Notre-Dame de la Garde.
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Vue de Vauban, avec le bastion arrière du fort de François Ier.
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On peut aussi y arriver par la montée des oratoires.
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Arrivée du chemin du Bois sacré.
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Vue du chemin du Bois sacré. En 1851, les Administrateurs de Notre-Dame de la Garde demandèrent au Ministre de la Guerre l’autorisation de démolir la petite chapelle et de la remplacer par un sanctuaire plus grand surmonté d’un haut clocher. Il donna son accord le 5 février 1852. Le sanctuaire actuel est l'oeuvre d'Henri Espérandieu, de 1853 à 1874, en collaboration avec Henri Révoil pour le décor. La première pierre fut posée le 11 septembre 1853 par l’évêque de Marseille, Mgr Eugène de Mazenod. La basilique est de style romano-byzantin.
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L'édification d'une chapelle sur la colline de Notre-Dame de la garde remonte au XIIIe siècle, sous l'initiative d'un prêtre de Marseille, dénommé Pierre. Cette première chapelle est remplacée au début du XVe siècle par un bâtiment plus important qui comprend une chapelle richement dotée dédiée à saint Gabriel.
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Blason de François Ier. En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle. Ecusson de François Ier, c'est-à-dire les armes de France aux trois fleurs de lys avec au-dessous la salamandre. Près de celui-ci se trouve un rond de pierre rongé par le temps où l'on aperçoit quelques vestiges d'une sculpture qui représentait l'agneau de saint Jean avec la banderole.
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Ce fort a la forme d'un triangle .De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis que, dans la journée, les soldats maintiendraient en position basse. En avril 1793, le duc d'Orléans Philippe Égalité, ses deux fils le duc de Montpensier et le duc de Beaujolais, sa sœur Louise duchesse de Bourbon et le prince de Conti sont emprisonnés quelques semaines à Notre-Dame de la Garde avant leur transfert au fort Saint-Jean. Il faudra attendre le 4 avril 1807 pour que la chapelle soit rendue au culte. Ce fort a la forme d'un triangle .De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis que, dans la journée, les soldats maintiendraient en position basse. En avril 1793, le duc d'Orléans Philippe Égalité, ses deux fils le duc de Montpensier et le duc de Beaujolais, sa sœur Louise duchesse de Bourbon et le prince de Conti sont emprisonnés quelques semaines à Notre-Dame de la Garde avant leur transfert au fort Saint-Jean. Il faudra attendre le 4 avril 1807 pour que la chapelle soit rendue au culte.
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En 1851, les Administrateurs de Notre-Dame de la Garde demandèrent au Ministre de la Guerre l’autorisation de démolir la petite chapelle et de la remplacer par un sanctuaire plus grand surmonté d’un haut clocher. Il donna son accord le 5 février 1852. Le sanctuaire actuel est l'oeuvre d'Henri Espérandieu, de 1853 à 1874, en collaboration avec Henri Révoil pour le décor. La première pierre fut posée le 11 septembre 1853 par l’évêque de Marseille, Mgr Eugène de Mazenod. En 1516, François Ier constata que Marseille était très mal défendue, et en 1524 décida de faire construire deux forts à Marseille : l’un dans l’île d’If et l’autre sur le haut de la colline de la Garde où se trouvait la chapelle. Ce fort a la forme d'un triangle.. De ce fort d'importance assez modeste, subsiste l'éperon royal bien visible à l'ouest de la basilique. François Ier décida qu’en temps de paix les fidèles pourraient accéder à la chapelle en empruntant le pont-levis que, dans la journée, les soldats maintiendraient en position basse. En avril 1793, le duc d'Orléans Philippe Égalité, ses deux fils le duc de Montpensier et le duc de Beaujolais, sa sœur Louise duchesse de Bourbon et le prince de Conti sont emprisonnés quelques semaines à Notre-Dame de la Garde avant leur transfert au fort Saint-Jean. Il faudra attendre le 4 avril 1807 pour que la chapelle soit rendue au culte.
