Edifiée au milieu du XIIIe siècle sous l’impulsion d’Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse et frère du roi de France, l’église Saint Jean l’Evangéliste est un parfait témoignage de la reconquête de la région par le pouvoir catholique, au lendemain de la croisade menée contre les cathares.
Caractéristique de l’architecture gothique méridionale. Dirigés par les Dominicains, les travaux furent réalisés par l’architecte bourguignon Bérenger Jornet, entre 1258 et 1280, et se prolongèrent au début du XIVe siècle par la construction du clocher et la pose des vitraux dont les plus anciens sont ceux de la rose occidentale. Côté ouest, là où a pris place un des deux portails, nous pouvons y voir un toit soutenu par deux colonnes doriques ainsi qu’un grand escalier double extérieur, ces ultimes constructions ayant été réalisées au XIXe siècle.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Monumentale et sobre, la nef, sans collatéraux, était adaptée au prêche catholique, au rassemblement des fidèles et à la vénération des reliques
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Saint Pierre.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Un groupe sculpté associant un Christ en croix de facture catalane du XVe siècle, la Vierge et saint Jean l’Evangéliste du XVIe siècle.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Les vitraux sont formés de dalles percées. Réalisés par un compagnon du nom de Barthélémy Gauchy à la fin du XIXe siècle, les vitraux de la nef prennent place dans des polylobes formés de dalles ajourées. Caractéristiques du courant artistique symbolique, ils présentent les attributs des quatre évangélistes, un calice, la colombe du Saint-Esprit et/ou encore le IHS du Christ. Par leur couleur extrêmement vive, ils apportent une luminosité tout à fait intéressante à l’édifice du XIIIe siècle dont l’architecture met essentiellement l’accent sur la ruralité.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
L’édifice est éclairé à l’ouest par une grande rose polylobée. Celle-ci est décorée de vitraux rehaussés de grisaille datant du XVIe siècle.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Croix reliquaire, et processionnelle. (XIIIe ou XIV siècle). Travail italien, Vénétie ?
(h. 90 cm, 156,5 cm).
Objet classé au titre des Monuments Historiques (1908)
Cette exceptionnelle croix de procession, qui fut restaurée à plusieurs reprises, dont en 2018, passe pour avoir été offerte anciennement à la paroisse par la famille de Sénezergues.
Constituée d’une âme en bois couverte de plaques d’argent doré et de filigranes d’argent dorés et cloués, d’un nœud et d’une douille en cuivre doré, la croix est ornée de nombreux gemmes, de gros cristaux de roche ainsi que de quatre reliquaires sous verre.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Ce grand et rarissime porte- cierge, restauré en 2018, est constitué d’une cage en fer forgé qui était destinée à être posée au sol.
La lourde structure cylindrique se compose de huit montants verticaux entre lesquels se développent des volutes adossées et rivetées, assemblées par des agrafes massives. La cage, dont la porte pivotante est ornée d’un bouton à motif végétal en cuivre, servait à placer et à faire brûler un grand cierge (cierge Pascal ou chandelle Notre-Dame).
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Encensoir (XVIIIe s.)
(h. 107,5 cm ; diam. 12,5 cm) Classé au titre des Monuments Historiques (1983)
Cet encensoir en argent, attribuable au 18e s., était utilisé par le personnel religieux lors des offices liturgiques qui se tenaient dans l’église. Monté sur un piédouche, l’objet, dont la partie inférieure contenait de la braise, dispose d’un corps central architecturé, orné de baies ajourées et surmontées de feurs de lys, destiné à répandre la fumée, coiffé d’un couvercle perforé et retenu par quatre longues chaînes de suspension.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Ces plats de quête (diam. 36 cm et 39,5 cm)en laiton martelé étaient utilisés lors des offices liturgiques afin de collecter les dons.
Un motif de godrons (soleil tournoyant ou roue solaire) en orne la partie centrale. Une inscription en langue allemande figure sur l’un d’eux. Fréquents dans le Rouergue, ces plats pourraient provenir de Nuremberg ou des Flandres (Dinant-sur-Meuse). Ils pourraient également avoir été réalisés par des dinandiers allemands installés dans le Rouergue ou par des dinandiers locaux Villefanche-de Rouergue était alors un important centre de production et de commercialisation du cuivre) ayant acquis des matrices.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Reliquaires (16e, 17e et 18e s.)
