Sisteron

<center></center><center>Ferme du prieuré de Vilhosc</center> Il ne subsiste du prieuré que la crypte. So pla se compose d'une partie centrale suivie d'une abside semi-circulaire et flanquée de deux_bascôtés terminés xhacun par une absidiole.
Ferme du prieuré de Vilhosc
Il ne subsiste du prieuré que la crypte. So pla se compose d'une partie centrale suivie d'une abside semi-circulaire et flanquée de deux_bascôtés terminés xhacun par une absidiole.
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<center></center><center>Ferme du prieuré de Vilhosc</center> Une absidiole.
Ferme du prieuré de Vilhosc
Une absidiole.
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<center></center><center>Ferme du prieuré de Vilhosc</center>
Ferme du prieuré de Vilhosc
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<center></center><center>Ferme du prieuré de Vilhosc</center> Chapiteau portant uine inscription mentionnant la dédicace d'un autel du Saint-Sépulcre le 7 des Calendes de mai et qui peut remonter à la fin du Xe ou au début du XIe.
Ferme du prieuré de Vilhosc
Chapiteau portant uine inscription mentionnant la dédicace d'un autel du Saint-Sépulcre le 7 des Calendes de mai et qui peut remonter à la fin du Xe ou au début du XIe.
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center>
Le pont de la reine Jeanne
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center> Il franchit le Vançon. Largeur de chaussée : 2.17 m. L'histoire de ce pont médiéval est étroitement mêlée à l'histoire de celle qui, selon la légende, participa financièrement à sa construction. La reine Jeanne est née à Naples en 1326. Elle fut reine de Sicile et de Provence de 1343 à 1382.
Le pont de la reine Jeanne
Il franchit le Vançon. Largeur de chaussée : 2.17 m. L'histoire de ce pont médiéval est étroitement mêlée à l'histoire de celle qui, selon la légende, participa financièrement à sa construction. La reine Jeanne est née à Naples en 1326. Elle fut reine de Sicile et de Provence de 1343 à 1382.
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center> Il possède une seule arche et s'appuie sur la roche de chaque côté au point le plus étroit du torrent. Sa typologie pourrait le faire remonter au XVIIe siècle. Hauteur de la clé au-dessus de la rivière : 10 m
Le pont de la reine Jeanne
Il possède une seule arche et s'appuie sur la roche de chaque côté au point le plus étroit du torrent. Sa typologie pourrait le faire remonter au XVIIe siècle. Hauteur de la clé au-dessus de la rivière : 10 m
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center> C'est une arche segmentaire à double archivolte.
Le pont de la reine Jeanne
C'est une arche segmentaire à double archivolte.
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center>
Le pont de la reine Jeanne
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center>
Le pont de la reine Jeanne
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center> Le Vançon.
Le pont de la reine Jeanne
Le Vançon.
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<center></center><center>Le pont de la reine Jeanne</center> Le Vançon.
Le pont de la reine Jeanne
Le Vançon.
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<center></center><center>La Citadelle.</center> Le rocher qui porte la Citadelle a de tout temps été fortifié. Il ne reste rien de l’oppidum romain, pas davantage du château-fort du haut Moyen-Âge, fait de palissades et de tours précaires. La forteresse qui couronne la ville aujourd’hui est un ensemble d’ouvrages d’époques très diverses, fruit de modernisations et de reprises successives. Le rempart supérieur, ou chemin de ronde, ponctué d’un puissant donjon, date du XIIIe, voire du XIIe siècle. Deux autres tours s’y élevaient, arasée pour l’une (à l’ouest), abaissée pour l’autre. À cette ligne de couronnement, on a adapté, au XVIesiècle – après les dommages des guerres de Religion – au nord et au sud, un étagement d’ouvrages bastionnés auquel venait s’attacher le rempart enserrant la cité depuis le XIVe siècle.
La Citadelle.
Le rocher qui porte la Citadelle a de tout temps été fortifié. Il ne reste rien de l’oppidum romain, pas davantage du château-fort du haut Moyen-Âge, fait de palissades et de tours précaires. La forteresse qui couronne la ville aujourd’hui est un ensemble d’ouvrages d’époques très diverses, fruit de modernisations et de reprises successives. Le rempart supérieur, ou chemin de ronde, ponctué d’un puissant donjon, date du XIIIe, voire du XIIe siècle. Deux autres tours s’y élevaient, arasée pour l’une (à l’ouest), abaissée pour l’autre. À cette ligne de couronnement, on a adapté, au XVIesiècle – après les dommages des guerres de Religion – au nord et au sud, un étagement d’ouvrages bastionnés auquel venait s’attacher le rempart enserrant la cité depuis le XIVe siècle.
