Lodève 2014
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Atelier de la Savonnerie
Cet atelier, annexe de la manufacture nationale de la Savonnerie, a été créé en 1964 dans le département de l'Hérault pour permettre l'insertion de femmes françaises d'origine nord-africaine ayant quitté l'Algérie après l'Indépendance. Il est installé depuis 1989 dans les bâtiments neufs conçus par l'architecte Philippe C. Dubois. L'atelier produit comme celui de Paris des œuvres originales, des cartons anciens ou contemporains
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Atelier de la Savonnerie
L'histoire du tapis en France débute avec la fondation, par Henri IV, de la manufacture de tapis» « façon de Perse et Levant» établie dans les galeries du Louvre. Louis XIII développe la manufacture en installant les ateliers sur les bords de la Seine, au pied de la colline de Chaillot, dans les bâtiments d'une ancienne fabrique de savon - d'où le nom de Savonnerie - qui depuis désigne les tapis réalisés selon la technique du point noué. En 1663, Colbert réorganise la Savonnerie en la plaçant, comme les Gobelins, sous la direction artistique de Charles Le Brun. Dès lors, elle connaît une période extraordinaire d'activité pendant laquelle sa production, exclusivement réservée au roi, sert soit à des présents diplomatiques soit à l'ameublement des résidences royales. Les ateliers de Savonnerie, installés dans l'enclos des Gobelins depuis 1826, sont rattachés en 1937 à l'administration du Mobilier national. Les tapis et panneaux muraux d'après les œuvres de nombreux artistes contemporains témoignent dans les bâtiments officiels de l'Etat de l'importance du renouveau de cet art véritablement monumental.
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Atelier de la Savonnerie
Au mur, des modèles pour des tapis. En 1964, Lodève accueille des familles de harkis rapatriées d'Algérie. Un nombre important des hommes est employé par l'Office National des Forêts. Dès septembre 1964, un atelier de tissage est créé sous la tutelle du ministère des Armées afin d'employer une trentaine de femmes. Deux années durant, cet atelier produit des tapis sans caractère spécial. Il est alors question d'arrêter la production. En mai 1966, sur proposition d'André Malraux, cet atelier est sauvé et transformé, en passant sous la direction du Mobilier national. Dès l'année suivante, les femmes sont formées à la technique de tissage, perpétuée depuis près de quatre siècles par les lissiers de la manufacture nationale de la Savonnerie. Un conservatoire de techniques et de savoir-faire pour des tapis d'exception Le tapis de Savonnerie est exécuté sur un métier vertical appelé métier de haute lisse. La « tombée du métier » couronne la fin d'une pièce. La réalisation d'un seul ouvrage demande en moyenne 1 à 2 ans de travail mais peut atteindre jusqu'à 10 ans pour la reproduction de tapis de style Louis XIV ou Louis XVI. Qu'il s'agisse de tapis de style ou de création contemporaine, la production de l'atelier est réservée à de hauts lieux de l'État, à la décoration de cérémonies officielles et de rencontres internationales.
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Atelier de la Savonnerie
Le plafond.
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Atelier de la Savonnerie
Style Louis XIV dit "Les Flambeaux". Dans le coin inférieur droit, les deux lettres S et L, Savonnerie Lodève.
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Atelier de la Savonnerie
" Bon appétit monsieur Georges", d'aprtès Marco Del Ré.
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Atelier de la Savonnerie
"Quatre Plans", d'après David Tremlett, 2003.
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Atelier de la Savonnerie
"Sans titre", d'après Pierre Célice, 2001.
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Atelier de la Savonnerie
"Métronome" d'après Julio Villani, 2004.
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Atelier de la Savonnerie
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Atelier de la Savonnerie
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Atelier de la Savonnerie
Le tapis de Savonnerie est exécuté sur métier de haute lisse comme la tapisserie des Gobelins. Toutefois le métier est plus important en raison des dimensions et du poids des tapis. Deux montants en bois ou coterets supportent les ensouples sur lesquels est tendue verticalement la chaîne, en laine, (de 6 à 10 fils au cm), séparée en deux nappes de fils, pairs et impairs, par les bâtons de croisure. Les lisses enserrent les fils impairs (nappes arrière) et sont reliées à des perches placées horizontalement au-dessus de la tête du lissier.
