Prades, Perpignan, Musée « Acentmètresducentredumonde »

Prades : Église Saint-Pierre. Perpignan : Muséum d’Histoire Naturelle, Couvent des Minimes. Exposition Gregory Forstner - Cristina Lama - Matias Sanchez.

<center>Prades</center>Maison Jacomet (XVe siècle) Maison de notables depuis le début du 16e siècle, résultant de plusieurs campagnes de construction du 15e au 19e siècle. L'immeuble était bordé par une cour attenante au sud, lotie au milieu du 19e siècle. Construction à pan-de-bois, à deux étages carrés sur rez-de-chaussée et étage de comble.
Prades
Maison Jacomet (XVe siècle) Maison de notables depuis le début du 16e siècle, résultant de plusieurs campagnes de construction du 15e au 19e siècle. L'immeuble était bordé par une cour attenante au sud, lotie au milieu du 19e siècle. Construction à pan-de-bois, à deux étages carrés sur rez-de-chaussée et étage de comble.
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<center>Prades</center>Maison Jacomet (XVe siècle) Les éléments du décor se limitent au premier étage, par d'anciennes fenêtres à croisée de bois avec décor de pinacles et faux balustres de bois garnissant l'allège.
Prades
Maison Jacomet (XVe siècle) Les éléments du décor se limitent au premier étage, par d'anciennes fenêtres à croisée de bois avec décor de pinacles et faux balustres de bois garnissant l'allège.
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<center>Prades</center>Maison Jacomet (XVe siècle)
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Maison Jacomet (XVe siècle)
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<center>Prades</center>Construite en 1867, sous le mandat de Gustave Pallarès, cette fontaine se trouve, face à l'église Saint-Pierre, sur la place de la République.
Prades
Construite en 1867, sous le mandat de Gustave Pallarès, cette fontaine se trouve, face à l'église Saint-Pierre, sur la place de la République.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Sur le vase du haut, se distinguent deux diables cornus tirant leur langue avec espièglerie. En guise d'anses, deux chérubins au sourire angélique trônent avec élégance.
Église Saint-Pierre de Prades
Sur le vase du haut, se distinguent deux diables cornus tirant leur langue avec espièglerie. En guise d'anses, deux chérubins au sourire angélique trônent avec élégance.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Possession de l'abbaye de Lagrasse, les parties les plus anciennes de l'édifice remontent vraisemblablement au XIIe siècle, bien que son origine remonte au moins au XIe siècle.  L'augmentation de la population rend l'édifice roman trop exigu, et au début du XVIIe siècle, il est remplacé par l'édifice actuel, achevé au XVIIIe siècle. L'édifice actuel, de style gothique malgré son époque de construction, est de dimensions imposantes : 43 mètres de long pour 13 mètres de large et 17 mètres de haut. D'aspect austère et massif avec peu d'ouvertures son apparence contraste avec la richesse et les dorures du décor et du mobilier à l'intérieur.
Église Saint-Pierre de Prades
Possession de l'abbaye de Lagrasse, les parties les plus anciennes de l'édifice remontent vraisemblablement au XIIe siècle, bien que son origine remonte au moins au XIe siècle. L'augmentation de la population rend l'édifice roman trop exigu, et au début du XVIIe siècle, il est remplacé par l'édifice actuel, achevé au XVIIIe siècle. L'édifice actuel, de style gothique malgré son époque de construction, est de dimensions imposantes : 43 mètres de long pour 13 mètres de large et 17 mètres de haut. D'aspect austère et massif avec peu d'ouvertures son apparence contraste avec la richesse et les dorures du décor et du mobilier à l'intérieur.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Sur le côté sud s'élève le clocher, de style roman, du XIIe siècle, d'environ 30 mètres de haut. La tour est divisée en cinq niveaux séparés par des arcatures et des lésènes. Seuls les trois derniers niveaux sont percés de baies géminées, les deux niveaux inférieurs ayant à soutenir le poids de la tour. Le mur méridional des travées entre la façade occidentale et le clocher possède encore deux baies romanes en plein cintre, l'une étant obstruée; cette construction datée du XIIe peut correspondre à un reste du mur méridional de la nef romane.
Église Saint-Pierre de Prades
Sur le côté sud s'élève le clocher, de style roman, du XIIe siècle, d'environ 30 mètres de haut. La tour est divisée en cinq niveaux séparés par des arcatures et des lésènes. Seuls les trois derniers niveaux sont percés de baies géminées, les deux niveaux inférieurs ayant à soutenir le poids de la tour. Le mur méridional des travées entre la façade occidentale et le clocher possède encore deux baies romanes en plein cintre, l'une étant obstruée; cette construction datée du XIIe peut correspondre à un reste du mur méridional de la nef romane.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Les arcatures et les lésènes qui séparent les cinq niveaux du clocher.
Église Saint-Pierre de Prades
Les arcatures et les lésènes qui séparent les cinq niveaux du clocher.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le sommet surmonté d'une flèche en pyramide tronquée à huit pans, est daté de 1852, la différence d'appareil contraste avec les pierres soigneusement appareillées de l'époque romane. Surmonté d'un campanile, le clocher bénéficie de restaurations importantes qui se terminent en 2019 avec la nouvelle pose du bourdon de 850 Kg, XVIIe, réparé par Bodet campanaire.
Église Saint-Pierre de Prades
Le sommet surmonté d'une flèche en pyramide tronquée à huit pans, est daté de 1852, la différence d'appareil contraste avec les pierres soigneusement appareillées de l'époque romane. Surmonté d'un campanile, le clocher bénéficie de restaurations importantes qui se terminent en 2019 avec la nouvelle pose du bourdon de 850 Kg, XVIIe, réparé par Bodet campanaire.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au sud du chevet plat, une chapelle carrée se terminant par une abside arrondie a son pendant côté nord, elle intègre une ancienne tour des remparts.
Église Saint-Pierre de Prades
Au sud du chevet plat, une chapelle carrée se terminant par une abside arrondie a son pendant côté nord, elle intègre une ancienne tour des remparts.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Façade nord
Église Saint-Pierre de Prades
Façade nord
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La façade occidentale sans décor ni ornement et le parvis donnent sur la vaste place de la République avec sa fontaine, seul grand espace restant de l'ilot ecclésial. La porte est surmontée d'une statue de saint Pierre dans une niche et plus haut d'un oculus.
Église Saint-Pierre de Prades
La façade occidentale sans décor ni ornement et le parvis donnent sur la vaste place de la République avec sa fontaine, seul grand espace restant de l'ilot ecclésial. La porte est surmontée d'une statue de saint Pierre dans une niche et plus haut d'un oculus.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La porte est surmontée d'une statue de saint Pierre dans une niche.