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Le 23 juin 1853 Espérandieu est nommé architecte et met au point le projet. Bien qu'étant protestant, il ne semble pas que sa religion fut une cause majeure des difficultés rencontrées avec la commission du sanctuaire chargée de la mise en œuvre des travaux. Celle-ci décida, sans consultation de l'architecte, de ne pas mettre les travaux en adjudication pour faire jouer la concurrence, mais de les confier le 9 août 1853 directement à Pierre Bérenger, entrepreneur et architecte de l'église Saint-Michel, qui avait lui-même proposé un des projets néogothiques et qui était un proche de Mgr Mazenod. La commission décide également de lui imposer le choix d'artistes tels que le sculpteur Joseph Marius Ramus ou le peintre Karl Müller de Düsseldorf sans se soucier de savoir si leurs œuvres s'adapteront à l'architecture retenue. Le choix de Karl Müller ne fut pas confirmé par la suite, ce qui permit à l'architecte de s'orienter vers une décoration de mosaïques.
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Le grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
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L'éperon du grand bastion, faisant partie du fort de François Ier.
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Sur l’esplanade du bas, on peut voir une sculpture représentant sainte Véronique essuyant le visage de Jésus avec un linge sur lequel se sont imprimés les traits de ce visage.
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Œuvre de l'architecte Henry Espérandieu, cet édifice est un chef-d’œuvre de polychromie d'influence byzantine : calcaire de Calissane dont la blancheur tranche avec le vert du grès de Gonfolina, pierre de Florence.
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Le pont-levis, installé par l’Armée en 1879 devant l’entrée de la crypte pour remplacer l’ancien pont-levis que l’on avait nécessairement démoli lors de la construction du nouveau sanctuaire. Ce pont est levé tous les soirs.
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Le pont-levis est relevé tous les soirs.
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Le pont-levis est relevé tous les soirs.
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Le clocher avec la Vierge. La reconstruction du clocher en 1843 lui permet de recevoir non plus une cloche mais un bourdon commandé à un fondeur lyonnais Gédéon Morel et acheté grâce à une souscription. Le bourdon fondu le 11 février 1845, arrive à Marseille le 19 septembre 1845. Le bourdon est mis en place le mercredi 15 octobre. La consécration du sanctuaire est donnée le samedi 4 juin 1864 par le cardinal Villecourt.
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Entrée de la crypte. D'une hauteur de 41 mètres, le puissant clocher carré situé au-dessus du porche d'entrée comporte deux étages identiques formés de cinq arcatures, celle du milieu servant de fenêtre à un petit balcon. Cet ensemble est surmonté d'un beffroi dont chaque face est constituée de trois grandes baies aux colonnes de granit rouge derrière lesquelles sont placés les abat-sons.
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Le clocher avec la Vierge. La reconstruction du clocher en 1843 lui permet de recevoir non plus une cloche mais un bourdon commandé à un fondeur lyonnais Gédéon Morel et acheté grâce à une souscription. Le bourdon fondu le 11 février 1845, arrive à Marseille le 19 septembre 1845. Le bourdon est mis en place le mercredi 15 octobre. La consécration du sanctuaire est donnée le samedi 4 juin 1864 par le cardinal Villecourt.
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Le beffroi abrite le bourdon et se termine par une terrasse carrée bordée d'une balustrade de pierre ajourée.
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En 1866, la réalisation de la statue qui allait couronner l’édifice donna lieu à un concours. Lequesne fut retenu à l'unanimité par un jury. Plusieurs éléments furent appréciés : l'intervention personnelle de la Vierge jointe à celle de l'Enfant Jésus, le sourire de l'Enfant, les bras ouverts vers la ville, le drapé mouvementé soulignant la démarche de la Vierge. La sculpture des quatre anges du clocher fut également confiée à Lequesne.
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Œuvre d’Eugène Lequesne, la statue colossale de la vierge (9,70 m et plus de 9 t) dorée à la feuille, tenant dans ses bras l'Enfant-Jésus n’est pas en métal plein. Elle fut réalisée par l’entreprise Christofle selon un procédé nouveau à l’époque : la galvanoplastie.
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Plaqué contre la façade sud de ce clocher, un escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue. Cet accès est interdit au public.
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Un des quatre anges du clocher.
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Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte. A gauche, l'entrée de la basilique.
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Notre-dame de la Garde.
Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre. A droite, les baies aveugles de l'abside.