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Atelier de la Savonnerie
Le lissier est assis devant le métier, le dos au jour. Il travaille sur l'endroit du tissage, le carton placé devant lui, face à la lumière. Au moyen d'un calque, il reporte l'essentiel du carton sur la nappe avant des fils de chaîne avec un crayon encré.
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Atelier de la Savonnerie
Le velours du tapis est constitué par une juxtaposition de boucles et de points noués exécutés sur deux fils de chaîne avant et arrière, au moyen de la broche chargée des fils de laine colorés nécessaires au tissage.
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Atelier de la Savonnerie
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Atelier de la Savonnerie
Lorsqu'une rangée est achevée, le lissier passe entre les deux nappes de chaîne un fil de lin double, appelé duite, qui repose tendu sur les points noués, puis un fil de lin simple, la trame, placé sur la duite au moyen d'une broche. De la main gauche, le lissier manœuvre les lisses, croise les nappes ainsi la trame contourne et lie chaque fil de chaîne. Avec un peigne de métal, le lissier descend la trame, fil à fil, et tasse également les points noués.
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Atelier de la Savonnerie
Duite et trame constituent l'armature horizontale du tapis, l'armature verticale étant donnée par les fils de chaîne.
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Atelier de la Savonnerie
Le lissier passe et noue la laine au moyen d'une broche. Cette technique particulière permet de réaliser un velours extrêmement serré.
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Atelier de la Savonnerie
Les boucles des points noués sont coupées à l'aide de ciseaux à branches recourbées. Avec une aiguille, le lissier démêle les brins de laine pour préciser le dessin, puis il procède à une seconde coupe, la tonte, à l'aide des ciseaux et d'une planche de bois ou gabarit, qui correspond à l'épaisseur définitive du tapis. Enfin, avec la pointe des ciseaux, le lissier redresse et replace chaque brin de laine. Il aboutit ainsi à la perfection du dessin des contours, rendue possible grâce au velours extrêmement serré de la technique de la Savonnerie.
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Atelier de la Savonnerie
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Atelier de la Savonnerie
Le lissier passe et noue la laine au moyen d'une broche. Cette technique particulière permet de réaliser un velours extrêmement serré.
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Atelier de la Savonnerie
Le tapis de Savonnerie est exécuté sur un métier vertical appelé métier de haute lisse. La « tombée du métier » couronne la fin d'une pièce. La réalisation d'un seul ouvrage demande en moyenne 1 à 2 ans de travail mais peut atteindre jusqu'à 10 ans pour la reproduction de tapis de style Louis XIV ou Louis XVI. Qu'il s'agisse de tapis de style ou de création contemporaine, la production de l'atelier est réservée à de hauts lieux de l'État, à la décoration de cérémonies officielles et de rencontres internationales.
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La Lergue
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La Lergue
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Rue de Lergue
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La Grand-Rue
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Hôtel de Fozières
Hôtel élevé au 18e siècle pour la famille de la treille de Fozières.
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Hôtel de Fozières
Hôtel élevé au 18e siècle pour la famille de la treille de Fozières.
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La Grand-Rue
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La cathédrale Saint-Fulcran
Deux édifices religieux furent érigés préalablement sur le site de l'actuelle cathédrale. Le premier vers les Ve et VIe siècles (crypte en sous-sol), le deuxième, bâti par l'évêque Fulcran fut consacré en 975 à Saint Génies. L'actuelle cathédrale Saint-Fulcran, de type gothique languedocien, a été édifiée aux XIIe et XIVe siècles. D'abord dédiée à Saint Génies, elle est associée au nom de Saint-Fulcran depuis le XVe siècle.
