Lionel Monges a peint en 2011 un chevalier spectateur de la crucifixion, inspiré d'une œuvre de Louis Bréa, et une servante du palais d'Hérode,inspirée d'une œuvre de Jean Canavesio.
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Porche de l'ancien couvent de templiers, rue Papon.
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Couvent des Templiers (1242 – 1308). Escalier de la Renaissance.
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Couvent des Templiers (1242 – 1308). Escalier de la Renaissance.
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Maison natale de Jean-Pierre Papon (1734 – 1803).
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Buste de Jean-Pierre Papon. En 1780, Papon est nommé conservateur de la bibliothèque de Marseille où il achève l'histoire générale de Provence.
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Les montants de cette porte sont ornés de poissons qui peuvent évoquer une poissonneries ou un rappel du signe de reconnaissance des premiers chrétiens. Au-dessus, un cœur et un trèfle ont été sculptés.
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Porte surmontée d'une croix pattée.
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Porte à linteau à accolade surmontée d'une monogrammes du Christ entrelacé IHS.
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Maison natale d'Alexandre Barety.
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Maison natale d'Alexandre Barety.
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Couvent des Augustins. Le couvent de l'ordre mendiant des Augustins est fondée dans la ville à la fin du XIIIe siècle. Il sera fermé le 15 mai 1783.
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Couvent des Augustins. La façade porte des éléments de blason, crosse et mitre abbatiale.
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Couvent des Augustins. La façade porte des éléments de blason, crosse et mitre abbatiale.
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Ancienne porte médiévale fortifiée.
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Ancien tribunal de grande instance, place Casimir-Brouchier. Le tribunal d'instance situé dans l'ancien prétoire du couvent des Augustins est créé en même temps que la sous-préfecture en 1800. Comme dans l'église, c'est le menuisier pugétois Honoré Conil qui se charge du mobilier. Il cesse ses activités définitivement en 1970.
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Maison médiévale à encorbellemnt et pans de bois.
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Les extrémités des poutres du plafond sont ouvragées et l'une d'elles est sculptée d'une tête.
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Maison médiévale à encorbellemnt et pans de bois.
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Passage voûté de la rue de Verdun.
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Verstiges de la deuxième porte.
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Ancienne menuiserie Casimir Brouchier dont les initiales figurent au-dessus de la porte. Ambitieux, le menuisier fit construire en 1906 l'usine du Sarret sur la rive droite du Var où 200 ouvriers s'employaient jour et nuit à transformer les grumes, de la coupe jusqu'au vernissage des meubles.
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Plaque de la compagnie d'assurance "l'union" sur une maison médiévale.
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La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle. Située rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives. Sa belle façade classique date du XVIe-XVIIe siècle.
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La chapelle Sainte-Croix des Pénitents Blancs date du XVIe siècle. Située rue Lucien-Viborel, elle a été restaurée. C'est la seule chapelle subsistante des huit chapelles primitives.
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Devanture de 1718. Au dessus, les lettres r et A qui pourraient être les initiales du propriétaires ou les outils stylisés d'un cordonnier.
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Puget-Rostang
Une des trois portes qui donnaient accès au village.
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Puget-Rostang
Auge de la dîme du XVIe.
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Puget-Rostang
L’habitat est fortement aggloméré. Les murs pignons mitoyens et les façades juxtaposées forment des bandeaux continus qui constituent une véritable enceinte.
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Un ange.
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Partie basse d'un pressoir.
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Puget-Rostang
Les bandes de constructions épousent les courbes de niveau délimitant ainsi un réseau de voies "principales" parallèles, reliées entre elles par des passages en escaliers.
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Cette disposition entraîne un type d'habitat particulier : la maison est en hauteur, sur trois ou quatre niveaux et de plan rectangulaire allongé. La façade principale est sur le mur gouttereau et donne directement sur la rue. Une seconde rue borde la façade arrière par laquelle on accède directement à la partie du logement proprement dite.
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Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. En 1871, le clocher est surélevé et doté d’un campanile.
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Eglise de la Trinité. Restes de peinture. le clocher a été souligné par une bande de frise de guillochis oblique bleu sur fond blanc courant sur les arêtes nord et sud à l’extérieur.
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Eglise de la Trinité. De l’église romane extrême fin du XIIIe s. – 1/3 XIVe s. subsisterait la nef aux murs remaniés. Dans la seconde moitié du XVIe s., l’abside est remplacée par une travée de chœur au couvrement porté par de fortes nervures non appareillées. Dans le dernier tiers du XVIIIe s. est construit une abside, polygonale à l’extérieur semi-circulaire à l’intérieur, couverte d’un plafond plat et décor rococo
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Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. L’arc triomphal est animé par les trois vertus théologales : « Charité, Foi, Espérance » (le calice, la croix et l’ancre) encadrées par des têtes d’angelots. La décoration est en stuc.
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Eglise de la Trinité.
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Eglise de la Trinité. L’abside est décorée d’un plafond demi circulaire animé d’une colombe avec nuage et rayonnement.