Église Saint-Pierre de Prades
La porte est surmontée d'une statue de saint Pierre dans une niche.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'église est orientée, elle est formée d'une nef unique à cinq travées flanquée entre chaque contrefort de chapelles latérales, d'un transept court prolongé au XVIIIe siècle de chaque côté par une chapelle et d'un chœur carré, un peu plus étroit que la nef, à une travée et à chevet droit.
Église Saint-Pierre de Prades
L'église est orientée, elle est formée d'une nef unique à cinq travées flanquée entre chaque contrefort de chapelles latérales, d'un transept court prolongé au XVIIIe siècle de chaque côté par une chapelle et d'un chœur carré, un peu plus étroit que la nef, à une travée et à chevet droit.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le grand retable du maître-autel aussi appelé Le triomphe de saint Pierre est une commande des consuls de la ville en 1696 à un jeune catalan de 23 ans né à Manresa, Joseph Sunyer. Il le termine en septembre 1699. En bois sculpté peint et doré, il est constitué d'un triptyque s'élevant jusqu'en haut de la voûte et occupant toute la largeur du fond du chœur, environ 15,5 m de haut sur 11,2 m de large ; il est considéré comme étant le plus grand retable baroque de France. La partie médiane est occupée par la grande statue du premier pape saint Pierre bénissant assis ; au-dessus de lui les armoiries de la papauté surmontées de l'Assomption de Marie, au-dessus, Dieu le Père et l'Esprit-Saint.
Église Saint-Pierre de Prades
Le grand retable du maître-autel aussi appelé Le triomphe de saint Pierre est une commande des consuls de la ville en 1696 à un jeune catalan de 23 ans né à Manresa, Joseph Sunyer. Il le termine en septembre 1699. En bois sculpté peint et doré, il est constitué d'un triptyque s'élevant jusqu'en haut de la voûte et occupant toute la largeur du fond du chœur, environ 15,5 m de haut sur 11,2 m de large ; il est considéré comme étant le plus grand retable baroque de France. La partie médiane est occupée par la grande statue du premier pape saint Pierre bénissant assis ; au-dessus de lui les armoiries de la papauté surmontées de l'Assomption de Marie, au-dessus, Dieu le Père et l'Esprit-Saint.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Tout en bas, au pied des escaliers, une statue de la Vierge
Église Saint-Pierre de Prades
Tout en bas, au pied des escaliers, une statue de la Vierge
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Les marches et la table d’autel sont en marbre rose de Villefranche-de-Conflent.
Église Saint-Pierre de Prades
Les marches et la table d’autel sont en marbre rose de Villefranche-de-Conflent.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La balustrade est en marbre rouge de Caunes -Minervois (1731).
Église Saint-Pierre de Prades
La balustrade est en marbre rouge de Caunes -Minervois (1731).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le registre inférieur.
Église Saint-Pierre de Prades
Le registre inférieur.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le registre inférieur. Des putti.
Église Saint-Pierre de Prades
Le registre inférieur. Des putti.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Sur les portes, la tiare papale. La table d’autel est  en marbre rose de Villefranche-de-Conflent.
Église Saint-Pierre de Prades
Sur les portes, la tiare papale. La table d’autel est en marbre rose de Villefranche-de-Conflent.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La vocation de Pierre.
Église Saint-Pierre de Prades
La vocation de Pierre.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La Vierge.
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La Vierge.
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Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, une peinture du Bon Pasteur datée de 1699. A gauche, Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité. A droite, Saint André, avec la croix en X  en sautoir, instrument de son martyre. Le  tabernacle en marbre noir et blanc porte une représentation de la Trinité, il est sous un linge blanc.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, une peinture du Bon Pasteur datée de 1699. A gauche, Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité. A droite, Saint André, avec la croix en X en sautoir, instrument de son martyre. Le tabernacle en marbre noir et blanc porte une représentation de la Trinité, il est sous un linge blanc.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, une peinture du Bon Pasteur datée de 1699, encadrée par deux anges tenant un encensoir.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, une peinture du Bon Pasteur datée de 1699, encadrée par deux anges tenant un encensoir.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Sur les portes, la tiare papale. Statue de saint Jean Baptiste.
Église Saint-Pierre de Prades
Sur les portes, la tiare papale. Statue de saint Jean Baptiste.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Joseph.
Église Saint-Pierre de Prades
Joseph.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Pierre marchant sur les eaux. Ces deux premières illustrations sont  inspirés de celles de Nicolas Poussin.
Église Saint-Pierre de Prades
Pierre marchant sur les eaux. Ces deux premières illustrations sont inspirés de celles de Nicolas Poussin.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Deuxième et troisième registres. Saint Jacques le Majeur, au bourdon et à la calebasse du pèlerin, la remise des clés du royaume des cieux, et Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité. Saint Barthélémy a perdu dans la main gauche le coutelas l'ayant écorché vif, a libération de Pierre,  et Saint Jacques le Mineur, à la massue de foulon qui l'acheva. Entre deux anges tenant une trompette, Saint Grégoire le Grand.
Église Saint-Pierre de Prades
Deuxième et troisième registres. Saint Jacques le Majeur, au bourdon et à la calebasse du pèlerin, la remise des clés du royaume des cieux, et Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité. Saint Barthélémy a perdu dans la main gauche le coutelas l'ayant écorché vif, a libération de Pierre, et Saint Jacques le Mineur, à la massue de foulon qui l'acheva. Entre deux anges tenant une trompette, Saint Grégoire le Grand.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Deuxième registre. La remise des clés du royaume des cieux, Saint Jacques le Majeur, avec le bourdon et la calebasse du pèlerin et  Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité.
Église Saint-Pierre de Prades
Deuxième registre. La remise des clés du royaume des cieux, Saint Jacques le Majeur, avec le bourdon et la calebasse du pèlerin et Saint Paul, avec l'épée qui l'a décapité.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La remise des clés du royaume des cieux.
Église Saint-Pierre de Prades
La remise des clés du royaume des cieux.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Troisième registre. La libération de Pierre par l'ange, Saint Barthélémy a perdu dans la main gauche le coutelas l'ayant écorché vif et Saint Jacques le Mineur, avec la massue de foulon qui l'acheva. Entre deux anges tenant une trompette, Saint Grégoire le Grand.