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La cathédrale Saint-Fulcran
La particularité de l'édifice est son impressionnante ceinture de contreforts, véritables murs-boutants, qui entourent toute l'église. Malgré leur sobriété, on note une certaine finesse dans le jeu savant des retraits, notamment au niveau de la puissante abside.
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La cathédrale Saint-Fulcran
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La cathédrale Saint-Fulcran
La façade ouest est fortifiée, car elle était incluse dans le rempart de la ville : deux tours portent des échauguettes encorbellées, reliées par une galerie à mâchicoulis, qui communique avec le chemin de ronde de la nef.
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Le clocher de la cathédrale
Le clocher est une tour de base presque carrée qui date du XIIIe siècle. Il est ouvert aux 2ème et 3ème étages par des baies jumelées surmontées d'oculus ou de statues (pour le 2ème étage). Relié à la façade occidentale par un pont encorbellé, il participait à la fortification de la cathédrale. Son premier étage servait de prison épiscopale.
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La cathédrale Saint-Fulcran
L'entrée principale (sur le flanc nord de l'édifice) est encastrée sous un porche, dont les retombées se font sur des culots sculptés. Le superbe portail à trumeau, voussures et colonnettes a été restauré au XVIIe s.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Le tympan, quant à lui, date de 1898. De bien piètre qualité artistique, il représente le Christ, foulant le Dragon, entouré des saints Fulcran, Amans, Flour et Georges.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Le chœur, partie la plus remarquable de l'édifice, comprend une splendide abside à neuf pans, éclairée par des baies de 12 mètres (39,4 pieds), et un vaisseau unique de deux travées irrégulières. Il est flanqué par deux chapelles avec lesquelles il ne communique pas. L'absence de triforium est caractéristique du gothique languedocien. Le grand lustre en cristal fut offert par la reine Victoria à Napoléon III.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Boiseries et balustrades du XVIIIème siècle.
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La cathédrale Saint-Fulcran
La grande chaire néogothique, trois fois primée à l'Exposition Universelle de Paris est installée en 1867. Base avec quatre statues en cariatides : Caïn, Judas, Hérode, Holopherne.
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La cathédrale Saint-Fulcran
L'intérieur de l'église, débarrassé de ses enduits, révèle la superbe polychromie des matériaux employés pour la construction de la voûte du vaisseau principal (ogives de grès et voûtains de tuf).
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La cathédrale Saint-Fulcran
Maître-autel en marbre polychrome.
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La cathédrale Saint-Fulcran
L'archiprêtre Beaupillier, au XIXe siècle, s'attache à embellir l'intérieur de la cathédrale: il est à l'origine de la réouverture des baies du chœur (occultées depuis le XVIe siècle) et de la mise en place des superbes vitraux de Mauvemay.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Les vitraux, de 12 m de haut signés Mauvernay et datés de 1854, représentent : au bas, une série de saints ; au centre, des scènes de l'Ancien Testament ; en haut, les scènes du Nouveau Testament qui leur correspondent.
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La cathédrale Saint-Fulcran
A gauche,tout en haut, st Matthieu et st Jean. A doite : au milieu, Esther devant Assuérus ? En haut, la Vierge et un ecclésiastique.
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La cathédrale Saint-Fulcran
A gauche : au milieu, Moïse sauvé des eaux. En haut, l'adoration des berghers. A droite : au milieu, Melchisédech, roi de Salem, offre du pain et du vin à Abraham. En haut, l'Eucharistie lors de la Cène.
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La cathédrale Saint-Fulcran
A gauche : au milieu, le sacrifice d'Abraham. En haut, la Crucifixion. A droite : au milieu, Jonas vomi par la baleine. En haut, la Résurection.