Classés ou inscrits au titre des Monuments Historiques (1983)
Ces trois reliquaires réalisés en argent ou en bronze doré, qui étaient originellement exposés à la vue des fidèles et des pèlerins désireux d'obtenir protection et guérison, disposent d'une petite cavité vitrée (monstrance) habillée d'une pièce de tissu destinée à conserver et à présenter les reliques de saints et de saintes.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Saint Augustin et Sainte Monique adorant le Sacré Cœur et la Sainte Trinité. Anonyme. 18e siècle. Huile sur toile.
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Une monstrance.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Saint Jean.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Saint Jean-Baptiste prêchant.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
La Résurrection.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
La Transfiguration.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Adoration des bergers.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
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Najac : Église Saint-Jean l’Évangéliste.
Sur la façade nord se trouve un portail surmonté d’un christ en croix d’une grande antiquité. Datant du XIe siècle, ce christ provient vraisemblablement de l’ancienne église Saint-Martin.
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Najac : Forteresse Royale.
Construite à même le roc, la Forteresse de Najac se dresse sur son promontoire, cernée sur trois côtés par l'Aveyron qui coule cent cinquante mètres plus bas.
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Najac : Forteresse Royale.
Situé sur un promontoire rocheux dans un méandre de l’Aveyron, le castrum, ou bourg castral, se développe dès la fin du XIème siècle. Un village s'établit autour d'un premier château, constitué à l'origine d'une simple tour carrée encore visible aujourd'hui, relevant de l’autorité des comtes de Toulouse.
En 1249, la mort de Raymond VII, Comte de Toulouse, et le mariage de sa fille unique, Jeanne, avec Alphonse de Poitiers, frère du roi de France Louis IX entraîne des changements importants : outre l'extension du village (avec la bastide) et la construction de l'église St-Jean, le château est considérablement agrandi par l'adjonction de tours circulaires dont un immense donjon, affirmant ainsi sa vocation de forteresse militaire, dans un style importé du Nord de la France. Le site même, au sommet d'un éperon rocheux aux pentes escarpées, rend la place inabordable. Une description sommaire des défenses du château, une fois franchis les obstacles naturels, rend compte du fait qu'il n'y eut jamais de bataille rangée pour la possession de l'édifice.
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Najac : Forteresse Royale.
Jean d'Arcis, sénéchal du Rouergue, entreprend la construction, en 1253, du château neuf sur l'éperon étroit et escarpé où se trouve l'unique tour qui va être remaniée et englobée dans un château fort gothique, du modèle dit Philippien. Les courtines sont élevées à 25 mètres de hauteur, inaccessibles aux échelles des assaillants. L’étroitesse de l’éperon, défendu par plusieurs lignes d’enceinte, rend vaines les bombardes et périlleuse l’approche.
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Najac : Forteresse Royale.
Les nouvelles tours rondes, implantées directement sur le roc, découragent la sape. Leurs archères hautes de 6,80 mètres, réputées les plus hautes du monde, permettent la défense dans toutes les directions. À 39 mètres, la terrasse du donjon permet de communiquer avec les autres points forts de la région.
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Najac : Forteresse Royale.
Le château occupe une position dominante dans la basse vallée de l'Aveyron, voie de circulation entre Rodez et Saint-Antonin. Il fut l'un des points forts de l'influence toulousaine dans la vallée de l'Aveyron et du Viaur, contre les positions des Trencavel en Albigeois, au sud, et celles des Barcelone, à l'est.
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Najac : Forteresse Royale.
À la fin du XIVe siècle, pendant dix ans, les Anglais occupent le territoire et son château, mais un soir, les Najacois réussissent à pénétrer dans le château par ruse, tuent la garnison anglaise et reprennent possession des lieux. Najac demeure jusqu'en 1370 le chef-lieu de l'importante sénéchaussée de Rouergue, s’étendant sur le territoire de six cantons actuels de l'Aveyron et de Tarn-et-Garonne, année où le siège du sénéchal est déplacé à Villefranche, Najac ne conservant qu'un viguier. Pendant les guerres de Religion où calvinistes et catholiques s'entretuent, le château est occupé par le seigneur de Morlhon, un protestant. Mais cela dure peu : les catholiques, commandés par François de Buisson de Bournazel, entreprennent le siège du château et, au bout de quelques mois, les assiégés étant à bout de vivres et d'eau, le siège prend fin.