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La lanterne du choeur surmontée du dôme.
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Ce dôme élevé sur un plan octogonal est composé de trente deux lamelles à l'intersection desquelles s'érige une croix. Chaque face du plan octogonal est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, dont le plein cintre est surmonté d'un fronton triangulaire.
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La lanterne du choeur est de plan octogonal dont chaque face est percée d'une fenêtre, chacune encadrée de deux colonnes de granit rouge, supportant une arcature en le plein cintre surmontée d'un fronton triangulaire. Entre chaque face, un pilastre est surmonté d'une statue représentant un lion.
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Un lion.
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La travée du transept.
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Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Ici, le côté ouest.
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Arrière de la basilique. La sacristie.
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Arrière de la basilique. La sacristie.
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Plaqué contre la façade sud de ce clocher, un escalier octogonal permet d'accéder à la terrasse et de là à l'intérieur du campanile et de la statue.
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Le transept éclairé par deux croisées géminées surmontées d'une rosace est orienté est-ouest. Sur son axe s'élève un dôme de 9 mètres de diamètre.
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Bastion arrière.
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La sacristie.
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Notre-dame de la Garde.
Les bas-côtés de la nef sont divisés en trois parties égales comportant en leur centre une fenêtre éclairant chacune une chapelle latérale. Les pilastres et les arcs sont constitués de pierres et de claveaux alternés verts et blancs. Des soupiraux placés au ras de la chaussée donnent un peu de jour aux chapelles souterraines de la crypte.
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Traces des impacts d'éclats d'obus lors de la libération de Marseille, le 25 aout 1944.
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Le grand bastion. Les îles du Frioul.
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Le grand bastion. Les îles du Frioul, au premier plan, le château d'If.
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Vue de Notre-Dame de la Garde.
Cénotaphe pour les disparus en mer. La croix des gardians symbolise les trois vertus théologales : La Croix pour la Foi. L'Ancre pour l'Espérance. Le Cœur pour la Charité. Les 3 extrémités de la Croix sont terminées par des tridents représentant les gardians et l'âme camarguaise.
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Vue de Notre-Dame de la Garde.
Quartier d'Endoume, le château d'If, les îles du Frioul, avec, à gauche, Pomègues, à droite, Ratonneau.
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Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le Vieux Port.
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Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo, le fort Saint Jean avant la construction du Mucem.
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Vue de Notre-Dame de la Garde.
Le fort d'Entrecasteaux, le palais du Pharo.
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Statue du prophète Isaïe
Devant le porche de la basilique, on trouve deux statues en marbre. A gauche, celle du prophète Isaïe tenant un volumen sur lequel est citée une annonce faite par ce prophète : "Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils et on l’appellera Emmanuel". La jeune femme est évidemment la Vierge Marie.
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Statue de saint Jean
A droite, la statue de l’Apôtre saint Jean, celui à qui Jésus, au moment de sa mort sur la croix, a confié la Vierge Marie. Il tient un volumen sur lequel est gravé le début d’une phrase du livre de l’Apocalypse attribué à cet Apôtre. Ces deux statues ont été réalisées par Joseph Marius Ramus.
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La crypte.
A droite la statue de Pie IX qui était pape à l’époque de la construction du sanctuaire actuel. Et, à gauche, la statue de Mgr Eugène de Mazenod, évêque de Marseille de 1837 à 1861, qui a posé la première pierre du nouveau sanctuaire en 1853. Ces deux statues sont dues au sculpteur Ramus.
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La crypte
Statue d'Eugène Mazenod.
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La crypte
Statue de Pie IX.
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La crypte
Le crucifix de l’ancienne chapelle.
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La crypte
Le Christ au tombeau, œuvre de l’allemand Meyer.
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La crypte
On y trouve une copie de la statue de Chanuel beaucoup plus légère, et qui est portée en procession le soir du 14 août. Remarquez que les personnages ne sont pas couronnés.
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La crypte
Statue de saint Antoine de Padoue.
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La crypte
Le plafond.
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La crypte
Entièrement de style roman, la crypte se compose d'une nef voûtée en plein cintre bordée de six chapelles latérales correspondant exactement à celles de l'église supérieure.
