C’est dans le cadre des travaux des futures Halles Surian que le Vendredi 14 Mars 2025, qu'on a découvert des vestiges archéologiques sous le niveau de circulation actuel. L’édifice qui mesure plus de 300 m² épouse un plan rectangulaire d’une longueur de 30 m et d’une largeur de 11,50 m dont l’extrémité orientale se termine par deux absides. Le service d’Archéologie de la Métropole Nice Côte d’Azur a rapidement identifié qu’il pourrait s’agir des vestiges de la première cathédrale carolingienne de Vence que l’on localisait jusqu’à ce jour sous l’emprise de l’actuel édifice religieux situé une cinquantaine de mètres plus au nord.
Cette construction est possiblement liée à l’épiscopat de Severus qui est le premier évêque vençois dont l’existence est mentionnée en 439 dans les sources écrites. Elle pourrait donc avoir été construite au début du Ve siècle de notre ère.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
A gauche de l’entrée, la Tour Saint Lambert date du XIIe siècle. Le évêques les plus connus : • Saint Véran (480), moine de Saint Honorat de Lérins, évêque de Vence.
• Saint Lambert de Vence (1084-1154), moine de Saint-Honorat de Lérins, évêque de Vence.
• Alexandre Farnèse (1468-1534), évêque de Vence, devenu pape sous le nom de Paul III.
• Antoine Godeau (1605-1672), avocat, évêque de Vence, académicien.
• Germain Allart (1610-1685), évêque de Vence.
• Jean-Baptiste Surian (1670-1754), évêque de Vence, académicien.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
La façade néo rococo du XIXe siècle. Fondée par les Ligures, puis cité romaine de Vintium, Vence vit croître sa puissance avec le christianisme et devint une importante ville épiscopale à partir du IVe siècle.
Au Ve siècle, Vence possède un évêché sous le règne de l'empereur Constance III. Le premier évêque de Vence dont l'existence est avérée est Severus (419-442). D'après la tradition locale fondée sur des sources ecclésiastiques, la cathédrale aurait été édifiée à l'emplacement du temple de Mars Vintius et de Cybèle dont l'existence est attestée par une inscription.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Vence est le siège d’un évêché depuis l’an 374. Soixante-dix évêques s’y sont succédés jusqu’en 1801. A partir de 1823 l’évêché de Vence fut alors placé sous l’autorité de l’évêque de Fréjus puis en 1886 englobé dans l’évêché de Nice.
La cité compte parmi les siens Alexandre Farnèse, évêque de la ville qui devint pape sous le nom de Paul III en 1534.
Un autre évêque, Antoine Godeau deviendra le cofondateur de l’Académie Française.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
A gauche de l'entrée de la cathédrale, une plaque célébrant l'empereur Gordien Inscription : IMP CAES M ANTONIO GORDIANO PI FEL AVG PONT MAX TRIB POT II PP COS CIVIT VINT DEVO TA NVMINI MAIES TATIQVE EIVS. Traduisible par A l'empereur César Marc Antoine Gordien, pieux, heureux, Auguste, grand pontife, en jouissance pour la seconde fois de la puissance tribunitienne, père de la patrie et consul : la cité des Ventiens dévouée à sa puissance et à sa majesté. 2e quart 3e siècle 238.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
A droite de l'entrée de la cathédrale, un socle de statue, portant une inscription au nom de l'empereur Antonin. Vestiges de draperies sur le haut des moulures. Inscription : ... CAES DIVI ANTONINI FIL DIVI SEVERI NEPOTI A AVREL ANTO NINO PIO FEL AVG TRIB POT III COS III P P. Traduisible par A l'Empereur César, fils du divin Antonin, petit-fils du divin Sévère, Marc-Aurèle Antonin, pieux, heureux, Auguste, revêtu trois fois de la puissance tribunitienne, consul pour la troisième fois, père de la patrie. Gravée en 220.