Église Saint-Pierre de Prades
Troisième registre. La libération de Pierre par l'ange, Saint Barthélémy a perdu dans la main gauche le coutelas l'ayant écorché vif et Saint Jacques le Mineur, avec la massue de foulon qui l'acheva. Entre deux anges tenant une trompette, Saint Grégoire le Grand.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Deuxième et troisième registres. La guérison du boiteux à la porte du temple, Saint André, à la croix en sautoir, instrument de son martyre et  Saint Jean, imberbe. La crucifixion de Pierre, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié et Saint Mathieu . Entre deux anges tenant une trompette, Saint Ambroise.
Église Saint-Pierre de Prades
Deuxième et troisième registres. La guérison du boiteux à la porte du temple, Saint André, à la croix en sautoir, instrument de son martyre et Saint Jean, imberbe. La crucifixion de Pierre, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié et Saint Mathieu . Entre deux anges tenant une trompette, Saint Ambroise.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Deuxième registre. La guérison du boiteux à la porte du temple, Saint André, à la croix en sautoir, instrument de son martyre et  Saint Jean, imberbe.
Église Saint-Pierre de Prades
Deuxième registre. La guérison du boiteux à la porte du temple, Saint André, à la croix en sautoir, instrument de son martyre et Saint Jean, imberbe.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La guérison du boiteux à la porte du temple.
Église Saint-Pierre de Prades
La guérison du boiteux à la porte du temple.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Troisième registre. La crucifixion de Pierre, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié et Saint Mathieu . Entre deux anges tenant une trompette, Saint Ambroise.
Église Saint-Pierre de Prades
Troisième registre. La crucifixion de Pierre, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié et Saint Mathieu . Entre deux anges tenant une trompette, Saint Ambroise.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La partie médiane est occupée par la grande statue du premier pape saint Pierre bénissant assis, avec au-dessus de lui les armoiries de la papauté .
Église Saint-Pierre de Prades
La partie médiane est occupée par la grande statue du premier pape saint Pierre bénissant assis, avec au-dessus de lui les armoiries de la papauté .
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'importance inhabituelle de la statue centrale colossale de saint Pierre, plus de trois mètres de haut et deux mètres de large, présenté avec tous les signes de la papauté est à l'origine d'un proverbe catalan caractérisant une personne orgueilleuse :
Église Saint-Pierre de Prades
L'importance inhabituelle de la statue centrale colossale de saint Pierre, plus de trois mètres de haut et deux mètres de large, présenté avec tous les signes de la papauté est à l'origine d'un proverbe catalan caractérisant une personne orgueilleuse :" grand comme le Saint Pierre de Prades ".
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Les armoiries de la papauté. A gauche, Saint Jacques le Mineur, à la massue de foulon qui l'acheva. A droite, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié.
Église Saint-Pierre de Prades
Les armoiries de la papauté. A gauche, Saint Jacques le Mineur, à la massue de foulon qui l'acheva. A droite, Saint Philippe, à la croix où il fut supplicié.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Les anges souffleurs.
Église Saint-Pierre de Prades
Les anges souffleurs.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Les anges souffleurs.
Église Saint-Pierre de Prades
Les anges souffleurs.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La partie médiane est occupée par l'Immaculée Conception et au-dessus, Dieu le Père et l'Esprit-Saint. La Vierge Marie semble être l'intermédiaire entre le pouvoir spirituel (Dieu) et le pouvoir temporel (saint Pierre).
Église Saint-Pierre de Prades
La partie médiane est occupée par l'Immaculée Conception et au-dessus, Dieu le Père et l'Esprit-Saint. La Vierge Marie semble être l'intermédiaire entre le pouvoir spirituel (Dieu) et le pouvoir temporel (saint Pierre).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>De gauche à droite, Saint Jérôme dans un médaillon, Saint Simon, l'Immaculée Conception, Saint Jude, Saint Augustin dans un médaillon. Au-dessus, l'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
Église Saint-Pierre de Prades
De gauche à droite, Saint Jérôme dans un médaillon, Saint Simon, l'Immaculée Conception, Saint Jude, Saint Augustin dans un médaillon. Au-dessus, l'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
Église Saint-Pierre de Prades
L'ange à l'encensoir, Dieu le Père et la colombe du Saint Esprit, l'ange au carquois. Et au sommet, St Thomas avec la lance qui le tua.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La clé de voûte représente Saint Pierre tenant les clés.
Église Saint-Pierre de Prades
La clé de voûte représente Saint Pierre tenant les clés.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle saint Gaudérique. Dédiée à saint Gaudérique, saint catalan traditionnellement patron des laboureurs, la clé de voûte comme le retable lui sont dédiés. Le retable attribué à Joseph Sunyer, classé, daté de 1714. Les murs sont décorés d'épis de blé par Léo Polge. Saint Gaudérique patron secondaire du diocèse de Perpignan et patron des laboureurs (fête le 16 octobre) a de tout temps été préposé à la pluie par la dévotion populaire.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle saint Gaudérique. Dédiée à saint Gaudérique, saint catalan traditionnellement patron des laboureurs, la clé de voûte comme le retable lui sont dédiés. Le retable attribué à Joseph Sunyer, classé, daté de 1714. Les murs sont décorés d'épis de blé par Léo Polge. Saint Gaudérique patron secondaire du diocèse de Perpignan et patron des laboureurs (fête le 16 octobre) a de tout temps été préposé à la pluie par la dévotion populaire.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, La cloche de l'Angélus, c’est un mauvais tour du Sacristain qui a surpris St Gaudérique conduisant son char à bœufs, à la traversée du torrent. N’importe ! il se met aussitôt à genoux selon son habitude et voici que les eaux s’écartent pour ne pas mouiller ses vêtements. A gauche, Saint Martin. A droite, Saint Liboire, évêque du Mans, est invoqué pour les maladies de la gravelle, d'où la présence de pierres sur son livre. Ses goigs, c’est-à-dire son hymne catalan, font état d’une rencontre avec Saint Martin, ce qui nous fait présumer que la statue qui est placée au même niveau symétriquement à gauche, représente Saint Martin. Deux médaillons latéraux s’ornent du portrait des donateurs, tandis que deux panneaux inférieurs en portaient les armoiries, grattées à la Révolution.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, La cloche de l'Angélus, c’est un mauvais tour du Sacristain qui a surpris St Gaudérique conduisant son char à bœufs, à la traversée du torrent. N’importe ! il se met aussitôt à genoux selon son habitude et voici que les eaux s’écartent pour ne pas mouiller ses vêtements. A gauche, Saint Martin. A droite, Saint Liboire, évêque du Mans, est invoqué pour les maladies de la gravelle, d'où la présence de pierres sur son livre. Ses goigs, c’est-à-dire son hymne catalan, font état d’une rencontre avec Saint Martin, ce qui nous fait présumer que la statue qui est placée au même niveau symétriquement à gauche, représente Saint Martin. Deux médaillons latéraux s’ornent du portrait des donateurs, tandis que deux panneaux inférieurs en portaient les armoiries, grattées à la Révolution.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, Sainte Ursule et ses compagnes. A gauche, Sainte Marguerite qui piétine le démon. A droite, Sainte Marthe qui a perdu récemment le bénitier portatif qui lui servit d’arme contre la Tarasque légendaire. Au sommet un ange porte la croix et le calice qui a recueilli le Sang du Christ.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, Sainte Ursule et ses compagnes. A gauche, Sainte Marguerite qui piétine le démon. A droite, Sainte Marthe qui a perdu récemment le bénitier portatif qui lui servit d’arme contre la Tarasque légendaire. Au sommet un ange porte la croix et le calice qui a recueilli le Sang du Christ.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle saint Jean-Baptiste. La clé de voûte porte « un agneau pascal », symbole du Christ, évoquant la parole de Saint Jean Baptiste : «  Voilà l'agneau de Dieu ». Voilà pourquoi le retable, daté de 1699, est dédié au Saint Précurseur.