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La cathédrale Saint-Fulcran
A gauche : au milieu, Jonas vomi par la baleine. En haut, la Résurection. A droite : au milieu, Moïse reçoit les tables de la Loi. En haut, les apôtres reçoivent l'Esprit Saint.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Au milieu : au milieu, décapitation d'Holopherne par Judith. En haut, couronnement de la Vierge. A droite : tout en haut, st Marc et st Luc.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Buffet d'orgue polychrome de Jean-François L'Epine et tribune en pierre (1752). La partie instrumentale de l'orgue a été reconstruit par Puget en 1881/1882. Le buffet, de style Louis XV, est un chef d'œuvre d'équilibre et d'ornementation. Il se compose au positif de trois tourelles en mitre; sur celle du centre deux anges jouent de la trompette et de la flûte traversière. Le grand corps comprend six tourelles séparées par cinq plates-faces. Deux remarquables atlantes supportent les tourelles latérales, dominées par des statues de David et de Saint Cécile. Les tourelles médianes, qui portent de grands pots de fleurs, reposent sur des culots ornés de deux têtes d'anges. La partie centrale, remaniée au XIXème s. est décorée de deux statues d'évêques et d'une croix.
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La cathédrale Saint-Fulcran
De chaque coté de la rosace de Mauvernay, les statues de David et de Saint Cécile.
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La cathédrale Saint-Fulcran
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La cathédrale Saint-Fulcran
Vitrail moderne.
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Chapelle de la Vierge.
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Huit grandes toiles sont des XVII et XVIIIème siècles par Sébastien Bourdon, J. Coustou et Étienne Loys.
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St Flour et st Amans.
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St Georges et st Fulcran.
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Chapelle du Sacré Coeur. Trois belles statues de marbre : la Sainte Vierge, St Fulcran, le Sacré-Cœur.
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Chapelle Saint Fulcran.
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La cathédrale Saint-Fulcran
La chapelle Saint Fulcran, qui renferme des reliques importantes, fait saillie sur la façade nord, depuis son extension par l'évêque Jean de Corguilleray (1480). La date et le lieu de naissance de Saint Fulcran sont incertains. Il serait né à Mérifons, dans le diocèse de Lodève et issu d’une famille de noble. Il fut évêque de Lodève du 4 février 949 au 13 février 1006, soit 57 ans.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Chapelle Saint Fulcran. Saint Fulcran visitant les malades.
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La cathédrale Saint-Fulcran
A une date inconnue, peut être un siècle après sa mort, selon la coutume, le corps de St Fulcran, fut exhumé et trouvé intact. Cette incorruptibilité incontestable, attestée par des professeurs de la faculté de médecine de MONTPELLIER dura jusqu'à la prise de LODEVE par les Huguenots le 4 juillet 1573. Le corps du Saint fut arraché de sa chasse, traîné en ville et dépecé à l'étal d'un boucher dans la rue du Mazel. Quelques restes purent être recueillis par des fervents catholiques. Ils sont conservés dans un reliquaire situé dans la petite chapelle annexe de celle actuelle de St Fulcran.
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La cathédrale Saint-Fulcran
Chapelle Saint Fulcran.
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Le cloître
Chapelle de la Croix, donnant accès au cloitre.
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Le cloître
Le cloître fut édifié aux XVe, XVIe et XVIIe siècles. Bâti au sud du chœur, il ne compte plus que trois galeries.
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Le cloître
Seule l'aile ouest a conservé ses voûtes d'origine.
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L'ancien Palais Episcopal
A la suite de la prise de la ville par les protestants en 1573, la cité épiscopale est en grande partie dévastée : la cathédrale est partiellement saccagée, l'abbaye Saint-Sauveur et le palais épiscopal sont détruits. Après la restauration de la cathédrale par l'évêque Plantavit de la Pause en 1627, celui-ci fait construire une résidence à la sortie de la ville : Prémerlet. Mais à partir de 1667, Mgr de Harlay entreprend, d'après les plans de l'architecture Nicolas Desbièvres, connu à Pézenas à la fin du XVIIe siècle, la construction d'un nouveau palais à proximité de l'ancienne demeure des évêques, sur l'emplacement du rempart ouest de la cité épiscopale. Il est d'ailleurs possible que les matériaux utilisés pour la construction soient issus de récupérations des ruines des remparts, canourgues et de l'ancien palais. Les plans dressés en 1736 par Darles de Chambertin permettent d'appréhender l'organisation de l'édifice sous l'Ancien Régime. Le corps principal du bâtiment est achevé sous l'épiscopat de Georges de Souillac (évêque de Lodève de 1732 à 1750). En 1779, Henri de Fumel (évêque de 1750 à 1790) y adjoint une aile en retour afin d'y installer la bibliothèque diocésaine, ce qui donne à l'édifice son plan actuel en « L ». Après 1791, plus aucun évêque ne réside à Lodève. Depuis 1809, l'édifice est le siège de l'Hôtel de Ville.
