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Malaucène.
Les amorces d'un porche jamais construit (les voussoirs) sont ornées de personnages fantastiques.
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Malaucène.
Les amorces d'un porche jamais construit (les voussoirs) sont ornées de personnages fantastiques.
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La porte principale, de 1460, est constituée de planches épaisses bardées de plaques de fer.
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Dans le Chœur, notez les stalles et boiseries (1729) ainsi que sept grandes toiles dues au peintre local Joseph Marie Monier (1755), classées en 1908, de gauche à droite : St Roch, St Luc, St Matthieu, St Michel, St Marc, St Jean, St Sébastien. Le maitre autel est de 1826 et les sept vitraux ont été réalisés en 1897 par le maitre verrier Lucien Bégule de Lyon.
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Saint Marc.
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Saint Matthieu.
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St Roch, St Luc, St Matthieu.
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Ste Jeanne d’Arc.
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Le Baptème de Clovis.
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St Gens.
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St Michel.
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ND du Groseau.
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Les Saintes Marie, avec saint Lazare et saint Maximin, arrivant aux Saintes.
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St Bernard.
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Saint Blaise.
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Saint Michel.
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Les chapelles ont été dotées d’autels en marbre sous la Restauration.
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Le Sacré Coeur.
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Dans la Chapelle Saint Michel, le retable fut celui du maître-autel avant 1703. Le tableau a été livré en 1598 par le peintre avignonais Zacharie, représentant Saint Michel entre Saint André et Saint Jean Baptiste, il est surmonté d’un fronton où se voit Dieu le Père. Les Chapelles sud, moins profondes que celles du nord, sont à croisées d’ogive.
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Malaucène.
Le tableau a été livré en 1598 par le peintre avignonais Zacharie, représentant Saint Michel entre Saint André et Saint Jean Baptiste.
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Voûte d'une chapelle Nord. Les dallages et les peintures murales ont été réalisés entre 1830 et 1850.
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Saint Anne et Marie. Le tableau est de l'atelier de Parrocel.
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Saint Roch. Sur le tableau, saint Sébastien et saint Roche, ainsi qu'une sainte martyre.
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Saint Joseph et la Sainte famille.
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Chapelle Sainte Philomène. La Vierge et l'Enfant intercédant pour les âmes du purgatoire.
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Repas chez Emmaüs.
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Chaire très ouvragée réalisée vers 1880/1885 par les frères Charrol, sur les plans de l'architecte l'abbé Pougnet.
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L'orgue de Malaucène fut construit en 1637 par le père Pozalgues, Augustin de Pernes, dans le Comtat Venaissin. De cet instrument, autrefois installé sur une tribune latérale, ne subsiste que le buffet. En 1712, Charles Boisselin déplace le buffet sur la tribune actuelle et reconstruit un nouvel instrument, réparé en 1723 par Jean Salomon, puis en 1753 par Jean-Esprit Isnard. En 1783, l'instrument subit une importante réparation et le buffet est doré à la feuille par Lenos de Carpentras. En 1841, le facteur d'orgue Payan d'Avignon restaure l'instrument. En 1943, l'instrument, muet depuis 50 ans, est relevé par le facteur d'orgue Chenet de Marseille qui remplace le clavier de Payan. En 1965, Alain Sals restaure la tuyauterie, remplace le clavier qui retrouve son étendue originelle. En 1985, le sommier, la soufflerie et la mécanique sont restaurés toujours par Alain Sals.
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En 1579, contre la menace des Huguenots, le mur de la face sud est surélevé entre les contreforts pour supporter un chemin de ronde avec merlons et crénaux. Six renforcements, que l’on pourrait prendre pour des fenêtres obturées, sont en réalité des contreforts enchâssés dans les murs.
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En dessous des quatre fenêtres les plus anciennes, on voit les blocages réalisés au début du XVIIIéme siècle, quand l’architecte les a harmonisées avec celles du chevet. Autrefois, ces ouvertures, à arc brisé, étaient longues et étroites. A la base de la muraille, le banc de pierre accolé à la façade sud, a été construit entre 1783 et 1784. Il est réputé comme être le plus long banc il mesure en effet 41,77 m.
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Portail Soubeyran. C'est le portail supérieur (portau sobeiran) de la ville. C'en était aussi la porte principale, celle qui, au temps du Comtat Venaissin, s'ouvrait vers Carpentras : là se faisait la réception des personnalités qui venaient au village. Nous le voyons tel que l'a laissé sa réfection de 1725.
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Portail Soubeyran.
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La fontaine. Si le lavoir date de 1839, la fontaine elle-même (qui en a remplacé une autre plus ancienne) a été construite en 1861
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Derrière l'église, au départ de la rue Saint-Alexis, à gauche, on peut distinguer le chevet de l'ancienne chapelle des Pénitents blancs, devenue aujourd'hui une remise. Sa fonction était liée à la présence d'un cimetière qui jouxtait le mur nord de l'église.
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Chapelle de la Vierge Immaculée.
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Chapelle de la Vierge Immaculée.
