Accueil
Contact
1
2
Précédent
Suivant
La Porte Saint François.
À la fin du XIIIe siècle, une communauté de moines Franciscains, appelés également Cordeliers est attestée dans la partie sud de Brignoles, hors les murs. C'est à cette période que la Porte dorée prend le nom de Porte Saint-François.
113
La Porte Saint François.
Porte à accolade.
114
La Porte Saint François.
Porte à accolade.
115
La Porte Saint François.
Un rempart et un large fossé protègent la partie sud de la ville depuis cette porte jusqu'à la place Saint-Pierre au nord-est de la ville; Une herse permettait sa fermeture en cas d'attaque ennemie. À l'intérieur, on aperçoit une meurtrière qui assurait la défense de chaque côté de la porte. Dès 1639, le fossé est comblé et des maisons sont construites sur ce dernier.
116
Fontaine de 1769.
117
Rue du barri vieux.
Le nom de Bari Vieux, en provençal "le vieux mur", indique l'emplacement du rempart de la ville.
118
Maison bâtie sue l'ancien rempart.
Le rempart mesurait six mètres de haut et environ deux mètres de large à sa base. Au fil des siècles, les maisons se sont accolées à celui-ci, à l'intérieur de l'enceinte, ce qui a permis de conserver son tracé.
119
Maison bâtie sue l'ancien rempart.
Le rempart mesurait six mètres de haut et environ deux mètres de large à sa base. Au fil des siècles, les maisons se sont accolées à celui-ci, à l'intérieur de l'enceinte, ce qui a permis de conserver son tracé.
120
La place Jean Raynaud.
Une quatrième porte, avec pont-levis et tour de garde, est percée dans le rempart en 1390 sur la demande d'un notable de la ville, Jean Raynaud.
121
La place Jean Raynaud.
Au XVIe siècle, les habitants du quartier, avec l'aide de la commune, achètent les jardins devant la porte pour aménager une place munie d'une fontaine (reconstruite en 1769).
122
La place Jean Raynaud.
123
La place Jean Raynaud.
124
La place Jean Raynaud.
125
La place Jean Raynaud.
Sur cette place, une maison du poids de la farine est construite en 1448. C'est « la maison du piquet » où le blé et la farine sont pesés avant d'être portés au moulin ou au four. Ainsi, tous les habitants qui ont fait moudre aux moulins doivent s'acquitter d'une taxe par quintal moulu. Le "Pesadour" est présent de quatre heures du matin à neuf heures du soir, et habite dans la maison même.
126
La place Jean Raynaud.
127
Place Robinet.
Fontaine des quatre saisons. Ancienne cour de la tannerie Robinet.
128
129
Le Val.
Le vieux lavoir de 1864 est soutenu par de superbes piliers en pierre de taille qui proviennent de l'ancienne halle élevée en 1554 sur la Place Gambette afin de protéger le marché journalier qui s'y tenait.
130
Le Val.
Ce lavoir a été utilisé jusque dans les années 1945. Les lavandières y lavaient leur linge à genoux et à l'aide de battoirs en bois. Il se nommait auparavant le « Lavoir du Paradou », du nom d'un moulin à foulon qui permettait de battre et de dégraisser les draps en toile de chanvre dès le XVIe siècle.
131
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
132
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
133
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
134
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
135
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
136
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
137
Musée du jouet ancien et de la Figurine historique.
138
Allégorie au théâtre, au chant et à la comédie
Une grande sculpture en bas-relief a été réalisée dans les armées 1990 par Marcel Le Couédic et représente une « Allégorie au théâtre, au chant et à la comédie ». Cette œuvre décore l'entrée du jardin Théâtre. Ici, la fête est mise à l'honneur avec un cochon sculpté au centre, faisant référence à la Foire à la saucisse et aux boudins, se déroulant chaque année en septembre depuis 1698 selon le privilège accordé sous Louis XIII
139
Le Val au fil de l'eau.
Le territoire du Val fut très tôt occupé par les Romains qui y trouvèrent de l'eau en abondance leur permettant de s'y installer durablement
140
Le Val au fil de l'eau.
