Au début du Second Empire, Paulin TALABOT (1799-1885) est déjà le maître du chemin de fer qui deviendra bientôt le Paris-Lyon-Méditerranée (P.L.M) et possède les Messageries Maritimes, une société équipée de bateaux à vapeur les plus modernes. En octobre 1856 il se porte acquéreur du droit d'ouvrir des docks-entrepôts. Avec comme concepteur Gustave DESPLACES, il va construire les docks entre 1858 et 1863 suivant le modèle des docks anglais.
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Place de la Joliette.
La tête du train, un élégant immeuble de brique et de pierre néo-Louis XIII, reçoit un décor illustrant la vocation commerciale de l'entreprise : c'est l'Hôtel d'Administration de la Compagnie. Son architecte est Bouchot. La place de la Joliette est née du comblement de l'anse de l'Ourse par les déblais des démolitions lors du percement de la rue Impériale.
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Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
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Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
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Place de la Joliette.
Façade d'entrée des docks.
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Place de la Joliette.
Cette fontaine est un des deux exemplaires créés en 1841 pour l’ornementation du cours Belsunce par l’ architecte de la Ville Pascal Coste.
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Place de la Joliette.
Cette fontaine est un des deux exemplaires créés en 1841 pour l’ornementation du cours Belsunce par l’ architecte de la Ville Pascal Coste.
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Les Docks.
Le grand entrepôt est composé de cinq corps de bâtiments contigus, créant un impressionnant parallélépipède allongé, distribué comme un long train de marchandises.
365 mètres de long : le nombre de jours dans une année,
52 portes : le nombre de semaines,
7 niveaux : le nombre de jours dans une semaine,
4 cours (les fameux atriums) : le nombre de saisons.
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Les Docks.
Le grand entrepôt, rénové depuis quelques années, constituait à lui seul le plus grand bâtiment du XIXème siècle à Marseille et le plus coûteux. L'utilisation exclusive de la pierre pour des murs en maçonnerie lourde, de la brique et de la fonte, en proscrivant totalement l'emploi du bois, ainsi que le fractionnement extrême de l'espace en modules clos de 500 m², répondaient à la crainte de l'incendie, véritable fléau dans ce type de hangars.
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Les Docks.
Cet ensemble de constructions reçoit, stocke, parfois transforme, et réexpédie les marchandises par bateau ou par le P.L.M., au gré de ses clients, grâce à une série de machines ultramodernes, grues, treuils et ascenseurs fonctionnant grâce à l'emploi de la nouvelle énergie, la force hydraulique centralisée, apparue ici pour la première fois en France.
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Les Docks.
Une entrée latérale, sur le quai du Lazaret.
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Vue des Terrasses du Port.
Les bassins, avec le pont tournant. A l'aube du XVIIIème siècle la rive du Lacydon, au delà de l'Arsenal des Galères, se dote de "domaines". Ce système qui est la conséquence d'une gestion spéculative des stocks rationalise les entrepôts sur les nouveaux quais. A partir de 1830 un accroissement du trafic de marchandises rend caduques ces méthodes. Vers 1840, on regarde alors vers la Joliette car un nouveau venu a bouleversé les données anciennes : le chemin de fer. L'extension du port, coté sud, est alors abandonné. En 1844, le gouvernement ordonne la construction du bassin de la Joliette qui est achevé en 1853.
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Vue des Terrasses du Port.
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Vue des Terrasses du Port.
La construction de la digue du Large reprend les techniques de blocs de béton. L'extension du port continue en 1854 et 1856 par la construction des bassins du Lazaret et d'Arenc, puis la construction du bassin Napoléon (1859). Pour relier l’ancien et le nouveau port, la rue Impériale est tracée. Elle deviendre la rue de la République. Sur la digue, les cinq grues, surnommées "les élégantes".
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Boiulevard de Dunkerque.
Le nouveau bâtiment du FRAC, le Fonds Régional d’Art Contemporain Provence-Alpes-Côte d’Azur, a été réalisé par Kengo Kuma. L’enveloppe extérieure claire façon « Paco Rabanne » constitue la grande originalité du bâtiment. Le morcellement des écailles évoque également les pixels des images numériques.
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Le Frac.
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Place d'Arvieux
Vue du Frac, Seconde-Nature de Miguel Chevalier et Charles A droite, l'immeuble Grand Large.
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Vue du Frac
La place d'Arvieux, l'immeuble Grand Large et son frère jumeau, Grand Horizon. Puis la place Espercieux, avec l'hôtel Ibis.
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Place d'Arvieux
Au fond, les Docks.