Cette chapelle était le siège de la confrérie des menuisiers, maçons, tisserands à lin, faiseurs de comportes, potiers, charpentiers, tailleurs de pierre et tonneliers : confrérie qui possédait le « mystère » de l’Ecce Homo pour les processions de la semaine Sainte.
Un autel de Saint Jean-Baptiste est mentionné en 1381 dans l'ancienne église.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle saint Jean-Baptiste. La clé de voûte porte « un agneau pascal », symbole du Christ, évoquant la parole de Saint Jean Baptiste : « Voilà l'agneau de Dieu ». Voilà pourquoi le retable, daté de 1699, est dédié au Saint Précurseur. Cette chapelle était le siège de la confrérie des menuisiers, maçons, tisserands à lin, faiseurs de comportes, potiers, charpentiers, tailleurs de pierre et tonneliers : confrérie qui possédait le « mystère » de l’Ecce Homo pour les processions de la semaine Sainte. Un autel de Saint Jean-Baptiste est mentionné en 1381 dans l'ancienne église.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Saint Michel, Saint François d’Assise. Sur le Mont Alverne, un Séraphin, semblant crucifié, imprima mystérieusement aux mains et aux pieds de Saint François les traces des clous, et au côté, la marque du coup de lance donné au Christ en croix. La position de ces stigmates sacrés explique la position des mains de la statue. Au-dessous de la statue de Jean-Baptiste figurent deux panneaux sculptés dont la prédication de Jean-Baptiste qui s'inspire d'une toile de Nicolas Poussin de 1634 : Saint-Jean baptisant sur les bords du Jourdain. L'autre panneau représente le martyre de Saint Valent, diacre. Ce retable est attribué à Joseph Sunyer.
Église Saint-Pierre de Prades
Saint Michel, Saint François d’Assise. Sur le Mont Alverne, un Séraphin, semblant crucifié, imprima mystérieusement aux mains et aux pieds de Saint François les traces des clous, et au côté, la marque du coup de lance donné au Christ en croix. La position de ces stigmates sacrés explique la position des mains de la statue. Au-dessous de la statue de Jean-Baptiste figurent deux panneaux sculptés dont la prédication de Jean-Baptiste qui s'inspire d'une toile de Nicolas Poussin de 1634 : Saint-Jean baptisant sur les bords du Jourdain. L'autre panneau représente le martyre de Saint Valent, diacre. Ce retable est attribué à Joseph Sunyer.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, Saint Jean-Baptiste, la Vierge à l'enfant, vénérée sous le vocable de Notre Dame de la Salut (de la Santé), provient de la chapelle du Couvent des Capucins ; elle bénéficiait en 1750 de goigs (cantiques catalans) particuliers ; encadrée de sainte Agathe et de sainte Lucie en buste. Sainte Lucie, invoquée pour la vue à cause de son nom qui signifie « lumière », porte précisément, deux yeux sur un plateau à pied.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, Saint Jean-Baptiste, la Vierge à l'enfant, vénérée sous le vocable de Notre Dame de la Salut (de la Santé), provient de la chapelle du Couvent des Capucins ; elle bénéficiait en 1750 de goigs (cantiques catalans) particuliers ; encadrée de sainte Agathe et de sainte Lucie en buste. Sainte Lucie, invoquée pour la vue à cause de son nom qui signifie « lumière », porte précisément, deux yeux sur un plateau à pied.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle du Christ ou du Saint Sacrement. Elle est construite en 1696, dans une ancienne tour des remparts, sur la demande de Jean-Michel Bertran notaire à Prades, ainsi qu'en témoigne l'inscription que porte le pilier de son sanctuaire.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle du Christ ou du Saint Sacrement. Elle est construite en 1696, dans une ancienne tour des remparts, sur la demande de Jean-Michel Bertran notaire à Prades, ainsi qu'en témoigne l'inscription que porte le pilier de son sanctuaire.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au-dessus de l'autel en marbre un retable de 1681 avec quatre colonnes torses ornées de pampres et d'angelots encadre un Christ d'inspiration espagnole.
Église Saint-Pierre de Prades
Au-dessus de l'autel en marbre un retable de 1681 avec quatre colonnes torses ornées de pampres et d'angelots encadre un Christ d'inspiration espagnole.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le retable se compose de deux parties. Il est surmonté de la statue d'un ange tenant dans ses mains la Croix et le calice du Sang de la Rédemption. La date de 1681 est placée entre la colombe du Saint Esprit et Dieu le Père. Sa destination primitive était la chapelle actuelle de Notre Dame de La Salette.
Église Saint-Pierre de Prades
Le retable se compose de deux parties. Il est surmonté de la statue d'un ange tenant dans ses mains la Croix et le calice du Sang de la Rédemption. La date de 1681 est placée entre la colombe du Saint Esprit et Dieu le Père. Sa destination primitive était la chapelle actuelle de Notre Dame de La Salette.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le tabernacle et ses deux tableaux latéraux, l'adoration des bergers et l'adoration des mages, sont attribués à Joseph Sunyer.
Église Saint-Pierre de Prades
Le tabernacle et ses deux tableaux latéraux, l'adoration des bergers et l'adoration des mages, sont attribués à Joseph Sunyer.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Une  colonnes avec des angelots et des pampres de vigne.