Lavoir particulier. L'eau de source du nom des "Treje raïs" (les treize sources), et la rivière la « Ribeirotte » (la petite rivière), alimentent à elles seules le village. De nombreux équipements jalonnent les différents quartiers : 2 lavoirs, 18 fontaines et un aqueduc.
141
Le Val au fil de l'eau.
Lavoir particulier.
142
Le Val au fil de l'eau.
143
Ancien moulin.
Evacuation de l'eau avec des concrétions de tuf.
144
Ancien moulin.
145
Une fontaine.
Les fontaines rivalisent d'originalité et d'élégance, tant elles sont riches et variées. Chaque place ou rue en est équipée afin d'alimenter les habitants en eau. De différents types, à colonne ou à stèle, elles célèbrent toutes à leur façon l'arrivée de l'eau au village.
146
Les remparts médiévaux.
Dès le XIIIe siècle, l'enceinte médiévale, entourée de fossés secs, est constituée de solides remparts crénelés, ponctués de portes et tours carrées. Celles-ci avaient pour but de renforcer la défense ou les entrées de ville. L'accès au village s'effectuait par 4 grandes portes placées aux 4 points cardinaux. Du rempart médiéval subsistent la tour de la place du rempart ainsi que la tour de l'horloge, plus au nord.
147
Les remparts médiévaux.
L'une de ces tours présente ici une technique de défense des plus ingénieuses. Elle porte le nom de « tour ouverte à la gorge » car elle est ouverte vers l'intérieur du bourg, pour que, si l'ennemi s'en empare, il ne puisse s'y retrancher. De plus, ce dispositif permettait, en cas d'attaques, un approvisionnement rapide et incessant de projectiles.
148
Les remparts médiévaux.
Les crénelures.
149
150
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, commandée par Balde de Château renard et consacrée en 1068, est achevée au début du XIIe siècle. Cette église est dédiée à Sainte Marie, Saint Jean-Baptiste, Saint Jean l'Évangéliste, Saint Etienne et Saint Sidoine. On peut y observer un appareillage soigné fait de blocs calcaires assemblés à joints vifs.
151
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
L'église se compose d'une grande nef surmontée d'une voûte en arc brisé du XIIe siècle qui retombe sur des colonnes semi-engagées, ornées de chapiteaux décorés d'inspiration naturaliste.
152
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
153
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le chœur à chevet plat est éclairé par trois vitraux installés au XIXe siècle : au centre est représentée la Vierge Notre-Dame de Paracol, entourée de Saint Cyriaque (nommé diacre) et Saint Blaise (nommé évêque), tous deux saints patrons du Val.
154
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. La Visitation et saint Marc et saint Luc.
155
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. Elles représentent Notre-Dame-de-l'Assomption, couronnée et entourée de colombes et d'anges colorés.
156
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Les peintures du chœur ont été réalisées en 1995 par Marcel Le Couédic. L'Annonciation et saint Matthieu et saint Jean.
157
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Le peintre s'est représenté à droite du chérubin qui porte une couronne.
158
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Buste reliquaire de Saint Cyriaque en bois doré du XVIIIe siècle.
159
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Buste reliquaire de Saint Blaise en bois doré du XVIIIe siècle.
160
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
161
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Les chapelles latérales ont été rajoutées suite aux deux agrandissements successifs des XVIe et XVIIe siècles. Chapelle de la Vierge.
162
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
163
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chapelle de sainte Thérèse.
164
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Chapelle de saint Joseph.
165
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
166
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
167
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
168
Le Couvert de la Dîme .
Arcades plein-cintre.
169
Le Couvert de la Dîme .
Arcades plein-cintre.
170
La maison claustrale
La maison claustrale qui jouxte l'église et mentionnée dès le Xe siècle accueillait une petite communauté monastique de bénédictins. L'abbé et l'économe ne résidaient pas sur place, le prieuré étant administré localement par le prieur de Correns.
171
La maison claustrale
L'architecture de la façade septentrionale conserve une baie géminée de l'époque romane ainsi que deux grandes croisées à meneaux et croisillons de la Renaissance.