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La crypte
Le maître autel est en pierre de Golfalina. Derrière cet autel s'élève la statue de la vierge au bouquet, offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne. Escaramagne achète aux enchères une statue de la vierge à l’enfant du XVIIIe siècle qui provenait d’un couvent de religieux de Picpus, couvent qui se trouvait près du palais de justice et qui est démoli pendant la Révolution. Il offre cette statue à l'église Notre-Dame de la Garde. Le sceptre que tenait la vierge est remplacé par un bouquet de fleurs d'où le nom de la statue de « Vierge au bouquet ».
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La crypte
Vierge au bouquet offerte au sanctuaire par Joseph-Elie Escaramagne.
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La crypte
Chapelle du Saint Sacrement.
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La crypte
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La crypte
Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
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La crypte.
Bloc de trois statues, dû au céramiste Bruno Marlot, représentant les trois personnes de la Sainte Famille : Marie et Joseph avec Jésus adolescent.
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La crypte
Chapelle de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.
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La crypte
Le brûloir des cierges.
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Entrée de la basilique.
Le tympan de cette porte principale est orné d'une mosaïque représentant l'Assomption de la Vierge d'après un tableau de Faivre-Duffer.
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Entrée de la basilique
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Les portes
La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
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Les portes
La construction de la basilique s’acheva par la pose, en 1897, des lourdes portes de bronze dessinées par Henri Révoil. Chaque ventail est décoré de trois panneaux superposés dont celui du centre porte le monogramme de la Vierge placé dans un cercle de perles figurant le rosaire.
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Les portes intérieures.
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Chapelle de saint Charles Borromée.
Brûloir des veilleuses.
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Chapelle de saint Charles Borromée.
Brûloir des veilleuses.
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Chapelle de saint Charles Borromée.
Copie en albâtre de la statue en bois de la Vierge à l’Enfant, de la chapelle du XIIIe siècle. Comme le bois était sombre, les fidèles l’appelaient « Notre-Dame la Brune ».
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Vue de la nef vers l'Autel.
Les piles sont en marbre blanc de Carrare et en marbre rouge de Brignoles, mais les arcs du plafond sont en stuc car la carrière de Brignoles était épuisée quand on commença la voûte. Les bancs sont de 1886.
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Vue de la nef vers l'Autel.
À la suite du décès d’Espérandieu survenu le 11 septembre 1874, Henri Antoine Révoil est chargé du décor intérieur de la basilique, en particulier de la réalisation des mosaïques. La construction de l'autel majeur et la pose des mosaïques du chœur s'effectuent en 1882. Un incendie survient le 5 juin 1884 et détruit l'autel et la mosaïque du chœur ; de plus la statue d'argent de la Vierge est endommagée. La statue et les mosaïques sont restaurées et l'autel reconstruit selon les plans de Révoil. Le 26 avril 1886 le cardinal Lavigerie consacre le nouvel autel.
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Vue de la nef vers l'Autel.
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Le maître autel.
Le maître autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques. Derrière l'autel se dresse une colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge. Le maître-autel fut consacré le 26 avril 1886 par le cardinal Lavigerie.
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Le maître autel.
Le maître autel conçu par Révoil, réalisé par Jules Cantini entre 1882 et 1886, est en marbre blanc avec un soubassement formé de cinq arcatures en bronze doré reposant sur des colonnettes en lapis-lazulis avec un décor de mosaïques.
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Le maître autel.
Le tabernacle en vermeil est encadré de deux colonnes et de deux panneaux de mosaïque représentant des colombes buvant dans un calice. Sur la porte du tabernacle, l'agneau aux sept sceaux.
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Le maître autel.
Le tabernacle, la première porte ouverte.
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Le maître autel.
Le dessus de et la colonne de marbre rouge supportant un chapiteau d'orfèvrerie sur lequel est posée la statue de la Vierge.
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Le maître autel.
Grâce à un don de 3 000 F fait par la duchesse d'Orléans lors de son passage à Marseille en mai 1823 et à diverses offrandes, la confection d'une nouvelle statue de la Vierge est envisagée afin de remplacer celle qui avait été envoyée à la fonte à la Révolution. En 1829 on demande à l'orfèvre Jean-Baptiste Chanuel, artiste marseillais installé rue des Dominicaines, de confectionner cette statue d'après un modèle réalisé par le sculpteur Jean-Pierre Cortot.