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Place d'Arvieux
Seconde-Nature de Miguel Chevalier et Charles Bové (place d'Arvieux). Mesurant 18 mètres de haut, elle représente une étoffe roulée. Seconde Nature est constituée d’une sculpture de 18 m, rappelant la forme d’un coquillage, et d’un jardin virtuel génératif et interactif monumental qui sera projeté chaque soir sur une partie de la façade des docks. Cette œuvre signée par l’artiste numérique Miguel Chevalier (Logiciel: Music2eye) et par le designer Charles Bové
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Place d'Arvieux
Et le temps ayant délavé sa couleur orange, elle s'est offert un nouveau look grâce à l’artiste ALIAS IPIN. L’espace urbain marseillais se pare d’une œuvre mêlant réel et virtuel. Commande publique réalisée dans le cadre des travaux de requalification du boulevard de Dunkerque à Marseille.
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Place d'Arvieux
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Place d'Arvieux
A droite, l'immeuble le Grand Large.
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Place d'Arvieux
Immeuble Cap Joliette.
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Boulevard de Dunkerque
Le Totem 40. Cet immeuble de bureaux livré dans les années 1970, a été restructuré en 2004. Situé au sein d'Euromed, il dispose de services tels qu'un RIE , une cafétéria et un accueil.
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Boulevard de Dunkerque
Conçu par l'architecte Jean-Michel Battesti et par le bureau d'études Beterem Ingénierie, ce parc de stationnement souterrain de 500 places environ, sur cinq niveaux, se situe sous l'extension de la place Espercieux entre les immeubles Grand Horizon et Coeur Méditerranée.
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Boulevard de Dunkerque
Place Espercieux.
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Boulevard de Dunkerque
L'hôtel Ibis suite Novotel faisant partie des immeubles de Coeur Méditerranée.
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Boulevard de Dunkerque
Place Espercieux. A droite, le Collège Jean-Claude Izzo, des architectes Lacube et Redondo.
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Collège Jean-Claude Izzo.
Construit en 2005. Architectes : R. Isnardon, F. Lacube, J. Redondo. Entrée composite avec conteneurs et voiles de béton.
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Collège Jean-Claude Izzo.
A gauche, le Corail.
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Collège Jean-Claude Izzo.
Le terrain multisport. Bâtiment d’enseignement bas surmonté d’un rang de 5 logements de fonction, situés en toiture du collège. A gauche, l'immeuble le Corail, à droite la tour la Marseillaise.
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Boulevard de Dunkerque
Le Corail.
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Boulevard de Dunkerque
A gauche et à droite, l'hôtel Ibis suite Novotel, au fond les docks.
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Boulevard de Dunkerque
Place de la Méditerranée. A gauche, le bout des docks.
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Boulevard de Dunkerque
Avec des immeubles de bureaux, un hôtel 4 étoiles, un parc, un parking public et un complexe cinématographique, l’ensemble Euromed Center, signé par l’architecte Massimiliano Fuksas, se trouve dans le prolongement de la place de la Méditerranée.
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Boulevard de Dunkerque
L'immeuble l'Astrolabe. A gauche, l'hôtel Golden Tulip.
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Boulevard de Dunkerque
Les immeubles d'Euromed Center.
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Place Henri Verneuil
Place de la Méditerranée en haut. Le corail.
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Boulevard de Dunkerque
Place de la Méditerranée. Le Corail. A droite, le bout du Totem 40.
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Boulevard de Dunkerque
Le Corail. Il est réalisé par les équipes Promotion Immobilier d’Entreprise de BNP Paribas Real Estate et imaginé par l’architecte Jacques Ferrier, comprend 14 000 m² de bureaux neufs répartis sur sept niveaux, trois niveaux de sous-sol et 500 m² de commerces au rez-de-chaussée.
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L’immeuble Corail.
Une résille métallique blanche, élément phare de l’immeuble, habille les façades teintées de blanc cassé et d’orange rappelant ainsi les couleurs du corail.
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L’immeuble Corail.
Une résille métallique blanche, élément phare de l’immeuble, habille les façades teintées de blanc cassé et d’orange rappelant ainsi les couleurs du corail.
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Boulevard de Dunkerque
Au fond, la place Gantès.
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Place Gantès
Ce vieux bâtiment est toujours le siège de la société Richardson Frères dont la date de création est inscrite sur la façade (1855).
Ils commercialisaient des tuyaux en fer et en
acier. Aujourd'hui, ils se sont spécialisés dans les sanitaires.
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Boulevard de Dunkerque
L'immeuble Le Sextant a été conçu par les architectes marseillais Laurent Mathoulin et Sophie Jardin, développé par les équipes Promotion Résidentiel de BNP Paribas, de manière à permettre une grande liberté d'aménagement des plateaux pouvant accueillir aussi bien des espaces ouverts que des bureaux cloisonnés. Il est constitué de bureaux sur 7 niveaux, 3 sous-sols et 131 places de parking. A droite, l'école Chevalier Paul.
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Boulevard de Dunkerque
L'Institut de Recherche pour le Développement (IRD) est un acteur de premier plan dans le domaine de la recherche scientifique. Basé à Marseille, il est spécialisé dans l'étude des grands enjeux mondiaux tels que le changement climatique, la biodiversité, la santé, l'eau, les écosystèmes et les sociétés.
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L'école Chevalier Paul.