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Vence
Passage Cahours. Avant la construction de la nouvelle mairie en 1910, l'Evêché s'appuyait au flanc de la cathédrale par un pontis semblable à celui qui existe au-dessus des arcades. On pouvait donc sortir de la cour centrale de l'Evêché par deux pontis, l’un au sud, l'autre au nord, seul vestige qui subsiste, datant du 14e siècle. Des cicatrices au mur de la cathédrale rappellent la présence de l'autre Pontis
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Sur la façade latérale de la Cathédrale se trouvent des blocs de pierres sculptés qui représentent des dédicaces funéraires à des personnages peu connus de la cité de Vintium (Vence) à l'époque romaine. Inscription : D X M MAECIA MAECIANI FIL VALERIA VIVA SIBI FECIT. Traduisible par Aux dieux mânes, Moecia Valeria, fille de Moecianus, s'est, de son vivant, élevé ce monument.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Inscription commémorative de la célébration du tauribole. Inscription : IDAEAE MATRI VALERIA MAR CIANA VALE RIA CARMO SINE ET CASSI VS PATERNVS SACERDOS TAV RIBOLIVM SVOSV IV CELERRAVERVN. Traduisible par A la mère Idéenne, Valeria Marciana, Valeria Carmosine et Cassius Paternus prêtre, à leurs frais, ont célébré le Tauribole. Valeria Marciana, Valéria Carmosyne et le prêtre Cassius Paternus ont célébré un taurobole (sacrifice) en l'honneur de la mère Idaea. Cette pierre évoque d'une part le culte de Cybèle, et d'autre part la mère « Idaea », la Grande Mère des dieux du mont Ida. Un appellatif qui dérive des légendes asiatiques liées à cette déesse. C'est la rencontre de la tradition crétoise avec celle de l’Orient.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Inscription : L VELVDIVS VALERIANVS DEC VINT MAG ET SACERDO TIO FVNCTVS SIBI ET VIBIAE MVCI FIL PATERNAE VXORI VIVI S F. Traduisible par Lucius Veludius Valerianus décurion de Vence, magistrat autrefois investi de fonctions sacerdotales, pour lui et pour Vibia Paterna, fille de Mucius, son épouse, de leur vivant se sont élevé ce monument.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Aux XVIe et XVIIe siècles, la cathédrale fut agrandie par l'adjonction de deux chapelles au nord et de trois chapelles au sud pour y aménager les autels et les tombeaux des saints Véran et Lambert. Le chœur du XVII et XVIIIe siècle la nef centrale de style roman. Cette église si petite est une cathédrale car le statut de cathédrale n’est pas déterminé par la taille, l’opulence ou le style d’une église, mais par la présence de la cathèdre (du latin cathedra, qui signifie « siège ») de l’évêque. Ces églises sont communément appelées cathédrales car elles servent de lieu central de culte pour un diocèse ou un épiscopat.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Le chœur. L’autel en marbre polychrome (rouge et blanc) surmonté de trois chérubins a été réalisé par le génois Schaffini en 1768. Les deux bustes de cuivre argenté de Saint Véran et de Saint Lambert, ciselés en 1825 et 1826, reposent sur des caisses vitrées qui contiennent les ossements des deux saints. Celui de Saint Véran fut offert par Monseigneur Pisani de la Gaude, dernier évêque de Vence.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
La tribune où se trouvent les stalles.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Dans le mur Nord de la nef : orgues datant de 1871. Le buffet est en chêne à deux tourelles, encadrant une plate-face, surmontée d'une boiserie ogivale à arc trilobé. La console, en fenêtre, comporte un seul clavier manuel (ripieno, 11 jeux ; jeux de concert, 11 jeux) et un pédalier à l'italienne. Valoncini Frederico (facteur d'orgues), œuvre restaurée en 1980 par Philippe Hartmann.
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Chaire XVe.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Niche aux reliques. Châsse en bois de 1842 contenant des reliques
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A gauche, sur le pilier, un des motifs ornementaux de la nef que l’on appelle « Entrelacs » es d’origine Carolingienne. Pendant les premiers siècles du moyen âge la sculpture avec des personnages a été presque complètement abandonnée pour ne réapparaître qu’au cours du XIème siècle. Pendant cette période on décora la pierre et le marbre, surtout à l'époque carolingienne. Les marbriers, à défaut de figures animées, sculptèrent sur de grandes dalles des ornements stylisés dénommés « entrelacs ». Ceux-ci sont considérés comme un ornement ancestral, pratiqué bien avant notre ère en Chaldée et répandus dans toutes les civilisations orientales. On retrouve les formes géométriques, les cercles combinés en forme de fond de corbeille, les tresses, les tiges s'enroulant en hélice, et cet ornement qui a l'aspect d'une roue dont les rayons sont courbes et que l'on désigne sous le nom de « soleil tournant ». Les rosaces à huit lobes qui étaient fréquentes à l'époque mérovingienne deviennent plus rares. Les Romans transformeront l'entrelacs en un décor imité du travail de vannerie. Les devants d’autels étaient souvent ornés par ces entrelacs
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Grand Christ du XVIe d’auteur inconnu.
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Le le baptistère est orné de la célèbre mosaïque intitulée « Moïse sauvé des eaux », réalisée par Marc Chagall en 1979. Chagall a séjourné à Vence de 1950 à 1966, période durant laquelle il a créé la plupart de ses peintures bibliques. Bien des années après avoir quitté Vence, il est revenu exprimer sa gratitude en offrant cette magnifique mosaïque à la ville.