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Le maître autel.
Au prix de cinq ans de travail (1829-1834) l'orfèvre marseillais réalise cette œuvre par le procédé très délicat du repoussé au marteau. Le 2 juillet 1837 la statue est bénie par Mgr Fortuné de Mazenod sur le cours Belsunce puis apportée au sommet de la colline de le Garde. Elle remplace la statue de la vierge au bouquet que l’on donne à la chartreuse de Montrieux et qui reviendra dans la crypte en 1979. Le 21 juin 1931, la vierge et l'enfant Jésus ont reçu leurs couronnes faites d'or, d'argent, de platine et de pierres précieuses, lors d'une cérémonie rassemblant plus de 500 000 personnes, dixit les journaux de l'époque.
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Le maître autel.
Autour du choeur, neuf médaillons illustrent neuf invocations des litanies de la Sainte Vierge : arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David, rose mystique, tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
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Les neuf médaillons.
Arche d’alliance, miroir de justice, siège de la sagesse, tour de David.
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Les neuf médaillons.
A gauche de la Vierge, tour de David, rose mystique, et à droite, tour d’ivoire (cachée), maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
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Les neuf médaillons.
Tour d’ivoire, maison d’or, vase spirituel, porte du ciel.
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Mosaïques de la grande coupole.
La lanterne du choeur.
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La mosaïque du cul-de-four de l’abside
Au milieu des dauphins, une barque, symbole de l’Eglise, navigue sur une mer agitée. Sur la voile, il y a le monogramme de la Vierge Marie et, dans le ciel en haut à gauche, une étoile rayonnante avec un A et un M entrelacés (Ave Maria : je vous salue Marie) rappelant que Marie est « l’étoile de la mer ». Marie aide la barque de l’Eglise à cheminer vers le port que l’on voit à droite, dominé par un phare surmonté de la croix du Christ : Marie aide l’Eglise à cheminer vers le Christ. Tout autour, de magnifiques rinceaux de feuillage sur lesquels sont posés trente-cinq oiseaux : en haut au centre, une colombe symbole du Saint-Esprit et, à droite et à gauche, deux ensembles symétriques de dix-sept oiseaux de différentes espèces, avec en bas deux paons, symboles de l'immortalité et de chaque coté, deux oiseaux de paradis, symboles de la Vie et de la gloire de Dieu. Tout en haut, le ciel étoilé, symbolisant Dieu.
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L’Annonciation.
D'après Faivre-Deffer. Envoyé par Dieu, Gabriel vient demander à Marie si elle accepte d’être la mère du Messie. Cette mosaïque présente le premier événement du Nouveau Testament, elle suit les mosaïques du plafond qui sont un résumé de l’Ancien Testament. En dessous, la date 1891.
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Mosaïque au-dessus de l’Annonciation.
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Mosaïques de la grande coupole.
La coupole est éclairée par 8 baies vitrées. C'est à Charles Lameire (1822-1910) qu'est confié le projet du carton de la coupole du choeur. Quatre anges soutiennent une grosse couronne de fleurs et, en particulier, de roses.
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Mosaïques de la grande coupole.
Quatre anges s'élèvent de la terre vers le ciel en soutenant une grosse couronne de fleurs et, en particulier, de roses : symboliquement, ils nous invitent ainsi à prier le rosaire ou le chapelet. D’ailleurs, sous la couronne de fleurs, entre les mains des anges, on a représenté des grains multicolores de rosaire ou de chapelet. Au centre, la Vierge est représentée par son monogramme.
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L'aigle de saint Jean.
Aux retombées de la grande coupole, on a représenté en sculptures les symboles des quatre évangélistes. C’est saint Jérôme (347-420) qui, le premier, appliqua aux évangélistes les quatre figures évoquées par Ezéchiel et par l’Apocalypse.
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L'aigle de saint Jean.
Jean est symbolisé par l’aigle : allusion à la puissance de la vision prophétique qu’il manifeste dans l’Apocalypse.
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L'homme de saint Mathieu.
Mathieu est symbolisé par l’homme, car son évangile commence par la généalogie du Christ.