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L'ancien Palais Episcopal
Le tympan du portail monumental présente un cartouche surmonté d'une mitre (selon certaines interprétations) entourée d'une couronne rappelant le titre de comte de Montbrun que possédaient les évêques de Lodève. Le blason de l'évêque commanditaire devait figurer au centre. Il est aujourd'hui remplacé par l'inscription « Hôtel-de-Ville ».
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L'ancien Palais Episcopal
Le corps principal, haut de un étage, est encadré par deux pavillons de trois niveaux. Depuis la cour d'honneur caladée, on remarque l'harmonie de l'ensemble, notamment des fenêtres et des balcons.
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L'ancien Palais Episcopal
La remarquable toiture mansardée couverte de tuiles polychromes vernissées (à l'origine fabriquées à Saint-Jean-de-Fos).
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L'ancien Palais Episcopal
Les gargouilles « à la gothique » sont un réemploi. Ces gargouilles et la corniche moulurée sont attribuables à la première campagne de construction.
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L'ancien Palais Episcopal
Vase de l'entreprise Boisset à Anduze.
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Vase de l'entreprise Boisset à Anduze.
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L'ancien Palais Episcopal
La salle du peuple est un ancien vestibule à l'italienne, par lequel on accédait au palais. La sévérité des gypseries et de la corniche inscrit l'ensemble dans le style Louis XV.
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La salle du peuple.
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L'ancien Palais Episcopal
La salle des réceptions, ancienne antichambre des appartements de l'évêque, conserve sa cheminée de style Louis XV.
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Les décors visibles ont été conçus par l'architecte Chauvet en 1838 pour la salle du conseil de l'époque : plâtres d'esprit onirique,
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L'ancien Palais Episcopal
blason de Lodève sur la cheminée entourée de guirlandes végétales.
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L'ancien Palais Episcopal
blason de Lodève sur la cheminée entourée de guirlandes végétales.
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L'ancien Palais Episcopal
Parquet marqueté à la Versaille, dont le motif central évoque une rose des vents.
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Le motif central évoque une rose des vents.
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L'ancien Palais Episcopal
La salle des mariages présente encore ses ornementations typiques du style Louis XV ainsi que son parquet à compartiment marqueté. Cet espace accueillait les appartements de l'évêque.
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Trophées représentant les quatre saisons au-dessus des portes. L'hiver.
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Trophées représentant les quatre saisons au-dessus des portes. Le printemps.
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Trophées représentant les quatre saisons au-dessus des portes. L'automne.
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L'ancien Palais Episcopal
Trophées représentant les quatre saisons au-dessus des portes. L'été.
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L'ancien Palais Episcopal
les arts au-dessus des fenêtres,
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les arts au-dessus des fenêtres,
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L'ancien Palais Episcopal
Salle des mariages.
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L'ancien Palais Episcopal
Salle des mariages. Blason de la ville de Lodève.
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Salle des mariages.
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Place de la bouqueterie
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Le pont de Montifort
De facture romane, le pont de Montifort, sur la Soulondres, datant du XIVe siècle était emprunté par les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle allant vers Toulouse.
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Le pont de Montifort
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Le pont de Montifort
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Le pont de Montifort
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Le pont de Montifort
Ruine-de-Rome ou linaire cymbalaire.
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La Soulondres
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