Église Saint-Pierre de Prades
Une colonnes avec des angelots et des pampres de vigne.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le Tabernacle du XVIIIe siècle, ajouté à ce retable, provient de l'ancien couvent des Capucins (qui. avec la Révolution devint une caserne et en 1824-25. une école secondaire ecclésiastique. « le petit séminaire »). Au centre, l’Immaculée Conception. Au dessous, le Christ de la Flagellation.
Église Saint-Pierre de Prades
Le Tabernacle du XVIIIe siècle, ajouté à ce retable, provient de l'ancien couvent des Capucins (qui. avec la Révolution devint une caserne et en 1824-25. une école secondaire ecclésiastique. « le petit séminaire »). Au centre, l’Immaculée Conception. Au dessous, le Christ de la Flagellation.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'Adoration des bergers.
Église Saint-Pierre de Prades
L'Adoration des bergers.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'Adoration des bergers.
Église Saint-Pierre de Prades
L'Adoration des bergers.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L’Adoration des Mages.
Église Saint-Pierre de Prades
L’Adoration des Mages.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L’Adoration des Mages.
Église Saint-Pierre de Prades
L’Adoration des Mages.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Quatre tableaux du  XVIIe, la Flagellation, le Couronnement d’épines,
Église Saint-Pierre de Prades
Quatre tableaux du XVIIe, la Flagellation, le Couronnement d’épines,
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Jésus dépouillé de ses vêtements, la rencontre de Jésus et de Marie sur le chemin du Calvaire et de sainte Véronique, sont des peintures de Léo Polge (XIXe)
Église Saint-Pierre de Prades
Jésus dépouillé de ses vêtements, la rencontre de Jésus et de Marie sur le chemin du Calvaire et de sainte Véronique, sont des peintures de Léo Polge (XIXe)
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La Flagellation.
Église Saint-Pierre de Prades
La Flagellation.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Le Couronnement d’épines.
Église Saint-Pierre de Prades
Le Couronnement d’épines.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
Église Saint-Pierre de Prades
La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
Église Saint-Pierre de Prades
La voûte de la chapelle. Dans les écoinçons, des anges portent des outils de la Passion.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Saint Benoît. La construction de cette chapelle, qui prolonge vers le midi le bras gauche du transept, débuta en 1735. Elle possède un retable, du début XVIIIe, en bols doré et toiles peintes qui provient de l’abbaye de Saint-Michel de Cuixà, d’où il fut transféré à la Révolution française. L’art du peintre décèle une palette de formation espagnole. Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance.
Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer.
Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur).
Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît.
Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement.
A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît)
Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission.
Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Saint Benoît. La construction de cette chapelle, qui prolonge vers le midi le bras gauche du transept, débuta en 1735. Elle possède un retable, du début XVIIIe, en bols doré et toiles peintes qui provient de l’abbaye de Saint-Michel de Cuixà, d’où il fut transféré à la Révolution française. L’art du peintre décèle une palette de formation espagnole. Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance. Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer. Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur). Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît. Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement. A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît) Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission. Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre : Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement. 
A droite : Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière. Sur l'autel une châsse qui est un reliquaire en forme de sarcophage muni d'un couvercle à 2 pentes, dans lequel se trouvent des reliques du saint.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre : Saint-Benoît. A gauche : Saint-Benoît remet à un débiteur aux abois, qui a imploré son aide, 13 sous d’or trouvés miraculeusement. A droite : Correction du moine qu’un diablotin noir écartait de l’oratoire à l’heure de la prière. Sur l'autel une châsse qui est un reliquaire en forme de sarcophage muni d'un couvercle à 2 pentes, dans lequel se trouvent des reliques du saint.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance.
Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer.
A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur)
Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît.
A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît)
Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission.
Église Saint-Pierre de Prades
Au centre, de haut en bas : Armoiries du donateur. Guérison d’un homme, que l’on avait empoisonné par vengeance. Entrevue de Totila, roi des Goths, avec Saint- Benoît, dont il vient d’éprouver l’esprit prophétique, en déguisant son écuyer. A gauche : Saint-Benoît (sous les traits du donateur) Réprimande au moine qui se croyait humilié de tenir le bougeoir, pendant le repas, devant la table de Saint Benoît. A droite : Sainte Scholastique (sœur de St Benoît) Réprimande aux deux moines qui ont mangé hors du monastère sans permission.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La Vierge du Rosaire.
Église Saint-Pierre de Prades
La Vierge du Rosaire.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame des Victoires. La clé de voûte représente saint Crépin et saint Crépinien patrons des cordonniers et des tanneurs, c'est l'ancienne chapelle de cette confrérie. Le retable baldaquin de 1866 porte la statue de Notre-Dame des victoires encadrée de sainte Anne et sainte Germaine.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame des Victoires. La clé de voûte représente saint Crépin et saint Crépinien patrons des cordonniers et des tanneurs, c'est l'ancienne chapelle de cette confrérie. Le retable baldaquin de 1866 porte la statue de Notre-Dame des victoires encadrée de sainte Anne et sainte Germaine.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>A droite, sainte Germaine de Pibrac, Germaine Cousin. On la représente vêtue d'une longue robe recouverte d'un tablier avec un foulard sur les cheveux dans un décor pastoral avec une quenouille et une brebis ou des moutons.
Église Saint-Pierre de Prades
A droite, sainte Germaine de Pibrac, Germaine Cousin. On la représente vêtue d'une longue robe recouverte d'un tablier avec un foulard sur les cheveux dans un décor pastoral avec une quenouille et une brebis ou des moutons.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette chapelle (qui, à l’origine, d’après la clé de voûte, était dédiée au Christ) est occupée maintenant par le groupe en pierre de l’Apparition de Notre Dame de la Salette, œuvre du sculpteur Delarue (1867).
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette chapelle (qui, à l’origine, d’après la clé de voûte, était dédiée au Christ) est occupée maintenant par le groupe en pierre de l’Apparition de Notre Dame de la Salette, œuvre du sculpteur Delarue (1867).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. L'autel en marbre rose.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. L'autel en marbre rose.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette apparition date de 1846 : la Vierge apparaît à deux enfants qui déclarent « avoir vu une belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois. Elle était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens ».