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Chagall a voulu exprimer la joie du baptême en prenant pour thème Moïse sauvé des eaux. Et c’est bien la joie qui rayonne de sa mosaïque, avec ses couleurs claires et variées, les fleurs ou les fruits des arbres de la rive, les robes bigarrées des femmes, l’éclat du soleil et ses reflets sur les eaux. Cette joie s’adoucit et s’épure dans le regard de la fille du Pharaon et la tendresse du geste, quand elle se penche vers le petit Moïse pour le recevoir. La joie de la mosaïque n’est pas une joie terrestre : elle transpose l’épisode rapporté dans l’Exode pour l’élever jusqu’à la joie spirituelle du baptême. La fille du Pharaon qui recueille le petit Moïse devient l’Eglise recevant un nouveau-né ; et celui-ci, par l’eau du baptême évoquée par l’eau du Nil, devient un enfant de Dieu. C’est bien ainsi qu’il faut lire la mosaïque puisque Marc Chagall a introduit dans sa composition des éléments insolites pour l’illustration du texte biblique : un Ange, auprès du soleil et, surtout, l’arc dans le ciel. Ce pont céleste est le signe traditionnel de l’alliance de Dieu à son peuple. Au baptistère de Vence, Moïse sauvé des eaux est vraiment la préfiguration spirituelle du sacrement.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Plafond des fonds baptismaux
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Notre Dame de l'An 2000, oeuvre de Jean Pierre Augier. Elle est faite entièrement de matériaux de récupération.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Notre Dame de l'An 2000, oeuvre de Jean Pierre Augier. Elle est faite entièrement de matériaux de récupération.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
La cuve baptismale qui est une seule pièce n’est pas datée.
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La cuve baptismale qui est une seule pièce n’est pas datée.
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La cuve baptismale qui est une seule pièce n’est pas datée.
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Chapelle de la Sainte Famille. Tableau, la Sainte Famille avec saint Jean-Baptiste.
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Chapelle de la Sainte Famille.
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Chapelle de la Sainte Famille.
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St Joseph et l'Enfant Jésus.
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Bas-côté gauche, dernière chapelle dite des saints Anges. Magnifique retable de l’Ange Gardien (XVIe siècle) cette chapelle était autrefois à la base du clocher. Le tableau central représente l’Ange Gabriel accompagnant le jeune Tobie.
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Dans les compartiments du retable, seize médaillons, huit de chaque côté, avec des représentations de saints. 4e quart 16e siècle. De gauche à droite et de bas en haut : st Pierre, ste Anne, st Laurent, ste Luce ; st Clair, ?, ?, ? ; st Etienne, ste Marguerite, st Paul, ? ; ste Catherine, ?, ste Claire, ste Apolonie. En chef, le Christ Sauveur tenant dans sa main gauche la sphère crucifère et bénissant avec la droite.
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La chapelle du Saint Sacrement. En haut, cette plaque qui proviendrait d’un ambon, est insérée dans la partie supérieure du mur. L’aigle est le symbole du plus jeune des évangélistes Saint Jean. Il est ici représenté dans un cercle – le ciel – inscrit dans un carré – la terre. Une autre interprétation en ferait un phénix. Cette œuvre daterait du XIème siècle. Cet élément aurait été trouvé lors de la réfection du dallage de la nef au XVIIIème siècle.
La pierre mesure 81cm X 65 cm de haut environ et le motif central carré à peu près 60cmX 60cm.
Un panneau se trouve près du sol. On peut se demander s’il faisait partie du chancel car sa décoration est très différente des autres éléments. Elle est composée de pseudo cercles avec double rangée de feuillages tournés vers l’intérieur des cercles.
Les cercles sont terminés par des petites boucles spiralées. A Vence c’est le seul panneau à décor de feuillage. Il est complet seulement en hauteur. Ses dimensions sont 123 cm X 35 cm de haut. A droite il semble y avoir un oiseau tête en bas. Deux peintures sur bois représentant sans doute Saint Véran et Saint Lambert, devaient orner déjà en 1637 les portes du reliquaire de ces deux Saints.
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Ce panneau est en marbre, mesure 95 cm X 155 cm. Son épaisseur est de 16 cm environ. Il est incomplet à droite. Etant donné sa taille et sa décoration, on peut se demander s’il ne parviendrait pas d’un devant de socle de table d’autel.
Il comporte 18 motifs à l’intérieur de trois rangées de pseudo-cercles et environ 21 motifs dans les espaces intermédiaires. Cette grande plaque présente différents thèmes : grappes de raisin, oiseaux et roses stylisées se nichent au sein d’entrelacs que dessinent des torsades à trois brins. Parmi les motifs, on remarque : une croix grecque en bas à gauche, non centrée et légèrement inclinée ; deux rosaces ou fleurs à huit pétales au centre peut-être en position symétrique ; deux hélices levogyres, dont une à gauche et une en bas à droite ; quatre grappes de raisin, dont trois à l’intérieur des pseudo cercles ; un motif en forme de grappe qui représente comme une enveloppe contenant des graines ; un motif en forme de grappe mais sans grains représentés. Il pourrait s’agir d’un cœur ; huit oiseaux posés de différentes manières, dont un à l’extérieur des pseudo-cercles, un regarde à gauche, les autres à droite, en position posée sauf un de face les ailes déployées. Les trois oiseaux de gauche regardent leur queue ou bien la croix. Quatre ont une queue en panache et font penser à des paons ; beaucoup de motifs en ancre dans différentes orientations à l’intérieur ou à l’extérieur des cercles. Certains sont à trois brins comme les torsades. Certaines parties des rubans forment une pseudo-bordure.