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Eglise de la Trinité. L’autel se compose trois gradins avec un tabernacle habillé de marbre gris clair. Scellée sur le tabernacle du maître autel se trouve une gloire en marbre tenue par quatre colonnes en marbre blanc.
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Eglise de la Trinité. Sainte Anne entre Saint Grat, évêque d'Aoste et Saint-Joseph. En haut, la sainte Trinité avec le Christ et Dieu tenant le monde entre leurs mains et la colombe du Saint Esprit. Jean André, de Castellane 1662.
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Eglise de la Trinité. Du côté sud, casque, sponton (lance courte) et palme en stuc sont une référence à saint Julien, dont le buste était conservé dans la niche en dessous fermée par une porte.
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Eglise de la Trinité. Tableau de 1734.
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Eglise de la Trinité. Au centre, autel de la Vierge.
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Eglise de la Trinité.
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Eglise de la Trinité.
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Eglise de la Trinité. Le fond de l’abside est animé par deux couronnes « végétalisées » en stuc, encadrant à l’origine deux petits tableaux circulaires (tondo). Nous ne connaissons pas l’iconographie de ces tableaux. Aujourd'hui, statue de St Julien.
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Eglise de la Trinité. Le fond de l’abside est animé par deux couronnes « végétalisées » en stuc, encadrant à l’origine deux petits tableaux circulaires (tondo). Nous ne connaissons pas l’iconographie de ces tableaux.
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Eglise de la Trinité.
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Eglise de la Trinité. Une lucarne a été percée en 1871 au-dessus de la porte de l’église dans l’axe vertical du clocher, afin d’harmoniser la façade. Cependant à l’intérieur, cet oculus est décalé par rapport à l’axe de la nef. À l’origine, il était fermé par un châssis supportant des vitraux de couleur assortis.
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Eglise de la Trinité.
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Eglise de la Trinité. Le baptistère surmonté d’une coquille et d’une colombe en stuc.
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Puget-Rostang
Eglise de la Trinité. Le baptistère surmonté d’une coquille et d’une colombe en stuc.
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Le lavoir.
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Maison seigneuriale.
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Maison seigneuriale.
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L'écomusée du pays de la Roudoule.
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Puget-Rostang
L'écomusée du pays de la Roudoule. Un joug.
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L'écomusée du pays de la Roudoule. Des araires.
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La Croix-sur-Roudoule.
Fief des templiers puis des hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, La Croix sur Roudoule a gardé de son passé médiéval quelques morceaux de remparts et une porte fortifié
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La Croix-sur-Roudoule.
Porte d'enceinte fortifiée du début du XVe siècle, à l'entrée du village.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Le tableau le plus ancien est celui représentant Sainte Catherine.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Fragment de retable de Bréa. Saint-Jean Baptiste est représenté avec le même visage que Saint Iréné à Levens
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. Fragment de retable de Bréa.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique. A droite, saint Sébastien.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
Église Saint-Michel romano-gothique.
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La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire. Retable et toile du 18ème siècle.
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La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire.
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La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire.
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La Croix-sur-Roudoule.
À l'entrée du village chapelle Notre-Dame du Rosaire. Joseph Gaspard Corporandy d'Auvare, lieutenant général dans le Génie, né en 1722, mort en 1804.
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La Croix-sur-Roudoule.
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La Croix-sur-Roudoule.
Château rustique du XVIIe siècle (le château des Corporandy d'Auvare) remanié au XIXe siècle.
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La Croix-sur-Roudoule.
Ancien reposoir du cimetière.
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La Croix-sur-Roudoule.
Au fond, dôme de Barrot
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La Croix-sur-Roudoule.
Croix au sommet du village sur une stèle de grès datée de 1867.
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Léouvé.
Ancien hangar des charettes. Dans les dernières années de l'époque sarde, les recherches minières vont en s'intensifiant. Le 6 juin 1860, le Roi de Sardaigne Victor Emmanuel II signe l'acte instituant les concessions de l'ubac de Jourdan et du Cerisier en faveur de MM. Heneage, Thomas Thompson et Francfort. Dans un premier temps, les gisements du Cerisier, qui occupent une trentaine d'ouvriers, ne fournissent qu'une dizaine de tonnes de minerai épuré par un simple lavage. La société concessionnaire les expédie en Angleterre par les ports de Nice ou de Marseille. Dès 1836, afin d'augmenter la teneur en cuivre du minerai, un atelier de préparation mécanique, est édifié sur la rive gauche de la Roudoule. En 1878 une voie carrossable est réalisée de Puget-Théniers jusqu'à la mine. A partir de 1878, les ingénieurs projettent d'édifier un demi haut-fourneau de fusion. Mais l'activité de la mine plafonne. En 1886, les activités de la mine sont arrêtées. Au total 100 000 tonnes de tout venant ont été extraites pour 2500 tonnes de cuivre.
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Léouvé.
Scorie de la mine.
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Léouvé.
Graffitis de 1894
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Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
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Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
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Léouvé.
La cheminée du demi haut-fourneau de la mine de cuivre de Cerisier à Léouvé.
