEC
Allée de méditation avec des buis vieux de 200 ans. Sa longueur est de 250 m.
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Domaine de RIEUSSEC
Ruine de la chapelle St Martin de Carcares.
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Domaine de RIEUSSEC
Notre hôtesse, Marie-Hélène DELTORT.
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Domaine de RIEUSSEC
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Domaine de RIEUSSEC
Depuis le 1er novembre 2002, le domaine est à nouveau en exploitation directe et la propriétaire actuelle Marie-Hélène DELTORT a entrepris une rénovation totale et complète des bâtiments et du vignoble. En 2003, elle recréa l'ancienne cave de vinification. Ses premières vendanges se sont déroulées la même année. En 2004, elle a fait sa première vinification au domaine.