172
Chapelle des pénitents.
173
Chapelle des pénitents.
174
Chapelle des pénitents.
175
Chapelle des pénitents.
Tombeau de Guersande de Sabran, réplique par Marcel Le Couédic. Nommée abbesse de l'Abbaye de La Celle, elle fut grand-mère de quatre grandes reines : Reine de France, femme de St Louis, Reine d'Angleterre Reine d'Aragon et Reine de Naples. Les sculptures représentent la Dormition dce la Vierge.
176
Chapelle des pénitents.
Tombeau de Guersande de Sabran.
177
Chapelle des pénitents.
Tombeau de Guersande de Sabran. La Vierge et les archanges Gabriel, Michel et Raphaël.
178
Chapelle des pénitents.
Tombeau de Guersande de Sabran.
179
Chapelle des pénitents.
Tombeau de Guersande de Sabran.
180
Chapelle des pénitents.
181
Chapelle des pénitents.
182
Chapelle des pénitents.
St Jacques, st Philippe et st Christophe.
183
Chapelle des pénitents.
184
Chapelle des pénitents.
St Honnorat, st Luc et st ?
185
Chapelle des pénitents.
186
Chapelle des pénitents.
187
Chapelle des pénitents.
Tableau représentant la Trinité et la vierge Marie. Il constituait la partie centrale du retable du maître-autel de la paroisse. Il date probablement des années 1670 – 1700.
188
Chapelle des pénitents.
189
Chapelle des pénitents.
190
Chapelle des pénitents.
191
Chapelle des pénitents.
Christ en bois sculpté de 1833 pour la chapelle Saint-Blaise
192
Chapelle des pénitents.
193
Chapelle des pénitents.
Ex-voto.
194
Chapelle des pénitents.
Ex-voto.
195
Chapelle des pénitents.
Ex-voto.
196
La tour de l'horloge
Autrefois appelée « la Tour du Portail », cette tour est ornée d'une horloge et d'une doche par Etienne Ripert en 1535 sur commande du Conseil de Communauté. En 1694 elle s'écroule causant de nombreux dommages.
197
La tour de l'horloge
Lors de sa reconstruction, une niche de 1,50 mètre est aménagée dans la façade pour y placer une statue de la Vierge.
198
La tour de l'horloge
Vers la fin du Xe siècle, les Châteaurenard, devenus seigneurs des terres du Val, font construire dans la vallée, sous le castrum de Paracol et au pied de la rivière la Ribeirotte, une maison seigneuriale (le presbytère actuel) et une église. En 1066, les seigneurs de Châteaurenard vont faire don de leurs biens aux moines bénédictins de l'abbaye Saint-Pierre de Montmajour située à proximité de la ville d'Arles. Les moines et leur abbé deviennent alors les nouveaux seigneurs des lieux. Les deux clefs représentent l'abbaye de Montmajour.
199
La tour de l'horloge
Le gracieux campanile de fer forgé du XVIIIe siècle est installé par un maître serrurier de Rians, M. Bonnard. Pièce unique et élégante, il servait à protéger la doche tout en la laissant tinter même par violent mistral.
200
La tour de l'horloge
Le gracieux campanile de fer forgé du XVIIIe siècle est installé par un maître serrurier de Rians, M. Bonnard. Pièce unique et élégante, il servait à protéger la doche tout en la laissant tinter même par violent mistral.
201
202
203
204
205
La crèche animée.
206
La crèche animée.
207
La crèche animée.
208
La crèche animée.
209
La crèche animée.
La colline de Paracol, la tour de l'horloge et le lavoir.
210
La crèche animée.
211
La crèche animée.
212
La crèche animée.
La partie de cartes de Marcel Pagnol.
213
La crèche animée.
L'elixir du père Gaucher, d'Alphonse Daudet.
214
La crèche animée.
Le curé de Cucugnan d'Alphonse Daudet.
215
Coopérative de Correns.
216
Coopérative de Correns.
Bacchus.
217
Coopérative de Correns.
Louis XIII.
218
1
2
Précédent
Suivant
Accueil
Contact