Juste quelques années plus tard, le peintre Léo POLGE, qui signe en 1872 la fin des peintures murales de l’église, l’a représenté vêtue de blanc.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. Cette apparition date de 1846 : la Vierge apparaît à deux enfants qui déclarent « avoir vu une belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois. Elle était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens ». Juste quelques années plus tard, le peintre Léo POLGE, qui signe en 1872 la fin des peintures murales de l’église, l’a représenté vêtue de blanc.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. Origine du culte à l'Enfant Jésus de Prague :
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. Origine du culte à l'Enfant Jésus de Prague : "Alors que c'est à Prague qu'elle devint le support de l'expansion de la dévotion envers l'enfance de Jésus, la statuette serait, en réalité, originaire d'Espagne. Elle serait, en effet, l'œuvre d'un moine qui l'a sculptée sur l'ordre de Jésus et elle aurait appartenu à sainte Thérèse d'Avila (qui avait pris pour nom de religion Tereza de Jésus), laquelle l'aurait transmise à une amie, Maria Maximiliena Manrique de Lara y Mendoza, dame d'honneur de l'impératrice née Marie d’Espagne 1. C'est sa fille, Polyxène de Pemstein, princesse de Lobkowicz, qui l'aurait rapportée à Prague. [...] L'Enfant-Jésus levant la main droite en signe de bénédiction soutient habituellement de la gauche un globe terrestre. L'original dont s'inspire cet exemplaire est, également, coiffé d’une couronne. "Le globe et la couronne, symboles royaux, manifestent la toute-puissance de Jésus, qui est également le fondateur et le protecteur du Royaume de Dieu ». La statuette originale dont s’inspire celle-ci, est en principe revêtue de tenues brodées qui lui sont offertes par des fidèles en signe d’action de grâce, c'est-à-dire, pour remercier l’Enfant-Jésus de grâces obtenues".
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. Le Ressuscité, en bois doré, du XVIII° siècle est représenté selon l’habitude, muni d’une croix étendard, l’étendard de sa victoire sur la mort et il y a là, le décalque du verset de l’hymne de Pâques : « Victor subactis inferis, irophaea Christus explicat » c’est-à-dire : « Refoulant la mort, le Christ victorieux déploie l'étendard de son triomphe. Sur le mur est représentée l'apparition de la Vierge deux enfants, par Léo POLGE.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. Le Ressuscité, en bois doré, du XVIII° siècle est représenté selon l’habitude, muni d’une croix étendard, l’étendard de sa victoire sur la mort et il y a là, le décalque du verset de l’hymne de Pâques : « Victor subactis inferis, irophaea Christus explicat » c’est-à-dire : « Refoulant la mort, le Christ victorieux déploie l'étendard de son triomphe. Sur le mur est représentée l'apparition de la Vierge deux enfants, par Léo POLGE.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle Notre-Dame de la Salette. La belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois, était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle Notre-Dame de la Salette. La belle Dame vêtue d’un costume étrange, parlant français et patois, était triste et pleurait à cause de l’impiété des chrétiens.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle du Rosaire. La clé de voûte au monogramme de Marie marque la dédicace ancienne de cette chapelle. Au-dessus de l'autel en marbre rose un retable à baldaquin aux colonnes de marbre de 1844 abrite le groupe sculpté en bois doré du rosaire daté du XVIIIe, il vient de l’ancienne église del Rouze sur l’emplacement de laquelle s’élève actuellement la Mairie. En fait, on y plaça les orgues jusqu'en 1818, tandis qu’en dessous de celles-ci on disposa en 1703, la statue de Saint Valent (actuellement au Trésor de l’église). Au dallage, on lit l’inscription funéraire dont la traduction du latin au français signifie : « Ci-gît Joseph de Lacroix, juge de cette ville, qui a cru et espéré dans le Christ Sauveur. Il est mort le jour du 14 Novembre, l’an du Seigneur 1769 ». C’est ce juge qui, en 1758, eut à se fâcher contre 9 jeunes hommes de Prades qui, la nuit, chantaient dans les rues un pot-pourri de chansons gaillardes et de psaumes funèbres
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle du Rosaire. La clé de voûte au monogramme de Marie marque la dédicace ancienne de cette chapelle. Au-dessus de l'autel en marbre rose un retable à baldaquin aux colonnes de marbre de 1844 abrite le groupe sculpté en bois doré du rosaire daté du XVIIIe, il vient de l’ancienne église del Rouze sur l’emplacement de laquelle s’élève actuellement la Mairie. En fait, on y plaça les orgues jusqu'en 1818, tandis qu’en dessous de celles-ci on disposa en 1703, la statue de Saint Valent (actuellement au Trésor de l’église). Au dallage, on lit l’inscription funéraire dont la traduction du latin au français signifie : « Ci-gît Joseph de Lacroix, juge de cette ville, qui a cru et espéré dans le Christ Sauveur. Il est mort le jour du 14 Novembre, l’an du Seigneur 1769 ». C’est ce juge qui, en 1758, eut à se fâcher contre 9 jeunes hommes de Prades qui, la nuit, chantaient dans les rues un pot-pourri de chansons gaillardes et de psaumes funèbres
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Au siècle dernier, on y transporta le Groupe du Rosaire, en bois doré, du XVIIe siècle, représentant Notre Dame du Rosaire entre Saint Dominique et Sainte Catherine de Sienne. Ces statues proviennent de l’ancienne église du Rosaire, aujourd'hui disparue, consacrée en 1581.
Église Saint-Pierre de Prades
Au siècle dernier, on y transporta le Groupe du Rosaire, en bois doré, du XVIIe siècle, représentant Notre Dame du Rosaire entre Saint Dominique et Sainte Catherine de Sienne. Ces statues proviennent de l’ancienne église du Rosaire, aujourd'hui disparue, consacrée en 1581.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'apparition mariale de Notre-Dame de La Salette désigne l'apparition de la Vierge Marie qui se serait produite le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, en France, à deux petits bergers Mélanie Calvat et Maximin Giraud.
Église Saint-Pierre de Prades
L'apparition mariale de Notre-Dame de La Salette désigne l'apparition de la Vierge Marie qui se serait produite le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, en France, à deux petits bergers Mélanie Calvat et Maximin Giraud.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Cette chapelle dans l'idée du constructeur devait être dédiée à Saint Nicolas puisque c'est ce Saint, avec les trois petits enfants, qui figure à la clé de voûte. Un autel de Saint Nicolas est d'ailleurs mentionné dans l'ancienne église.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Cette chapelle dans l'idée du constructeur devait être dédiée à Saint Nicolas puisque c'est ce Saint, avec les trois petits enfants, qui figure à la clé de voûte. Un autel de Saint Nicolas est d'ailleurs mentionné dans l'ancienne église.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Saint Nicolas, avec les trois petits enfants, figure à la clé de voûte.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Saint Nicolas, avec les trois petits enfants, figure à la clé de voûte.