C'était une manufacture de tissus : les entrepôts Noailles Textiles, construits en 1912.
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L'école Chevalier Paul.
En 2006, la mairie a lancé un concours pour les architectes avec la condition que l'ancienne façade du bâtiment
administratif soit conservée. Le concours a été gagné par l'architecte marseillais Edouard
Sarxian.
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L'école Chevalier Paul.
Edouard Sarxian s'est inspiré des entrepôts existants pour son projet. La forme des ouvertures sur la rue Chevalier Paul rappelle celle des toitures en sheds (toiture en dents de scie) de l'usine démolie.
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Boiulevard de Dunkerque.
Au fond, le bâtiment des archives départementales.
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Place Henri Verneuil
La rue et la porte nord des docks.
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Rue des Docks
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Place Henri Verneuil
La porte nord des docks.
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La porte nord des docks.
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La porte nord des docks.
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La porte nord des docks.
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La porte nord des docks.
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Place Henri Verneuil
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Place Henri Verneuil
Théâtre de la Joliette, à gauche, et à droite, en haut, l'immeuble Corail. La place est organisée sur deux niveaux : un belvédère minéral au niveau du boulevard de Dunkerque (place de la Méditerranée) et une place en relation avec le boulevard du Littoral. La différence de niveau permet d'accueillir le théâtre Joliette (ex Théâtre de la Minoterie), un espace commercial et un large escalier. La façade Sud (à droite) de la place est constitué de Cœur méditerranée et d'un hôtel 3 étoiles alors qu'Euromed Center représente la façade nord (à gauche).
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Place Henri Verneuil
Montée vers le boulevard de Dunkerque et la place de la Méditerranée.
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Passage Verneuil
L'hôtel Golden Tulip.
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Passage Verneuil
A droite, le théâtre de la Joliette.
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Quai du Lazaret
L’hôtel Golden Tulip dessiné par Massimiliano Fuxas.
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Quai du Lazaret
Au centre, l’hôtel Golden Tulip dessiné par Massimiliano Fuxas.
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Quai du Lazaret
Immeuble le Calypso, devenu emblématique, au style architectural signé Massimiliano Fuksas.
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Quai du Lazaret
Au fond, la Tour La Marseillaise. De 136 m, c'est le second plus grand immeuble de grande hauteur à usage de bureau de la ville de Marseille.
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Quai du Lazaret
et aujourd'hui la Porte Bleue s'est ajoutée, et bientôt la M99.
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Le Silo.
Construit entre 1926 et 1929 pour la compagnie des Docks et Entrepôts de Marseille (CDEM) par l'entreprise Froment-Clavier et par l'ingénieur Vincent, sur les dessins de Gustave Desplaces. Les docks ont été construits en 1868 par la même compagnie mais ce n'est pas la même technique : les docks sont en pierres et en briques, le silo en béton armé brut. C'était le silo à grain le plus performant d'Europe et peut être du monde.
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Le Silo.
Le silo à céréales d’Arenc, géré depuis 1947 par la chambre de commerce, était désaffecté depuis le début des années 1980. Sa restructuration a été décidée dans le cadre d'Euro Méditerranée en 1991. Les docks ont été terminés en 1998, l'architecte étant Éric Castaldi qui a adopté le point de vue minimaliste, c'est-à-dire détruire le moins possible. Dans le même secteur, on a, ou on aura, le théâtre de la minoterie, le complexe cinématographique de Bessons, la tour CMA-CGM qui est la troisième compagnie de fret du monde, le MUCEM, le CEREM, regards de Provence.
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Le Silo.
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Le Silo.
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Vue du Silo.
Terminal roulier, avec le pont tournant.
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Vue du Silo.
Terminal roulier, avec le pont tournant.
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Vue du Silo.
La tour CMA CGM.
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Passage Verneuil
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Passage Verneuil
Les immeubles d'Euromed Center et le cinéma Pathé.
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Passage Verneuil
A gauche, les immeubles d'Euromed Center. A droite, le Golden Tulip et le Calypso. Tout au fond, la cathédrale.
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Passage Verneuil
Les immeubles d'Euromed Center. Au fond, ceux de Coeur Méditzrranée
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Cinéma le Pathé.
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Cinéma le Pathé.
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Passage Verneuil
Rue Chanterac. Les immeubles le Balthazar et la Porte Bleue, puis la Marseillaise.
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Quai du Lazaret
A droite, le bout du cinéma le Parhé. En arrière plan, les immeubles du boulevard de Paris.
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Quai du Lazaret
Au premier plan, les immeubles le Balthazar et la Porte Bleue, puis la Marseillaise, le Mirabeau et le haut de la tour CMA-CGM.
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Quai du Lazaret
L’immeuble le Balthazar a été imaginé par l’architecte Roland Carta en 2014. Côté mer, il présente une façade composée de lames métalliques tressées, couronnée par une colonnade de béton blanc. Balthazar est le premier immeuble de bureaux BBC (Bâtiment Basse Consommation) d’Euroméditerranée 1 et certifié HQE.