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<center></center><center>La Citadelle.</center>À cette ligne de couronnement, on a adapté, au XVIe siècle - après les dommages des guerres de Religion - au nord et au sud, un étagement d’ouvrages bastionnés auquel venait s’attacher le rempart enserrant la cité depuis le XIVe siècle. La face sud comporte quatre enceintes fermées de portes bien défendues, pour certaines, par des ponts- levis.
La Citadelle.
À cette ligne de couronnement, on a adapté, au XVIe siècle - après les dommages des guerres de Religion - au nord et au sud, un étagement d’ouvrages bastionnés auquel venait s’attacher le rempart enserrant la cité depuis le XIVe siècle. La face sud comporte quatre enceintes fermées de portes bien défendues, pour certaines, par des ponts- levis.
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<center></center><center>La Citadelle.</center> Le donjon et la chapelle.
La Citadelle.
Le donjon et la chapelle.
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<center></center><center>La Citadelle.</center> Première enceinte (XVIe s.). Une échauguette.
La Citadelle.
Première enceinte (XVIe s.). Une échauguette.
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<center></center><center>La Citadelle.</center> Le début de l'escalier  qui mène à la citadelle.
La Citadelle.
Le début de l'escalier qui mène à la citadelle.
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<center></center><center>Le rocher de la Baume. </center>L' anticlinal de Naux qui fait partie de l'anticlinorium de Laragne, est traversé par la Durance, à Sisteron, dans une « clue ». Ce terme est spécifique à la région, le terme consacré, en géologie est « cluse ».
Cette barre est tithonique (ou tithonienne) et comporte une charnière déversée vers le sud ; les bancs de ce rocher sont biseautés par une surface de chevauchement. Dans la partie haute de la crête, les couches du Tithonique du flanc sud de l'anticlinal des Naux se renversent vers le sud. Elles sont en outre perturbées par des plissotis ainsi que par deux failles pentées vers le nord.
Le rocher de la Baume.
L' anticlinal de Naux qui fait partie de l'anticlinorium de Laragne, est traversé par la Durance, à Sisteron, dans une « clue ». Ce terme est spécifique à la région, le terme consacré, en géologie est « cluse ». Cette barre est tithonique (ou tithonienne) et comporte une charnière déversée vers le sud ; les bancs de ce rocher sont biseautés par une surface de chevauchement. Dans la partie haute de la crête, les couches du Tithonique du flanc sud de l'anticlinal des Naux se renversent vers le sud. Elles sont en outre perturbées par des plissotis ainsi que par deux failles pentées vers le nord.
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<center></center><center> Tour de l'Horloge.</center> Le campanile.
Tour de l'Horloge.
Le campanile.
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<center></center><center> Tour de l'Horloge.</center>
Tour de l'Horloge.
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<center></center><center>L'église Notre-Dame-des-Pommiers. </center> . En 1564 la cathédrale est saccagée par les protestants au cours des guerres de religion ; le clocher est abattu, les cloches brisées, les autels renversés, les archives et le mobilier brûlés. Après cette période de destruction, la cathédrale est agrandie par l'adjonction de chapelles latérales greffées à ses collatéraux : cinq chapelles alignées sur le même tracé sont ajoutées du côté sud à l'emplacement de l'ancien cloître démoli tandis que du côté nord trois chapelles de profondeurs inégales sont construites contre le mur gouttereau. La restauration complète de la cathédrale ne sera entreprise que sous l'épiscopat de Toussaint de Glandevès (1606-1648).
L'église Notre-Dame-des-Pommiers.
. En 1564 la cathédrale est saccagée par les protestants au cours des guerres de religion ; le clocher est abattu, les cloches brisées, les autels renversés, les archives et le mobilier brûlés. Après cette période de destruction, la cathédrale est agrandie par l'adjonction de chapelles latérales greffées à ses collatéraux : cinq chapelles alignées sur le même tracé sont ajoutées du côté sud à l'emplacement de l'ancien cloître démoli tandis que du côté nord trois chapelles de profondeurs inégales sont construites contre le mur gouttereau. La restauration complète de la cathédrale ne sera entreprise que sous l'épiscopat de Toussaint de Glandevès (1606-1648).
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<center></center><center>L'église Notre-Dame-des-Pommiers. </center> Chevet de la cathédrale : l'abside centrale,  au bout de la nef  et une absidiole au bout d'un collatéral. Le tambour octogonal portait peut-être le clocher primitif disposition lombarde superbe, unique de ce côté des Alpes.
L'église Notre-Dame-des-Pommiers.
Chevet de la cathédrale : l'abside centrale, au bout de la nef et une absidiole au bout d'un collatéral. Le tambour octogonal portait peut-être le clocher primitif disposition lombarde superbe, unique de ce côté des Alpes.
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<center></center>La longue andrône, XIIIe. Elle liait la basse à la haute ville.
La longue andrône, XIIIe. Elle liait la basse à la haute ville.
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