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Il s’agit d’un petit morceau de marbre intégré dans le mur sud de la chapelle du Saint Sacrement avec un autre petit morceau à droite. Ce petit morceau sculpté est assez haut et difficile à voir. Il fait à peu près 30 cm à la base, avec une feuille à gauche et une grappe à droite.
Le petit morceau de droite qui peut s’inscrire dans un cercle de 12 cm de diamètre environ représente un entrelacs très fin. Ce motif pourrait être antérieur à la période carolingienne.
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A droite dans le mur du clocher a été accrochée l’ancienne porte de la prévôté datée de la fin du XVe siècle. Le Prévôt secondait les évêques.
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Le chœur. L’autel en marbre polychrome (rouge et blanc) surmonté de trois chérubins a été réalisé par le génois Schaffini en 1768. Les deux bustes de cuivre argenté de Saint Véran et de Saint Lambert, ciselés en 1825 et 1826, reposent sur des caisses vitrées qui contiennent les ossements des deux saints. Celui de Saint Véran fut offert par Monseigneur Pisani de la Gaude, dernier évêque de Vence.
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Chapelle du Sacré-Coeur. Une œuvre attribuée au peintre Jean Daret. Il s’agit du tableau « Saint Paul ermite et Saint Antoine ». L’œuvre est une commande certainement parisienne due à Monseigneur Antoine Godeau, évêque de Vence, qui fut l’un des premiers membres de l’académie française en 1634. La proximité du peintre, travaillant à Aix en Provence, avec le commanditaire, donne à cette œuvre un relief particulier et un intérêt singulier.
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Saint Antoine est représenté donnant des pains à l'ermite. Toile citée en 1698 par Monseigneur de Crillon dans un procès-verbal de visite, attribuée au moment du classement en 1910 à l'école romaine et rapportée à l'un des Canavesi, qui s'étaient fixés à Vence. Toile réattribuée à Jean Daret depuis la découverte de la signature du peintre à la fin du 20e siècle.
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La chapelle est dédiée à Saint Véran (Évêque de Vence en 449). L’autel est composé d’un sarcophage romain où fut déposé le corps du Saint pendant 1000 ans. Retable de style renaissance représentant Saint Véran bénissant le peuple. Deux statues représentant Saint Véran et Saint Lambert sont placés de chaque côté.
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Les Vençois, menacés par les Barbares "Wisigoths", Saint-Véran revêtu de sa longue tunique et armé de sa crosse dorée, partit vers le camp des barbares sur sa mule accompagné d’un enfant qui portait une croix. L’évêque s’approcha du chef, Euric et lui dit humblement :"Je suis Véran, évêque de Vence. Je viens te supplier d’épargner ma cité et ses habitants, o toi, roi des païens". A ces mots, le Barbare furieux, saisit son épée, la fit tournoyer au-dessus de la tête du prélat qui priait à voix basse. L’épée alla se planter dans un arbre à quelques pas de lui. Euric s’avança vers le saint homme et lui dit :"Evêque, si mon arme demain est fleurie, je t’épargnerai, toi et ta cité". Saint-Véran se retira près de l’arbre et resta prostré en implorant le ciel, jusqu’au matin. A l’aube l’épée est fleurie car pendant la nuit un liseron rouge s’était enroulé autour de l’épée. Le soir Euric levait le camp et Vence fut sauvée. Saint-Véran reçu le titre de protecteur de la cité.
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Retable de style renaissance représentant Saint Véran bénissant le peuple.
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Le sarcophage gallo-romain du Ve siècle dit « tombeau de Saint Véran ».
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Le petit trou dans le tombeau de Saint-Véran était utilisé par les dévots et les pèlerins des siècles passés pour y passer un bâtonnet recouvert de tissu afin de pouvoir toucher la dépouille du saint et ainsi obtenir une relique. Cette tradition témoigne de la ferveur et de la dévotion que Saint-Véran a suscitées auprès de ses fidèles..
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Ces deux fragments étaient aux extrémités du sarcophage.
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Cathédrale Notre-Dame de la Nativité
Ces deux fragments étaient aux extrémités du sarcophage.
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L’histoire de la ville est étroitement liée à celle de ses saints patrons, Saint-Véran et Saint-Lambert. Ces deux personnages religieux ont marqué l’identité et le caractère de Vence, et leur influence se fait encore sentir aujourd’hui. La légende raconte que Saint-Véran a sauvé la ville de la destruction lors de l’invasion des Wisigoths. Son action héroïque lui a valu une place d’honneur à l’intérieur de la cathédrale de Vence, où l’on peut trouver des représentations en bois doré de sa personne ainsi que son tombeau intégré dans un autel. Bustes-reliquaires de Saint Lambert à gauche et Saint Véran à droite, en bois taillé, argenté, doré. Croix pectorale de Monseigneur Pisani de la Gaude, datée de 1783 année de l’intronisation de Mgr Pisani au siège de Vence, et dont iI fut le dernier Évêque 1801.