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Quai du Lazaret
Le Balthazar, Immeuble de bureaux construit par l'agence C+T Architectures dans le cadre de la vaste opération des Quais d’Arenc menée par le promoteur Constructa. L’immeuble Balthazar, lancé en 2014, imaginé par l’architecte Roland Carta, avec ses 31 m de hauteur, bénéficie d’une superficie de bureaux de près de 10 000 m2, répartit sur 8 niveaux. Il comprend 700 m² de commerces et 150 places de parking.
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Quai du Lazaret
L’immeuble le Balthazar. Les autres façades sont lisses et noires, en réponse aux harmonies rouge et bleue de La Marseillaise. Posé sur pilotis afin de dégager des vues sur le port depuis le cœur du projet, ce bâtiment de près de 10 000 m2 constitue également l’articulation nécessaire entre le parvis central et le boulevard du littoral
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Rue Chanterac.
Rue Chanterac. A cet emplacement va s'élever la Tour M99 haute de 99 mètres conçue parl'architecte Jean-Baptiste Pietri. La M99 ne sera pas qu’une simple tour à Marseille puisqu'elle rassemblera logements haut de gamme, résidence étudiante sociale de 96 logements, hôtel 4 étoiles (le DoubleTree by Hilton de Marseille) sur 8 étages, un jardin doté d'arbres de hautes tiges et un restaurant au 22ème étage proposant une terrasse de 200m2 pour offrir une vue panoramique sur la Méditerranée et la ville de Marseille.
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La Porte Bleue
Avec ses 414 voûtes, la Porte Bleue a été conçue par Jean-Baptiste Pietri et portée par Constructa à partir de 2016-2017.
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La Porte Bleue
Ses façades sont composées d’une multitude de voûtes en béton blanc qui confèrent à la tour un dessin arborescent. La variation de ces modules et leurs emplacements aléatoires participent à rappeler les modes constructifs autour de la Méditerranée. Les grandes voûtes, double-hauteur abritant les suites et les duplex, créent des événements dans la façade et permettent d’éveiller la curiosité des passants.
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La Porte Bleue
Elle accueille dans un principe de mixité d’usages, sur les 11 premiers étages, une résidence de tourisme de 8 900 m² et des logements de standing de 4 200 m² du 12ème au 17ème qui profitent de la vue sur la mer et
sur la ville de Marseille.
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La Porte Bleue
La Porte Bleue porte également une ambition durable puisqu’elle est reliée au réseau Thassalia pour la régulation thermique du bâtiment via la boucle de géothermie marine et a été conçue via l’utilisation du béton bas carbone permettant de faire baisser l’empreinte carbone du béton blanc de 25%
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La Porte Bleue
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Quai du Lazaret
Le bout du Balthazar et le bas de la tour La Marseillaise.
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La Tour La Marseillaise.
La façade se compose d’une trame à laquelle ont été ajoutés des brise-soleil dans le but de donner de la profondeur et dont les couleurs créent des vibrations et une perception différente en fonction des angles de vue. Les teintes sont différentes selon l'angle de vue, et l'on peut y percevoir un dégradé bleu blanc rouge, clin d’œil au drapeau français et au nom de la tour qui rappelle l'hymne national français. A gauche, l'immeuble le Balthazar imaginé par l’architecte Roland Carta. Des espaces paysagés ponctuent la tour et offrent un traitement particulier aux toitures.
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La Tour La Marseillaise.
Façade Nord. Du haut de ses 135 mètres, elle est aujourd’hui en France la seule tour de bureaux disponible à la location face à la mer et proposant cette qualité de services.
Légère et transparente, Jean Nouvel l’a imaginée pour se fondre dans le paysage et pour donner un nouveau style à la ville. Aussi emblématique par ses lignes épurées que par sa haute technicité, La Marseillaise est une prouesse pour les équipes qui l’ont pensée, conçue et réalisée.
Deuxième bâtiment des Quais d’Arenc à voir le jour après Balthazar, il s’agit d’un véritable catalyseur pour Euroméditerranée, qui, en mutation depuis maintenant 20 ans, porte une ambition forte pour le quartier, la ville et la métropole.
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La Tour La Marseillaise.
Angle Nord/Ouest. Imaginée face à la mer, en clin d’œil aux calanques, par l’architecte Jean Nouvel, la tour La Marseillaise constitue un immeuble tertiaire d’excellence inégalée dans le sud de l’Europe et l’un des éléments fondateurs de la nouvelle skyline de la cité phocéenne.
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La Tour La Marseillaise.
Façade Ouest. Haute de 136 m, il s'agit de la seconde plus haute tour marseillaise et de la sixième plus haute tour de province après les trois tours lyonnaises que sont la Tour Incity (200 m), la Tour To-Lyon (171 m) et la Tour Part-Dieu (165 m), ainsi que la Tour CMA CGM à Marseille (145 m) et la Tour Bretagne à Nantes (144 m)
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La Tour La Marseillaise.