97
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
98
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Le tableau central représentant Saint Louis de Gonzague en extase est l'œuvre de Bonnegrâce et porte la date de 1845 ; ce serait un don du gouvernement de Louis Philippe.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Louis de Gonzague. Le tableau central représentant Saint Louis de Gonzague en extase est l'œuvre de Bonnegrâce et porte la date de 1845 ; ce serait un don du gouvernement de Louis Philippe.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Louis de Gonzague.
100
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Saint Benoit Labre. Bénitier en marbre rose 15e
Église Saint-Pierre de Prades
Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Saint Benoit Labre. Bénitier en marbre rose 15e
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Statue de la chapelle de la Porte Latérale.
Église Saint-Pierre de Prades
Statue de la chapelle de la Porte Latérale.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Un pape.
Église Saint-Pierre de Prades
Statue de la chapelle de la Porte Latérale. Un pape.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle du Mont Carmel. La clé de voûte de saint Éloi patron des orfèvres, forgerons et serruriers montre que primitivement la chapelle est celle de cette confrérie. Dans la niche centrale du retable de 1778 est placée la statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866); au-dessus le Jean-Baptiste est encadré par saint Benoît et sainte Scholastique présents sur le retable à l'origine. À la base un panneau sculpté d'origine illustre le purgatoire et les âmes au-dessus des flammes implorant la Vierge. A droite, statue de saint Expedit.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle du Mont Carmel. La clé de voûte de saint Éloi patron des orfèvres, forgerons et serruriers montre que primitivement la chapelle est celle de cette confrérie. Dans la niche centrale du retable de 1778 est placée la statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866); au-dessus le Jean-Baptiste est encadré par saint Benoît et sainte Scholastique présents sur le retable à l'origine. À la base un panneau sculpté d'origine illustre le purgatoire et les âmes au-dessus des flammes implorant la Vierge. A droite, statue de saint Expedit.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866). Le purgatoire (1778) : les âmes au-dessus des flammes implorent la Vierge.
Église Saint-Pierre de Prades
Statue de Notre-Dame du Mont-Carmel (1866). Le purgatoire (1778) : les âmes au-dessus des flammes implorent la Vierge.
105
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Sébastien. Les confréries de saint Sébastien sont des confréries d'archers initialement milices de lieux de cultes. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721 mais dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Sébastien. Les confréries de saint Sébastien sont des confréries d'archers initialement milices de lieux de cultes. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721 mais dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Sébastien. Dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Sébastien. Dans le cadre central c'est une Notre-Dame des Douleurs en Pietà qui y est placée ultérieurement. Dans les niches latérales figurent saint Joseph et saint Dominique.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de Saint Sébastien. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de Saint Sébastien. Saint Sébastien figure sur la clé de voûte et dans une niche en haut du retable qui est daté de 1721.
108
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La mise au tombeau est attribuée à Joseph Sunyer, datée de la fin du XVIIe elle comprend les huit personnages traditionnels : le Christ gisant, la Vierge Marie entre Jean et Marie Madeleine, avec son vase de parfum et tenant de la main ses cheveux, Marie Salomé, mère des Saints Jacques le Majeur et Jean., Marie mère de saint Jacques le Mineur,  et à la tête et aux pieds du Christ supplicié Nicodème qui apporta la myrrhe et l'aloès pour l'embaumement du corps, et Joseph d'Arimathie, le notable juif qui prêta son tombeau pour la sépulture du Christ. Cette dévotion au Sépulcre est très présente dans le Conflent où cinq autres églises possèdent encore une mise au tombeau. Depuis 2011 une grille réalisée et posée par le ferronnier d'art M. Nassali protège le groupe sculpté.
Église Saint-Pierre de Prades
La mise au tombeau est attribuée à Joseph Sunyer, datée de la fin du XVIIe elle comprend les huit personnages traditionnels : le Christ gisant, la Vierge Marie entre Jean et Marie Madeleine, avec son vase de parfum et tenant de la main ses cheveux, Marie Salomé, mère des Saints Jacques le Majeur et Jean., Marie mère de saint Jacques le Mineur, et à la tête et aux pieds du Christ supplicié Nicodème qui apporta la myrrhe et l'aloès pour l'embaumement du corps, et Joseph d'Arimathie, le notable juif qui prêta son tombeau pour la sépulture du Christ. Cette dévotion au Sépulcre est très présente dans le Conflent où cinq autres églises possèdent encore une mise au tombeau. Depuis 2011 une grille réalisée et posée par le ferronnier d'art M. Nassali protège le groupe sculpté.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la conception. Construite en 1749 à l'extrémité du transept nord elle est dédiée à l'Immaculée Conception, le retable en bois doré date de 1839 avec au centre la statue de l'immaculée conception. Ultérieurement les statues du Curé d'Ars et de saint Antoine de Padoue (absent) sont placées de chaque côté.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la conception. Construite en 1749 à l'extrémité du transept nord elle est dédiée à l'Immaculée Conception, le retable en bois doré date de 1839 avec au centre la statue de l'immaculée conception. Ultérieurement les statues du Curé d'Ars et de saint Antoine de Padoue (absent) sont placées de chaque côté.
110
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. Le retable de la Trinité est commandé dès 1655 à Louis Generès le grand maître du retable du Roussillon ; le retable, classé, présent dans la chapelle est composite avec un autre retable du XVIIIe siècle, le groupe central est bien de L. Generès. La clé de voûte de cette chapelle est également dédiée à la Sainte Trinité.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. Le retable de la Trinité est commandé dès 1655 à Louis Generès le grand maître du retable du Roussillon ; le retable, classé, présent dans la chapelle est composite avec un autre retable du XVIIIe siècle, le groupe central est bien de L. Generès. La clé de voûte de cette chapelle est également dédiée à la Sainte Trinité.
111
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. Un autel de la Trinité est mentionné en 1431 dans l’ancienne église.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. Un autel de la Trinité est mentionné en 1431 dans l’ancienne église.
112
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. En fait, il n’y a que le groupe de la Trinité (le Père éternel surmonté de la colombe du Saint Esprit et tenant dans ses mains le Christ en croix) qui puisse être attribué à Générés. Louis Générés est le grand sculpteur du XVIIe en Confient (compatriote et maître de Joseph Sunyer). Sa statuaire, souvent fruste et maladroite reflète néanmoins, sans doute à cause de sa naïveté, une expression de piété et de noblesse religieuse.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. En fait, il n’y a que le groupe de la Trinité (le Père éternel surmonté de la colombe du Saint Esprit et tenant dans ses mains le Christ en croix) qui puisse être attribué à Générés. Louis Générés est le grand sculpteur du XVIIe en Confient (compatriote et maître de Joseph Sunyer). Sa statuaire, souvent fruste et maladroite reflète néanmoins, sans doute à cause de sa naïveté, une expression de piété et de noblesse religieuse.