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Reliquaire de saint Blaise en argent doré. Petit reliquaire en forme de maisonnette, couvert d'un toit imbriqué et surmonté d'une croix. XIVe siècle. Sur une face : 2 blasons en souvenir du mariage en 1360 de Giraud, baron de VENCE et Bourguette d’AGOUL.
Sur l’autre face : le martyre de saint BLAISE ; avant de lui trancher la tête on lui arrache les chairs avec un peigne à carder.
Sur les côtés : le Saint avec ses amis les loups sur le Mont Argée et sur l’autre, le Saint avec une femme lui demandant de retirer une arête de poisson du gosier de son enfant qu’il sauva.
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Chapelle Saint Lambert (Évêque de Vence en 1154). Autel construit sur la pierre tombale du Saint, XIIe siècle.
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Ces deux tableaux (saint Véran et saint Lambert) sont attribuées à Sauvan, peintre provençal, mort en 1792. Ces toiles ornaient sous l'épiscopat de Godeau (17e siècle) le reliquaire (ou trésor) de la cathédrale.
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Chapelle Saint Lambert.
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Chapelle de la Vierge. Godeau, en 1666, parle du retable des colonnes torses en bois qui venaient d’y être posées.
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Chapelle de la Vierge. La statue est entourée de petits tableaux représentant les mystères de la Vierge.
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Chapelle de la Vierge.
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Sur plusieurs piliers et dans la chapelle du Saint Sacrement on peut admirer de magnifiques plaques sculptées carolingiennes (an 600 à 800) à très beaux décors d'entrelacs, qui attestent de l’existence d’une très belle église carolingienne, du IXe. Ils furent découverts à la fin du 19e siècle ou au début du 20e siècle, sous le crépi des colonnes de la nef. Ce panneau représente à gauche un serpent, au milieu une sorte de grand oiseau, et à droite une sorte d’amphore comme coupée dans le sens de la longueur légèrement inclinée vers la gauche avec à l’intérieur un oiseau regardant vers le col qui est fermé.
Le grand oiseau regarde le petit dans l’amphore. Sur la droite on voit une bordure faisant imaginer que l’ensemble du motif était inscrit dans un triangle. MB pense que ce panneau aurait pu appartenir à un ambon. Dimensions : base environ 30 cm, hauteur environ 20 cm.
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Ce panneau est incomplet. Il comporte un dessin d’entrelacs à trois brins avec une bordure en haut et en bas. Ses dimensions sont 34 cm X 64cm..
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Ce panneau est incomplet. On peut observer en dehors des entrelacs à trois brins, une sorte de pointe de flèche vers la gauche, une rosace peut être au centre, un oiseau à l’envers sur le dos en bas à droite, un signe qui ressemble à un oiseau stylisé vers la droite avec trois brins et peut être un oiseau à gauche posé, bec en l’air.
L’oiseau stylisé qui ressemble à une ancre peut se voir trois fois sur la partie restante dont deux fois avec trois brins. Il se retrouve aussi notamment sur le grand panneau en marbre.
Dans la partie haute on peut voir deux feuilles. Les dimensions du panneau sont 38cmx 86 cm. En bas à gauche et à droite le ruban se divise en deux pour enserrer une autre partie du ruban. Une partie du ruban forme comme une bordure. En plus il comporte une bordure en bas et une à gauche
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Ce panneau est incomplet et ne comporte pas de motif figuratif en dehors des entrelacs. Le motif est à trois brins. Il comporte une bordure en bas et à gauche.
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Ce panneau est très incomplet. Le motif est à trois brins. Il comporte des motifs à quatre pointes reliées par des arcs de cercle, le tout en entrelacement formant un carré autonome, mais entrelacé avec un motif en pseudo cercles et sans élément figuratif. Une partie du ruban forme comme une bordure haute et basse
Ses dimensions sont 26 cm X 36 cm de haut.
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Panneau du haut. On voit la bordure haute et peut être un peu de la bordure basse. Ses dimensions dans l’état actuel sont de 48 cm X 19 cm de haut. S’il a comporté trois pseudo-cercles sa longueur aurait été d’environ 56cm. On ne voit pas d’élément figuratif. Le dessin présente une bonne symétrie par rapport à une ligne médiane horizontale.
Panneau du mileu. Il comporte un motif décoratif de ruban à trois brins. Les changements d’orientation des entrelacements sont tous anguleux. Il est complet en hauteur et comporte une bordure haute et basse. Il ne comporte pas d’élément figuratif. Ses dimensions sont 55cm X 19cm en hauteur
Panneau du bas. Il comporte un motif décoratif à trois brins. Les changements d’orientation des entrelacements sont tous anguleux. Il est complet en hauteur. Ses dimensions sont de 69X 19 cm en hauteur.