Angle Ouest/Sud.
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La Tour La Marseillaise.
Façade Sud.
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La Tour La Marseillaise.
Façade Sud.
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La Tour La Marseillaise.
Angle Sud/Est. A ses pieds, la voie ferrée St Charles-Arenc-Miramas.
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La Tour La Marseillaise.
Façade Est. Au premier plan, le pont autoroutier.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
A gauche, en bas, l'église St Martin d'Arenc, l'immeuble M Square de l'ARS devant les archives dépatementales..
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
En partant de la gauche, en bas, l'immeuble M Square de l'ARS devant les archives départementales, puis les immeubles d'Euromed Center, le toit du Pathé, le Calypso et le Golden Tulip, les docks, le silo.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
A gauche, le Corail, le Totem 40, les immeubles de Coeur Méditerranée, les Docks, les Terrasses du Port.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
A gauche, la cathédrale, la tour du fanal, le Mucem, le Pharo.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
La pointe d'Endpume, le château d'If avec derrière le phare de Planier, Pomègues, Ratonneau et le Tiboulen de Ratonneau.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
Le château d'If avec derrière le phare de Planier, Pomègues, Ratonneau et le Tiboulen de Ratonneau.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
Sur les vitres, sont indiqués les nom des monuments visibles au loin, ici Notre Dame de la garde.
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Le sommet de la tour La Marseillaise.
Le bar.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
La Tour CMA-CGM avec, en bas, le toit de l'immeuble le Mirabeau.
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Vue du sommet de la tour La Marseillaise.
La Tour CMA-CGM.
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La tour Mirabeau
« Le Mirabeau », haut de 85 mètres, est construit à l’emplacement du siège historique de la CMA où Jacques Saadé démarra l’aventure du Groupe. La tour a été imaginée par l’architecte Hala Wardé et réalisée en co-promotion par Bouygues Immobilier et le Groupe CMA CGM. Elle vient s’inscrire au cœur de la Skyline de Marseille, avec un volume orienté vers la Méditerranée.
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La tour Mirabeau
La tour en construction en 2022.
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La tour Mirabeau
La tour en construction en 2022.
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La tour Mirabeau
A gauche, la tour CMA-CGM et le Mirabeau 2.
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La tour Mirabeau
Au sommet de la tour, un volume exceptionnel orienté vers la mer propose des espaces partagés pour organiser des événements (salles de réunion, lieu de réception). Il offre une vue imprenable sur la Méditerranée.
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La tour Mirabeau
Une partie de l'immeuble est occupée par les sièges sociaux de plusieurs filiales à 100% de CMA CGM. La Tour Mirabeau est connecté à la boucle d’eau de mer Thassalia. Installée sur le Grand Port Maritime de Marseille et inaugurée en octobre 2016, cette centrale est la première en France et en Europe à utiliser l’énergie thermique marine. Elle alimente en chaud et en froid l’ensemble des bâtiments qui lui sont raccordés. Ce procédé permet de minimiser la consommation d’eau et de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 70 %.
L’enveloppe du bâtiment fait l’objet d’une conception bioclimatique qui fait baisser de 40 % la consommation énergétique. gauche le Mirabeau 2.
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Le Mirabeau 2
L'immeuble a été construit en 2002 pour le compte de la CMA CGM et réalisé par l'architecte Yves Bonnel, avec son agence d’architecture Delta Engineering. La CMA CGM est restée dans ce bâtiment entre 2002 et 2011. Mais la famille Saadé a ensuite lancé la construction de sa grande tour, plus adaptée à ses ambitions. Il a ensuite été acquis par le Département des Bouches-du-Rhône, en 2009, pour y installer la Direction Générale Adjointe de la Solidarité, ainsi que la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH).
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Le Mirabeau 2.
C'est un immeuble de 11 niveaux, abritant des espaces de bureaux, mais aussi un restaurant, une salle de sport et un amphithéâtre. Il est actuellement à la vente.
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La Tour CMA-CGM
A gauche, le Mirabeau
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La Tour CMA-CGM
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Tour CMA CGM
La hauteur (147 m) de la tour a été décidée en accord avec Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, qui refusait qu'un immeuble ne dépasse en altitude le sommet de la basilique Notre-Dame de la Garde (229 m), symbole de la ville depuis 1864.
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Tour CMA CGM
Une grande partie des aménagements intérieurs de la tour et de son annexe ont été imaginés par Jacques Saadé, patron de la CMA CGM, en collaboration avec l'architecte Zaha Hadid.
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Tour CMA CGM
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Tour CMA CGM
Elle a été bâtie sur le principe de la robe de la mariée.
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Tour CMA CGM
La traîne de la robe.
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Tour CMA CGM
Le bâtiment horizontal a les mêmes mensurations que le vertical, 135 m de long. C'est une passerelle courbe en verre qui prolonge la tour à la manière de la traîne d'une robe.
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Tour CMA CGM
L'inflexion de la façade a été calculée par ordinateur, c'est une assemblage de 6000 panneaux de verre, tous différents.