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La minuscule placette garde le souvenir de la fontaine du Téron (ou "théron"), un teron n'étant d'ailleurs, en provençal, rien d'autre qu'une fontaine ! Il s'agit de la première du village, appelée dans les documents anciens fons Grauselli (fontaine du Groseau) ou fons villae (fontaine de la ville), puis "Fontaine plus haute'' quand fut construite celle de la place Picardie (XVe s.). Restaurée au XVIIIe, elle fut supprimée en 1955
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La porte du téron. Le "soustet" situé en face de la fontaine ouvre sur la rue qui conduit à la porte du Téron et, au-delà, à la source et au monastère du Groseau. Cette porte, pour des raisons de sécurité, resta le plus souvent fermée ; elle ne fut ouverte définitivement qu'en 1789. Les soustets. Leur fonction d'abri (contre les grosses chaleurs ou la pluie) est évidente : c'est d'ailleurs ce qu'exprime le mot provençal sostet (se metre a la sosta : se mettre à l'abri). Mais leur première raison d'être est liée aux nécessités d'urbanisme de ce qu'on appelle l'habitat groupé : en effet, dans ce type de structure, où les maisons sont serrées à l'intérieur de remparts tout autour d'une éminence, le soustet permet de gagner de la place et de consolider l'ensemble.
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Place des Martinels. Située au point où la grand-rue est au plus près de la porte principale de la ville, cette place fut jusqu'à une date récente le cœur du quartier commerçant ; elle accueillit jadis le marché aux volailles et aux légumes. Son nom est celui d'une famille qui joua autrefois un rôle important dans la vie politique et religieuse de la cité.
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Le Groseau, une des deux principales sources du Mont Ventoux avec la Sorgue vient du dieu celte Grasélos et ses nymphes les Grisélides, récupéré successivement par les Romains puis les chrétiens. (Gréoux-les-Bains en tirerait également son nom).
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
La présence d’une abbaye en ce lieu n’est pas fortuite. Dès les temps préhistoriques, une source aussi abondante que celle du Groseau a dû être à l’origine d’un culte rendu aux divinités de la terre et de l’eau. Une stèle votive gallo-grecque témoigne de ces croyances païennes. Autour de la chapelle existait jadis une abbaye, fondée une première fois au VIIe siècle, une deuxième pour XIe siècle. Le premier pape d’Avignon, Clément V (1305 – 1314), y séjourna souvent et y fit même construire un palais. Dans cet ensemble, abandonné par les moines au XVe siècle, voué ensuite à la ruine, puis arasé peu de temps avant la révolution, il ne reste que la chapelle, ou plutôt les deux chapelles accolées : la "chapelle Notre-Dame", de plan carré, surmontée d'un clocheton roman à quatre baies,
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
À droite, la plus petite, dite de Saint Jean-Baptiste, est du XIe siècle ; mais elle fut remaniée au XIIe siècle (en témoigne l’absidiole, que l’on doit sans doute à l’atelier qui construisit la chapelle Saint-Quenin à Vaison-la-Romaine). Les parties basses sont les plus anciennes de l'ensemble.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
La plus grande, la chapelle Notre-Dame, de plan carré est surmontée d’un clocheton roman curieusement décentré ; elle est un bel exemple de l’architecture romane du XIIe siècle. La façade Ouest, autrefois enlaidie par un bâtiment rural, la maison de l'ermite, est dotée en 1910 d'une baie à arcs géminés et d'une chaire en pierre.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Porte qui donnait accès au palais de Clément V.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Vestiges de la fresque soulignant la corniche primitive remployés.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
L’abside, bien représentative de l’art roman, est voûtée en cul-de-four.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Les bandes rouges et blanches rappellent les couleurs de Clément V.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
La chapelle Notre-Dame du Groseau possède une belle coupole à huit pans dont les angles sont cachés par huit plates-bandes formant des petits pilastres cannelés qui se rejoignent autour de l’oculus central. Elle pourrait dater du début du XIIIe siècle.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Le passage du plan carré au plan octogonal se fait grâce à des trompes soigneusement appareillées et décorées des symboles des quatre évangélistes, sculptés en un style curieusement naïf.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Dans la coupole, on remarquera la fine corniche qui garnit la base, au-dessus des trompes portant les attributs des quatre évangélistes.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Le tétramorphe : le lion de Saint-Marc,
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
l’homme de Saint Mathieu,
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
l’aigle de Saint-Jean,
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
le taureau de Saint-Luc.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Porte qui donnait sur le palais de Clément V.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Une stèle votive gallo-grecque témoigne de ces croyances païennes : on peut y lire une dédicace, en caractères grecs, à Graselos, qui est la source divinisée.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Les pieds droits de l’arcade qui relie les deux chapelles porte des statues représentant peut-être Saint-Victor (ici) et Saint-Benoît (jusqu’au XIe siècle, en effet, le monastère appartint à l’ordre bénédictins de Saint-Victor de Marseille).
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Saint-Benoît.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Quant à la chapelle Saint Jean-Baptiste, elle présente une absidiole remarquable par le nombre et la qualité de ses motifs décoratifs. La construction de la coupole octogonale a entraîné le remaniement de la partie supérieure de la chapelle Saint Jean Baptiste, qui est à arc brisé.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Les plates-bandes rappellent celles de la coupole.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste. Un griffon.
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Chapelle Notre-Dame du Groseau.
Chapelle Saint Jean-Baptiste.
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La Roque Alric.
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La Roque Alric.
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La Roque Alric.
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La Roque Alric.
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La Roque Alric.
Le village et ses maisons à flanc de colline donnant un effet de crèche provençale.
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La Roque Alric.
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