A son extrémité droite on peut observer un motif à quatre pointes autonome en carré. D’après ce que l’on voit à gauche, on peut penser qu’il y avait quatre pseudo-carrés et un carré indépendant à chaque extrémité soit une longueur totale de 94 cm.
Ces trois panneaux sont encastrés dans le même pilier et ont la même hauteur. Comme le dessin du panneau du mileu est le même que celui du bas. on peut émettre l’hypothèse qu’ils faisaient la même longueur
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Panneau du haut. Il est très incomplet et comporte autour d’un élément probablement rectangulaire une bordure en tresse à trois brins ; les dimensions de cet échantillon sont de 23cm X36cm de haut. On distingue une bordure basse et peut être une à droite.
Le dessin du motif principal est trop fragmentaire pour pouvoir être interprété. Cependant une partie du motif en ruban forme une fausse bordure
Panneau du bas. Il est aussi très incomplet. Ses dimensions sont de 43cm X 19 cm de haut. On voit une bordure en haut en bas et à droite
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Ce panneau est très incomplet en longueur et un petit peu décoré de motifs figuratifs à savoir des roues spiralées dextrogyres dans des pseudo-cercles et entre les cercles des motifs en ancre qui ressemblent à des colombes. Les pseudo-cercles et la bordure sont à trois brins.
Les dimensions sont de 42cm X 30 cm en hauteur. Cet élément comporte une bordure en haut et en bas et des parties de rubans forment une fausse bordure.
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Dans la cage d'escalier menant à l'étage supérieur veille la statue de la Madone taillée dans du bois d'eucalyptus par le sculpteur vençois Jean Vincent de Crozals en 1953[
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À la fin du XVIIe et début du XVIIIe siècle, un chanoine de Vence entreprit d’ériger un chemin de croix sur le lieu d’un ancien calvaire dit Mont Calvaire.
Le long de ce chemin, il éleva huit chapelles marquant les stations de la passion du Christ. Chaque chapelle hébergeait des statues polychromes d’un mètre cinquante environ.
Cet ensemble de statues, unique en France, dont il reste miraculeusement cinquante sujets a été exécuté par des artistes locaux non expérimentés dans l’art statuaire, mais mus par une force expressive digne des meilleures représentations d’art populaire.
Depuis leur origine, ces chapelles, d’un style typiquement provençal, ont subi de nombreux avatars dus aux guerres, à la Révolution, puis, en 1905, à l’expropriation des biens de l’église. Deux chapelles ont malheureusement déjà disparu et les autres étaient en voie de perdition ou à usage d’entrepôt. Elles ont été classées Monument Historique en 1989.
Faute d’entretien et malgré les tentatives de sauvegarde depuis 1972, la dégradation des bâtiments a conduit à retirer les statues pour les mettre en sûreté. Cet ensemble de statues en bois polychrome compose un des plus précieux éléments du patrimoine historique religieux Vençois. Issues des chapelles du Calvaire du quartier de l’Ara, ces pièces uniques allant du XVIe au XIXe siècle constituent une des plus rares collections de statues en bois fruitier polychrome. L’agonie du Christ, le jugement, la condamnation à mort, la descente de Croix, la crucifixion, la mise au tombeau… sont ainsi mis en scène.
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Christ de l'Agonie. Ange de l'Agonie. Jésus au jardin des Oliviers avec l'Ange qui lui présente la coupe d’amertume.
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Christ de l'Agonie.
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On peut admirer le Saint Pierre du Reniement, l’une des plus belles pièces authentiques du XVIIème siècle
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Le nouveau coq de saint Pierre.
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Le jugement. Hérode. Christ aux liens. Le Grand prêtre. Jésus entouré du Grand Prêtre Caïphe et d’Hérode qui renvoie Jésus à Ponce Pilate. Celui-ci présente le Christ au peuple « ECCE HOMO » « Voici l’Homme »..
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Christ aux liens, seule statue signée, Joseph Dalons.
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Le Grand Prêtre Caïphe.
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Jésus est condamné à mort. « ECCE HOMO » « Voici l’Homme ». Saint Longin le centurion. Christ attendant le supplice ou Dieu piteux. La Flagellation. Soldat
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Christ attendant le supplice ou Dieu piteux. La Flagellation.
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Le Christ assis tenant un roseau. Un soldat. Jésus, couronné d’épines, vêtu de pourpre est gardé par un soldat.
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Le Christ portant la Croix. Simon le Cyrénéen. Jésus, ayant chuté trois fois sous le poids de la croix, les soldats chargèrent un passant, Simon de Cyrène de l’aider.
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Le Valet de la mise en croix. Le Second soldat de la mise en croix. Le Soldat de la mise en croix
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Deimas le bon larron. Christ en croix. Cystas le mauvais larron. Saint Jean-l'Evangéliste. Longis, le soldat. Stephaton valet de la mise en croix qui tend au Christ l'éponge imbibée de vinaigre.