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Tour CMA CGM
La structure en béton armée est enveloppée d'une façade constituée de deux ouvrages différents : la simple peau et la double peau. La simple peau est constituée d'un calepinage horizontal et sombre.
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Tour CMA CGM
La double peau est constituée d'une double façade vitrée avec un calepinage qui suit la cambrure de la tour. Cette double peau a permis une ventilation naturelle.
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Tour CMA CGM
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Tour CMA CGM
Le Génie de la mer de Carlo Sarrabezolles. Cette sculpture est commandée en 1934 par la Compagnie Générale Transatlantique (CGT) pour décorer la plage arrière du paquebot Normandie mais les vibrations des hélices empêcheront sa mise en place sur le paquebot.
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Tour CMA CGM
L’œuvre, renommée L’Océan, figure à l’Exposition internationale de 1937 qui se tient à Paris. Puis elle est déposée de 1943 à 1948 au musée de la Marine avant d'aller au Havre pour orner, en 1952, l’esplanade de la gare maritime. En 2002, la CMA-CGM, héritière de la CGT, la transfère à Marseille pour marquer l’entrée de son nouveau siège social.
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Tour CMA CGM
Cette sculpture représente un triton coiffé d’algues marines brandissant un trident de la main gauche et une conque de la main droite ; ses jambes se transforment en queue de poisson bifide. Trois dauphins plongent à sa suite.
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La Tour CMA-CGM
L'arrière de la tour.
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It takes two to Tango
David Mach. 2008. Donation de la fondation d'entreprises CMA CGM à la ville de Marseille. 2011.
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La Tour CMA-CGM
Façade vers le boulevard de Paris.
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Rue d'Anthoine/boulevard de Paris
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La Tour CMA-CGM
Vue du boulevard de Paris.
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Boulevard de Paris
Entre la tour La Marseillaise (136m) et la Tour CMA-CGM (147 m), le Mirabeau (85 m) et le Mirabeau 2 (48 m), le premier siège de la compagnie CMA-CGM.
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Boulevard de Paris
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Boulevard de Paris
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. Côté Ouest. A gauche, l'ancien Dock des Suds.C'est un ancien lieu culturel et associatif marseillais qui était consacré aux musiques du monde et à des manifestations alternatives. Le lieu connaît cette vocation depuis 1998, quand l'association Latinissimo décide d'y créer un lieu qui allie salles de spectacles, espaces de vie, de fêtes et d’expositions. Auparavant le bâtiment portuaire servait au stockage d’épices. En 2005 le lieu est détruit par un incendie provoqué par la foudre, il est reconstruit en 2007
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Rue Urbain V/rue de Ruffi
Dans la première partie de la rue Urbain V a été construite la Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac. Elle a été inaugurée en novembre 2024. Imaginé par Rudy Ricciotti et Roland Carta et réalisé par Bouygues Bâtiment Sud-Est, le bâtiment de 27 730 m² conjugue esthétique et écoresponsabilité. Cette construction "bas carbone" intègre un système innovant de thalassothermie pour le chauffage et le refroidissement, ainsi que des panneaux photovoltaïques, de la végétation et des matériaux locaux et biosourcés.
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Rue Urbain V/rue de Ruffi
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac. Implantée sur deux parcelles séparées, le premier bâtiment regroupe, au Nord, le pôle restauration en rez-de-chaussée et R+1, le pôle sportif en superstructure et l’internat en structure bois, tandis que l’on retrouve au Sud l’école élémentaire, les logements de fonction et la maintenance. Le second bâtiment rassemble les espaces du collège et du lycée, le pôle santé et la cafétéria ainsi qu’un espace de co-working en R+2.
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Rue Urbain V
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. Le premier bâtiment Sud qui abrite les espaces du collège et du lycée, le pôle santé et la cafétéria ainsi qu’un espace de co-working en R+2.
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Rue Urbain V
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. La rue Peyssonnel et le deuxième bâtiment Sud de l'école élémentaire qui abrite l'école élémentaire, les logements de fonction et la maintenance..
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Rue de Ruffi/rue d'Anthoine
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. Dès la rentrée 2024, elle a accueillie plus de 680 élèves, avec une montée en charge prévue pour atteindre 2200 élèves en 2028, du primaire aux classes préparatoires. L’établissement propose une offre éducative entièrement dédiée à l'enseignement international, avec un cursus renforcé dans des langues comme l’anglais, l’allemand, l’arabe, le chinois, l'espagnol, et bientôt l'italien. Les élèves préparent le Baccalauréat Français International (BFI), avec un enseignement renforcé en langues et des matières spécifiques en langue de section. Le lycée dispose d’un internat de 200 places. Angle Est-Nord.
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Rue d'Anthoine
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. Les deux parcelles sont séparées par le bout de la rue Peysonnel, partie intégrante de l'école.
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Rue d'Anthoine
La Cité Scolaire Internationale (CSI) Jacques Chirac de Marseille. La rue Peyssonnel et l'un des bâtiments Nord.