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Najac : Forteresse Royale.
Au cours de l'été 1643, le château de Najac est pris par les paysans révoltés lors de la jacquerie menée par Bernard Calmels, dit Lafourque. Cette révolte qui avait soulevé plus de 10 000 paysans, avait échoué devant Villefranche-de-Rouergue. Les troupes de Mazarin, menées par le comte de Noailles, gouverneur de Najac, reprennent le château. Bernard Calmels et deux de ses lieutenants, Ferrier, et le tisserand Mathieu Vergnes, sont arrêtés, condamnés et roués vifs en octobre 1643.
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Najac : Forteresse Royale.
La construction primitive de la TOUR CARREE, sans doute initiée par les comtes de Toulouse, avait pour but la protection du village. De la deuxième époque date le DONJON, haut de quarante mètres, qui fut l'œuvre d'ALPHONSE DE POITIERS, frère du roi SAINT-LOUIS, de 1253 à 1263. Mêlant schiste et grès rose, la seconde construction est dotée des derniers perfectionnements de l'art militaire. Le coût de sa construction atteindra la somme de seize mille livres tournoi, soit 60 millions de nos-euros.
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Najac : Forteresse Royale.
Le village de Najac.
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Najac : Forteresse Royale.
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Najac : Forteresse Royale.
Les fameuses archères, hautes de 6 m 80, permettaient de voir la base du donjon pour en éviter la sape. Plus haut, elles sont plus larges afin de permettre le tir de lourdes arbalètes.
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Najac : Forteresse Royale.
L’esplanade du Sénéchal. A gauche, le donjon, au milieu, la terrasse bâtie sur la citerne, à droite, une tour ronde.
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Najac : Forteresse Royale.
A gauche, le donjon, au milieu, la terrasse bâtie sur la citerne, à droite, une tour ronde.
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Najac : Forteresse Royale.
L’esplanade du Sénéchal. La salle d’audience de la sénéchaussée du Bas Rouergue.
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Najac : Forteresse Royale.
Le village de Najac vu de l’esplanade du Sénéchal
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Najac : Forteresse Royale.
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Najac : Forteresse Royale.
Le donjon. Le bas des archères du mileu est en forme de triangle.
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Najac : Forteresse Royale.
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Najac : Forteresse Royale.
A gauche, la tour carrée, à droite, une tour ronde.
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Najac : Forteresse Royale.
Après avoir gravi la pente, on arrivait devant cette rampe qui menait à la BARBACANE par l’intermédiaire d'un PONT-LEVIS qui se trouvait au-dessus de l'arche..
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Najac : Forteresse Royale.
Emplacement du pont-levis.
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Najac : Forteresse Royale.
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Najac : Forteresse Royale.
La tour carrée.
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Najac : Forteresse Royale.
La porte comportait trois défenses à franchir. Tout d'abord, l'ASSOMMOIR, ouverture verticale, d'où tombaient pierres, flèches, poix.
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Najac : Forteresse Royale.
Puis la HERSE, en bois, suivie d'une seconde porte fermée par des madriers coulissant dans les murs.
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Najac : Forteresse Royale.
La porte vue de l'intérieur.
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Najac : Forteresse Royale.
Partie droite de la cour avec le donjon.
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Najac : Forteresse Royale.
Partie gauche de la cour avec la tour carrée.
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Najac : Forteresse Royale.
La TOUR CARREE. On y voit une grande maquette reproduisant la forteresse dans son état d’origine.
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Najac : Forteresse Royale.
Maquette de la forteresse en 1253.
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Najac : Forteresse Royale.
Maquette de la forteresse en 1253.
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Najac : Forteresse Royale.
Maquette de la forteresse en 1253.
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Najac : Forteresse Royale.
Maquette de la forteresse en 1253.
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Najac : Forteresse Royale.
Prolongeant la TOUR CARREE, un parvis, emplacement de l'ancien corps de garde, dont le rez-de-chaussée abritait les communs des soldats.
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Najac : Forteresse Royale.
Les communs des soldats.
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Najac : Forteresse Royale.
Les communs des soldats.
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Najac : Forteresse Royale.