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Véronique présentant le voile. La Vierge au pied du calvaire. Apôtre du calvaire. Sainte femme au calvaire
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Apôtre du calvaire. Sainte femme au calvaire. Le premier valet de la Descente de Croix. Christ de la Descente de Croix dans un drap en bois. Le deuxième valet de la Descente de Croix. Apôtre du calvaire. Christ de la Résurrection.
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Ange de la Mise au tombeau. Le premier valet de la Mise au tombeau (Joseph d’Arimathie). Christ de la Mise au tombeau. Le second valet de la Mise au tombeau (Nicodème). La Vierge. Marie-Madeleine.
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CHASUBLE baroque
Fin XVIe ou début XVIIe siècle.
Origine et datation cette chasuble ne provient pas de l’évêché de Vence, elle nous a été offerte par une donatrice qui l'a trouvée dans la cave de ses parents à Nice. Elle pourrait provenir d'Italie ou d'Espagne. Par son décor baroque, on peut la dater de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle (étude en cours). Le concile de Trente, convoqué en 1580 par le pape Paul III Farnèse (notre ancien évêque) encouragea cette expression baroque de surcharge décorative et d'exubérance qui servait la propagande catholique de la Contre-Réforme
Tissus : soie bleue, doublée de toile beige
Décor : il recouvre la totalité des pans ; celui de devant, de forme violon très prononcée, est décoré d’un vase à deux anses d'où s’élève une branche à deux grosses fleurs entourée de deux petits bouquets se détachant sur un fond entièrement brodé ; sur l’arrière, même type de décor mais la branche est entourée de cinq registre garnis de fleurs ou bouquets.
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CHASUBLE baroque
Fin XVIe ou début XVIIe siècle.
sur l’arrière, même type de décor mais la branche est entourée de cinq registre garnis de fleurs ou bouquets.
État la broderie qui recouvre complètement les pans ne laisse apparaître que quelques espaces du fond de soie bleu très fusé II n'y a pas de manque dans la broderie en soie mais les couleurs ont perdu la vivacité des teintes.
Il n'y a ni orfroi ni galon.
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CHASUBLE or de Mgr Godeau
XVIIe siècle - chasuble de Mgr GODEAU évêque de Vence.
Mgr Godeau est nommé évêque en 1636 à Grasse et en 1653 à Vence. Cette somptueuse chasuble pourrait faire partie de son ensemble épiscopal lors de sa nomination en 1836. Il est décédé en 1972
Tissu : de fond façonné avec filés or et argent La doublure en soie rouge doublait très rarement des chasubles
Décor : riche décor à motif de fleurons et de palmes Le pan avant est garni de galons juxtaposés sur la partie supérieure, puis de la même broderie d’or et d'argent que l’orfroi ; à l’encolure broderie en fil d’argent
Orfroi : en satin jaune recouvert d’une dentelle de 10 cm de fils d’or et d’argent
Ornement : complet, étole, manipule, voile, bourse.
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CHASUBLE or de Mgr Godeau
XVIIe siècle - chasuble de Mgr GODEAU évêque de Vence.
Mgr Godeau est nommé évêque en 1636 à Grasse et en 1653 à Vence. Cette somptueuse chasuble pourrait faire partie de son ensemble épiscopal lors de sa nomination en 1836. Il est décédé en 1972
Tissu : de fond façonné avec filés or et argent La doublure en soie rouge doublait très rarement des chasubles
Décor : riche décor à motif de fleurons et de palmes Le pan avant est garni de galons juxtaposés sur la partie supérieure, puis de la même broderie d’or et d'argent que l’orfroi ; à l’encolure broderie en fil d’argent
Orfroi : en satin jaune recouvert d’une dentelle de 10 cm de fils d’or et d’argent
Ornement : complet, étole, manipule, voile, bourse.
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CHASUBLE réversible violette et or
1800-1810. époque du curé Savornin (1803-1819) décédé à Vence Ensemble : étole, bourse, chape.
Tissu : une face gros de Tours moiré violet (étoffe de soie genre taffetas au tissage plus grossier, originaire de Tours). Sur l’autre face gros de Tours lamé et moiré.
Décor : en broderie réversible en filé argent. Décor en candélabre avec épis de blé et pampres
Orfroi (désigne soit les broderies en or des ornements, soit leur emplacement tel que la croix du dos et les bandes parallèles du pan avant) : il est délimité par la broderie
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CHASUBLE réversible violette et or
1800-1810. époque du curé Savornin (1803-1819) décédé à Vence Ensemble : étole, bourse, chape.
Tissu : une face gros de Tours moiré violet (étoffe de soie genre taffetas au tissage plus grossier, originaire de Tours). Sur l’autre face gros de Tours lamé et moiré.
Décor : en broderie réversible en filé argent. Décor en candélabre avec épis de blé et pampres
Orfroi (désigne soit les broderies en or des ornements, soit leur emplacement tel que la croix du dos et les bandes parallèles du pan avant) : il est délimité par la broderie
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CHASUBLE réversible verte et rouge.