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Rue Urbain V/avenue Salengro
La deuxième partie de la rue Urbain Sud est occupée par le groupe scolaire Antoine de Ruffi. L’agence de Montpellier Tautem (Adrian Garcin) a livré en janvier 2021, avec BMC2 Architectes, le groupe scolaire Antoine de Ruffi pour Euroméditerranée, maître d’ouvrage. La façade principale désigne les deux entrées au public au travers de cette enveloppe épaisse qui construit la rue Urbain V. Le monolithe conjugue de prime abord, massivité et minéralité. Cette monumentalité est la condition pour exister dans ce quartier à très forte densité où vont s’élever des immeubles de logements de très grande hauteur, (jusqu’à 17 étages). Elle protège l’intimité de la cour des maternelles.
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Rue Urbain V
Le groupe scolaire Antoine de Ruffi.. La colonnade est constituée de poteaux hexagonaux coulés eux-aussi en place. Elle élance le bâtiment et offre une protection solaire performante pour les expositions est et ouest. Le jeu d’ombres qu’elle crée évolue au fil des jours et des saisons, apportant ainsi de l’animation et du graphisme aux cours de récréations.
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Rue Urbain V
Le groupe scolaire Antoine de Ruffi composé d’une école maternelle de 8 classes et d’une école élémentaire de 14 classes et des locaux communs. La superposition de l’école maternelle organisée autour de sa cour en rez-de-chaussée et l’école élémentaire autour de sa cour et de son préau au R+2 permet de répondre à l’exiguïté de la parcelle mais suggère aussi qu’on s’élève dans ce site remarquable en apprenant et en grandissant…
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Rue Urbain V
Le groupe scolaire Antoine de Ruffi. Il occupe une place stratégique à l’entrée du nouveau quartier de la Méditerranée, et de son « parc habité » coordonné par l’urbaniste Yves Lion. Côté terre, le regard porte sur un tissu faubourien en mutation, parsemé de hangars, de silos, de savonneries dont jaillissent, rompant l’échelle générale, les grands ensembles d’habitation des années 70.
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Avenue Salengro
Ancienne savonnerie du Fer à Cheval et les silos à farine des Grands Moulins Storione, entreprise implantée à Marseille depuis 1885, à l'origine de la marque de farine Francine en 1964 puis des boulangeries Banette en 1981.
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Boulevard de Paris
La résidence Marsiho de l'Atelier d'architecture Brenac-Gonzalez & Associés, et de Vinci Immobilier
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Boulevard de Paris
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Boulevard de Paris
Eko Active est un immeuble à usage de bureaux conçu par l’atelier d’architecture Franck Hammoutène en 2019. Les grandes baies vitrées à chaque étage offrent une vue sur une traverse paysagère et sur la mer. Des brise-soleils habillés d’aluminium laqué tamisent la lumière naturelle. Avec ses plateaux de bureaux modulables, l’ensemble immobilier pourra accueillir plus de 600 personnes.
Le bâtiment est raccordé à la centrale de géothermie marine Thassalia du môle d’Arenc.
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Boulevard de Paris
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Boulevard de Paris
Porté par BNP Paribas
Immobilier et conçu par l’agence
d’architecture Arte Charpentier,
Pixelia regroupe 8 226 m² de
bureaux et 447 m² de commerces
en rez-de-chaussée.
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Boulevard de Paris
Pixelia
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Boulevard Mirabeau
Pixelia
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Boulevard Mirabeau/rue Peyssonnel.
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Rue Peyssonnel
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Rue Joseph Billioud
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Rue Joseph Billioud
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Rue Joseph Billioud
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Avenue Salengro
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Avenue Salengro
Le Domaine Cuoq. C'est un ensemble de grands entrepôts commerciaux. à l'âge d'or du port, on y travaillait énormément !
Des entreprises y louaient de
vastes espaces pour stocker leurs
marchandises (grains, sucre,
peaux...). Elle pouvaient aussi y
installer des machines-outils qui
fabriquaient des produits.
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Avenue Salengro
Le Domaine Cuoq. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Domaine Cuoq a été
gravement endommagé par les bombardements. Le port, les chemins de fer et les installations industrielles étaient
des cibles stratégiques, car elles faisaient vivre l'économie de la ville.
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Avenue Salengro
Le Domaine Cuoq. Cette ligne de chemin de fer a été construite en 1863 pour relier la Gare Saint-Charles aux nouveaux ports de la Joliette et puis d'Arenc. Ici, elle tourne vers Euromed pour ensuite aller vers Miramas en passant par la Côte Bleue. Le tunnel, qui est condamné, permettait d'aller vers la Joliette
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Avenue Salengro
Le Domaine Cuoq. Aujourd'hui ce bâtiment héberge un "data center", un des plus grands
d'Europe. Des serveurs y stockent des données numériques. Ils sont à l'abri dans des salles climatisées et sécurisées.
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L'îlot M5.