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Le taureau de saint Luc
Les deux autres symboles, le taureau de saint Luc et le lion de saint Marc, ne sont pas visibles de la nef. Ici, le taureau de saint Luc.
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Le lion de saint Marc
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Le choeur.
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Le choeur.
Des lampes de sanctuaire et des coeurs de dévotion utilisés en ex-voto.
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Le choeur.
Des coeurs de dévotion utilisés en ex-voto.
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Le choeur.
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Le choeur.
Luminaire du maître autel.
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Le choeur.
Lampe de sanctuaire.
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Le choeur.
Lampe de sanctuaire.
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Les coupoles du plafond.
Les trois coupoles qui dominent la nef présentent de grandes surfaces de mosaïques dorées, agrémentées d’oiseaux et de fleurs. Dans chaque coupole, un bandeau circulaire blanc ou on peut lire deux textes en latins et deux en grecs. Il s'agit de phrases d'évêques des premiers siècles de l'Eglise. C'est le vicaire général du diocèse, Monseigneur Ollivier, qui les a choisies.
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Coupole proche du chœur
Les fleur du fond sont blanches. Coupole évoquant l'ère des patriarches. Dans les pendentifs, des médaillons illustrent les textes correspondants. L’arche de Noë, la sortie de l’arche avec l’arc-en-ciel, signe de l’alliance conclue alors entre Dieu et l’humanité, l’échelle entre ciel et terre que Jacob a vue en songe, le buisson que Moïse a vu brûler sans se consumer.
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Coupole centrale
Les fleurs sont bleues. Coupole évoquant l'ère de Moïse. Dans les pendentifs : les tables de la loi données par Dieu à Moïse, le bâton d’Aaron qui avait miraculeusement fleuri, le chandelier à sept branches, l’encensoir du temple.
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Coupole la plus proche de l’entrée.
Les fleurs sont rouges. Coupole évoquant l'ère des prophètes. Dans les pendentifs : la vigne chargée de raisins, le lys entre les épines, rameau d’olivier aux feuilles d'argent, le palmier chargé de fruits.
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Les pendentifs
L'événement biblique : L'arche de Noé flottant sur l'eau du déluge. Texte : Arche gardant le germe de la seconde création : auteur, saint Jean Damascène.
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Les pendentifs
Le buisson que Moïse a vue brûler sans se consumer. Buisson ardent d'un feu spirituel : saint Jérôme.
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Les pendentifs
L'échelle dressée entre ciel et terre que le patriarche Jacob a vue en songe. Echelle de Jacob, cause notre ascension : saint Tarasios.
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Chapelle saint Joseph.
A la sortie de l'arche de Noé, l'arc en ciel est le signe de l'alliance que Dieu conclut avec l'humanité. Arc-en-ciel dont le fruit est le souvenir de l'alliance du seigneur : saint Bernard.
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Les pendentifs
Les tables de la loi données par Dieu à Moïse. Loi de la grâce, nouvellement inscrite, par laquelle nous est révélé ce qui plait à Dieu : saint Théodore le Studite.
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Les pendentifs
Le bâton d'AAron qui avait miraculeusement fleuri. Bâton d'Aaron, Marie, qui a enfanté le Christ, le vrai prêtre : saint Augustin.
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Les pendentifs
Le chandelier à sept branches. Christ, vrai chandelier aux sept lumières s'allumant au feu inaccessible : Germain Ier.
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Les pendentifs
L'encensoir. Mère de l'encensoir, tout fumant Souveraine des Anges : saint Pierre de Celle.
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Chapelle saint Roch.
La vigne chargée de raisins. Vigne mystique qui a reçu la grappe de l'immortalité : saint André de Crète.
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Les pendentifs
L'olivier et ses fruits. De l'olivier, l'Esprit apporta un brin d'en haut, annonçant la paix : Proclos.
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Les pendentifs
Le lys et les épines. Née de l'épineuse race des Juifs, resplendissante de pureté virginale : saint Pierre Damien. Aujourd'hui, on n'aurait pas choisi ce texte.
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Les pendentifs
Le palmier et ses dattes. Mère nourricière comme un palmier florissant et porteur de fruits : saint Anselme.
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