Les communs des soldats.
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Najac : Forteresse Royale.
L'état de vétusté de cette forteresse s'explique par le fait que celle-ci fut vendue comme bien public en 1793. Le nouveau propriétaire l'utilisa comme carrière de pierre durant neuf ans. L'effondrement d'un mur, tuant trois ouvriers, en arrêta le démantèlement... Racheté en 1905, elle demeure encore aujourd’hui une propriété privée.
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Najac : Forteresse Royale.
Dans la muraille nord, le CACHOT, profond de 6m, où des CHEVALIERS TEMPLIERS furent emprisonnés, en 1310, sur ordre de PHILIPPE LE BEL.
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Najac : Forteresse Royale.
Le CACHOT, profond de 6m.
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Najac : Forteresse Royale.
Une archère.
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Najac : Forteresse Royale.
Au centre, la cave à vin de la garnison. A droite, la porte qui donne sur la terrasse.
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Najac : Forteresse Royale.
Une porte basse d’1 m 55 conduit à une terrasse fortifiée. Elle recouvre une citerne à eau d’une capacité de 80 m3. Un chêneau vertical l'alimentait depuis le donjon. Pour servir cette redoutable forteresse, de 30 à 200 personnes étaient nécessaires, en fonction des circonstances, ce qui explique l’importance de cette réserve d’eau.
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Najac : Forteresse Royale.
Au pied de la citerne s’étend l’esplanade du Sénéchal, où s’élevait la salle d’audience de la sénéchaussée du Bas Rouergue. Le sénéchal est un représentant de l’autorité seigneuriale. Il ne vivait pas à la forteresse mais dans une demeure de Najac (encore visible aujourd’hui), située au pied des fortifications
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Najac : Forteresse Royale.
Le village de Najac vu de la terrasse.
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Najac : Forteresse Royale.
Sur le côté gauche de la terrasse, le long d'une tour, on aperçoit des latrines.
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Najac : Forteresse Royale.
Le DONJON est bâti sans fondations, mais sur une base pleine de 11m de diamètre pour 7m de hauteur. Les murs ont 2 m 40 d'épaisseur.
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Najac : Forteresse Royale.
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La CHAPELLE ST JULIEN dans le donjon.
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La CHAPELLE ST JULIEN. L'entrée.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. L'entrée. Le culot de lampe à droite est une tête de BACCHUS..
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. Les archères sont habilement dissimulées dans des sortes d'absidioles.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. Les archères sont habilement dissimulées dans des sortes d'absidioles.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. Les deux culots de lampe à gauche et à droite représentent deux têtes : BLANCHE de CASTILLE (mère de Louis IX et d’Alphonse de Poitiers) et MARGUERITE de PROVENCE (épouse du roi LOUIS IX dit Saint-Louis).
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. A gauche, dans une vitrine, un reliquaire.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. Les archères, hautes de 6 m 80, permettaient de voir la base du donjon pour en éviter la sape. Plus haut, elles sont plus larges afin de permettre le tir de lourdes arbalètes.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. BACCHUS.
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. MARGUERITE de PROVENCE (épouse du roi LOUIS IX dit Saint-Louis)
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. BLANCHE de CASTILLE (mère de Louis IX et d’Alphonse de Poitiers)
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN. BLANCHE de CASTILLE (mère de Louis IX et d’Alphonse de Poitiers)
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La CHAPELLE ST JULIEN
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Najac : Forteresse Royale.
La salle de garde.
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Najac : Forteresse Royale.
La salle de garde.
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Najac : Forteresse Royale.
La salle de garde. La cheminée.
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Najac : Forteresse Royale.
La salle de garde. La voûte.
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Najac : Forteresse Royale.
La salle de garde. Les huit croisées d'ogives sont ornées de culots de lampes dont trois représenten JEANNE DE TOULOUSE, SAINT LOUIS et ALPHONSE DE POITIERS.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. Vue de Najac.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. Vue de Najac.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. Le chemin d'accès, l'église.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. A gauche, le bâtiment du mécanisme de l'horloge et la cloche qui sonne les heures. A droite, le haut de la tour de l'escalier à vis.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. Le mécanisme de l'horloge.
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Najac : Forteresse Royale.
Le sommet du donjon. Le mécanisme de l'horloge est logé dans une ancienne bretèche.