C'est un ancien bâtiment des Entrepôts Gontrand. Trois architectes ont travaillé sur ce projet : Yves Lion, Roland Castro et Sophie Denisof. C'est à l'initiative de Yves Lion, que ce bâtiment a été conservé et transformé, pour son intérêt historique.
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L'îlot M5.
Ce n'est plus un lieu de travail, mais d'habitation. Le tout est organisé autour d'une petite place centrale.
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Archives Départementales.
Les archives et bibliothèque départementales Gaston-Defferre sont un bâtiment construit en 2006, et abritant les archives départementales et la bibliothèque départementale de prêt des Bouches-du-Rhône. En 2000, le conseil général des Bouches-du-Rhône décide de la construction de nouveaux bâtiments pour abriter les archives et la BD. Plutôt que deux bâtiments reliés, l'architecte Corinne Vezzoni propose alors la construction d'un édifice unique occupé par les deux services départementaux. C'est la première fois en France que des archives départementales et une bibliothèque départementale de prêt sont regroupés en un seul bâtiment.
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Archives Départementales.
Les archives départementales occupent le nord du bâtiment « pour bénéficier d’une lumière constante et ne pas détériorer les documents conservés ». La bibliothèque est située à l'est, face au « jardin de lecture » situé derrière l'église Saint-Martin et ouvert en même temps que le bâtiment.
Les archives couvrent une surface de 28 000 m2 et la bibliothèque 5 400 m2. Le bâtiment abrite également un auditorium, une salle de lecture et un espace d'exposition.
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Archives Départementales.
Les Archives départementales des Bouches-du-Rhône ont pour mission la conservation, la communication et la mise en valeur des documents d'archives produits sur le territoire du département depuis le IXe siècle jusqu'à nos jours.
Les Archives départementales sont nées de la volonté réformatrice et centralisatrice des législateurs révolutionnaires. Dotées d'une vaste salle de lecture permettant la consultation des originaux, les Archives départementales sont aussi un lieu d'échanges culturels sur le patrimoine historique et humain, ouvert sur les enjeux du quartier, de la ville et du territoire.
Elles proposent une programmation variée d'activités culturelles, favorisant la gratuité et les projets à destination des publics individuels et scolaires, ainsi qu'aux publics du champ social.
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Archives Départementales.
Le parvis est en pierre de lave et décoré d'un semis de lettres. A gauche, l'immeuble M Square avec une façade largement vitrée.
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Le « jardin de lecture »
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Le « jardin de lecture »
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Le « jardin de lecture »
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Eglise St Martin d'Arenc.
Cette église a été c onstruite entre 1904 et 1924, sur un terrain donné par une grande famille marseillaise, les Armand. Elle est désaffectée depuisb les années 1970. Une association, défense de l'environnement Marceau et riverains, se bat pour empêcher sa démolition.
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L'hôpital Euroméditerranée.
L'Hôpital européen a été conçu par les cabinets d'architectes Carta & Associés et Rigal & Bargas. Il a ouvert ses portes le 19 aout 2013 et remplace les hôpitaux Ambroise-Paré et Paul-Desbief qui accueillaient 25 000 patients par an.
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Rue Forbin.
L'entrée des anciens établissements Bietron. La société Aimé Biétron commercialisait ici des produits laitiers dans les années 1910-30 (le "Suprême Gruyère", les Camemberts
"Le Minet", "Le Chemineau", le
"Mongouter"...).
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Rue Forbin.
L'entrée des anciens établissements Bietron. Pour construire ce bâtiment en 1911, elle a fait appel à deux architectes, Gaston et Victor
Faure, ce qui n'était pas courant
pour des usines. Puis Bietron a fermé et le bâtiment a été démoli en 2013. La Mairie a décidé de conserver le portail.
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Rue Forbin.
L'entrée des anciens établissements Bietron. a été intégrée à un grand projet immobilier signé Tangram/Icade baptisé M Factory qui a vu le jour en 2024, couvrant également le domaine de l’ancien hôpital Desbief, fermé en 2013.
200
Rue Forbin.
l’immeuble baptisé M Factory accueille à présent le siège de Bourbon, parti du Vieux-Port.
201
Rue Malaval
La résidence Argo, du nom du célèbre bateau de la mythologie grecque,à l’angle des rues Fauchier et Malaval, a été signée par Rudy Ricciotti qui a souhaité rendre hommage à l’activité du port de Marseille en lui donnant l’apparence d’un navire dont les courbes forment une proue à l’intersection des rues Malaval et Fauchier.
202
Rue Malaval
L’effet de proue d’un navire est recréé par la forme triangulaire du bâtiment et renforcé par la pente : plus de 7 mètres de dénivelé entre le haut de la rue Malaval et le point le plus bas de l’îlot à la rencontre des rues Malaval et Fauchier. Cette architecture est bien évidemment en clin d’oeil à Marseille et à la mer. La forme du bâtiment avec une proue arrondie et des balcons filants rappelle sans équivoque un bateau de croisière.