113
<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. Saint Valent, diacre qui se trouve au-dessus du groupe de la Trinité, provient de la chapelle actuelle du Rosaire où on l’avait placé en 1703. Quant aux soldats qui l’entourent on peut penser sous toute réserve qu’il s’agisse de Saint Ferréol et de Saint Julien, son compagnon.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. Saint Valent, diacre qui se trouve au-dessus du groupe de la Trinité, provient de la chapelle actuelle du Rosaire où on l’avait placé en 1703. Quant aux soldats qui l’entourent on peut penser sous toute réserve qu’il s’agisse de Saint Ferréol et de Saint Julien, son compagnon.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Thérèse d’Avila dans sa vision de L’Ange qui lui perce le cœur de son dard enflammé (ou la Transverbération).
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Thérèse d’Avila dans sa vision de L’Ange qui lui perce le cœur de son dard enflammé (ou la Transverbération).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Rose de Lima.
Église Saint-Pierre de Prades
La chapelle de la sainte Trinité. Sainte Rose de Lima.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Notre-Dame de Montserrat, patronne des catalans.
Église Saint-Pierre de Prades
Notre-Dame de Montserrat, patronne des catalans.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
Église Saint-Pierre de Prades
La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
Église Saint-Pierre de Prades
La chaire à prêcher du XVIIIe siècle en bois fruitier est classée (laquelle ?).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
Église Saint-Pierre de Prades
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>L'orgue, construit par Honoré et Antoine Grinda en 1818, est un orgue de tribune installé au-dessus de l'entrée sur le mur occidental. Le buffet est classique. La console comporte 35 jeux sur trois claviers manuels (positif, 9 jeux ; grand orgue, 12 jeux ; récit, 5 jeux) et un pédalier à l'allemande (9 jeux). Il est restauré par la firme Danion - Gonzalez en 1960 puis par la Manufacture Languedocienne de Grandes Orgues en 1993. Derrière l'orgue la peinture murale L'exaltation de Saint Pierre de Léo Polge orne le mur occidental. L'apôtre est tellement possédé par le Christ qu'il revit l'événement de l'Ascension, exactement comme il est dit dans les Évangiles.
Église Saint-Pierre de Prades
L'orgue, construit par Honoré et Antoine Grinda en 1818, est un orgue de tribune installé au-dessus de l'entrée sur le mur occidental. Le buffet est classique. La console comporte 35 jeux sur trois claviers manuels (positif, 9 jeux ; grand orgue, 12 jeux ; récit, 5 jeux) et un pédalier à l'allemande (9 jeux). Il est restauré par la firme Danion - Gonzalez en 1960 puis par la Manufacture Languedocienne de Grandes Orgues en 1993. Derrière l'orgue la peinture murale L'exaltation de Saint Pierre de Léo Polge orne le mur occidental. L'apôtre est tellement possédé par le Christ qu'il revit l'événement de l'Ascension, exactement comme il est dit dans les Évangiles.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>De part et d'autre de l'orgue, le baptême de Jésus et Saint Michel terrassant le démon.
Église Saint-Pierre de Prades
De part et d'autre de l'orgue, le baptême de Jésus et Saint Michel terrassant le démon.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Statue de dévotion privée, dans sa vitrine, venant d'une maison roussillonnaise, peut- être Prades. C'est une Effigie en cire, habillée avec un joli tissu ancien, fin 18esiècle début 19ème siècle. La couronne en tissu appliqué reproduit les modèles de couronnes en orfèvrerie (argent) que l'on trouve sur de nombreuses statues catalanes (ND de Domanova).
Église Saint-Pierre de Prades
Statue de dévotion privée, dans sa vitrine, venant d'une maison roussillonnaise, peut- être Prades. C'est une Effigie en cire, habillée avec un joli tissu ancien, fin 18esiècle début 19ème siècle. La couronne en tissu appliqué reproduit les modèles de couronnes en orfèvrerie (argent) que l'on trouve sur de nombreuses statues catalanes (ND de Domanova).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Grande monstrance, reliquaire de Saint Valentin. Les reliquaires les plus anciens sont les deux bustes en cuivre de Saint-Valentin et de Saint-Nazaire, qui datent du début du XVIesiècle. Faits de métal repoussé et ciselé, la tête peinte comme au naturel, ils sont de tradition médiévale.
Église Saint-Pierre de Prades
Grande monstrance, reliquaire de Saint Valentin. Les reliquaires les plus anciens sont les deux bustes en cuivre de Saint-Valentin et de Saint-Nazaire, qui datent du début du XVIesiècle. Faits de métal repoussé et ciselé, la tête peinte comme au naturel, ils sont de tradition médiévale.
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>En hauteur : Saint Valentin, grande châsse de Saint Michel de Cuixa, Saint Nazaire. En bas, des monstrances, Saint Côme et Saint Damien (patrons des médecins) et Saint Isidore,  (patrons des agriculteurs en Espagne).
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En hauteur : Saint Valentin, grande châsse de Saint Michel de Cuixa, Saint Nazaire. En bas, des monstrances, Saint Côme et Saint Damien (patrons des médecins) et Saint Isidore, (patrons des agriculteurs en Espagne).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Saint-Nazaire, à droite, bras reliquaire Saint Saturnin/Saint-Laurent, reliquaire Saint Eutrope
Église Saint-Pierre de Prades
Saint-Nazaire, à droite, bras reliquaire Saint Saturnin/Saint-Laurent, reliquaire Saint Eutrope
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Saint Jean Nepomucène, Saint Pierre de Vérone (pour protéger la terre des fléaux destructeurs), Saint-Joseph (patronne de la « bonne mort »).
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Saint Jean Nepomucène, Saint Pierre de Vérone (pour protéger la terre des fléaux destructeurs), Saint-Joseph (patronne de la « bonne mort »).
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Reliquaire de Saint Gaudérique, œuvre de François Boher, datée de 1805 .
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Reliquaire de Saint Gaudérique, œuvre de François Boher, datée de 1805 .
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<center>Église Saint-Pierre de Prades</center>Reliquaire de Saint Blaise (vénéré pour guérir les maux de gorge).
Église Saint-Pierre de Prades
Reliquaire de Saint Blaise (vénéré pour guérir les maux de gorge).
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