Début du XVIIIe siècle. Mgr de Crillon (1967), Mgr Bourchenu (1714) ou Mgr Surian (1728)
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CHASUBLE noire
Seconde moitié du XIXe siècle - vers 1870 ? Curé J.A. Bruny (1865-1900) décédé à Vence Ensemble : complet comprenant étole, manipule, voile de calice et bourse.
Tissu : lampa de soie noire (tissu façonné à riche décor formé par des flottés de trame régulièrement liés par une chaîne supplémentaire dite « dite de liage ») filé et lamé d’or.
Décor : bouquets et rinceaux fleuris avec des épis en or.
Galons : or.
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CHASUBLE noire
Seconde moitié du XIXe siècle - vers 1870 ? Curé J.A. Bruny (1865-1900) décédé à Vence Ensemble : complet comprenant étole, manipule, voile de calice et bourse.
Tissu : lampa de soie noire (tissu façonné à riche décor formé par des flottés de trame régulièrement liés par une chaîne supplémentaire dite « dite de liage ») filé et lamé d’or.
Décor : bouquets et rinceaux fleuris avec des épis en or.
Galons : or.
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CHASUBLE blanche en piqué
Seconde moitié du XIXe siècle
Ensemble complet comprenant : étole, manipule voile de calice et bourse.
Tissus : piqué de Marseille (le piquet s'exécute au point de piqûre simple ou double sur une même épaisseur d’étoffe, généralement une toile de coton. Nous ne connaissons pas d’autre chasuble dans ce tissu provençal).
Décor : broderie appliquée sur la croix (orfroi désigne soit les broderies en or des ornements, soit leur emplacement tel que la croix du dos). Cœurs sacrés de Jésus et de Marie sur des rayons fils d’or et argent, cannetilles et paillettes.
Galons en soutache or
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CHASUBLE blanche en piqué
Seconde moitié du XIXe siècle
Ensemble complet comprenant : étole, manipule voile de calice et bourse.
Tissus : piqué de Marseille (le piquet s'exécute au point de piqûre simple ou double sur une même épaisseur d’étoffe, généralement une toile de coton. Nous ne connaissons pas d’autre chasuble dans ce tissu provençal).
Décor : broderie appliquée sur la croix (orfroi désigne soit les broderies en or des ornements, soit leur emplacement tel que la croix du dos). Cœurs sacrés de Jésus et de Marie sur des rayons fils d’or et argent, cannetilles et paillettes.
Galons en soutache or
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Des tableaux de Monseigneur Pisani, restés à Vence depuis sa fuite pendant la révolution. Le Christ et les apôtres dans la tempête.
Première moitié du XVIIIème siècle.
Ce tableau fait penser soit aux œuvres du Frère André (1662-1753), dominicain à Paris. Après des études en Italie, il rentre en France et peint surtout pour les couvents.
Soit à l’atelier de Pierre PAROCELLE (Avignon, 1670-1739), spécialisé dans la peinture religieuse.
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Vierge à l'Enfant Jésus. XVIIIe siècle. Tableau de l'école provençale.
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Pisani de La Gaude, évêque de Vence.
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La Fuite en Égypte
Huile sur toile 111 x 144 cm - XVIe ou XVIIe siècle ?
À défaut de certitude, deux hypothèses émanent des spécialistes concernant l’artiste le peintre de ce tableau est un artiste français ou flamand de l’école de Gènes du XVIe siècle ou du milieu du XVIIe siècle, inspiré par l’Italie.
Curieuse représentation de la fuite en Égypte, Joseph conduisant l’âne portant la Vierge et Jésus, laissant derrière eux un groupe d’édifices en partie sous les eaux, au loin une montagne blanche irréaliste.
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Nature morte : vasque de fontaine, fruits, chiens de chasse avec gibiers, canards, lapin, perdrix.
Huile sur toile 144 x 154 cm - Alexandre François DESPORTES (1661-1743)
Vers 1670-1675, Desportes étudie la peinture dans l’atelier de Nicasius Bernaerts (Voir de ce peintre le tableau représentant une bassecour).
Vers 1695, il part pour la cour de Pologne dont il devient le peintre attitré et le portraitiste du roi Jean Sobieski et de sa famille. À son retour en France, Louis XIV le nomme peintre de sa vénerie et il est reçu à l’Académie en 1699.
Il fut le grand peintre animalier de Louis XIV et Louis XV. Ses œuvres sont présentes dans un grand nombre de châteaux et demeures royales II participait aux chasses à côté du roi.
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Saint Pierre.
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PAYSAGE, ruines d'un temple animé de personnages, devant groupe de bâtisses, village au loin.
Huile sur toile 101 x 82,5 cm – XVIIe siècle
Tableau probablement français, dans la suite du peintre et graveur Henri MAUPERCHÉ (1602 Paris -1686). École française.
Mauperché est un des quatorze fondateurs de l’Académie des beaux-arts dont il devint professeur en 1655. C’est un paysagiste influencé par les maîtres flamands et hollandais ainsi que par Claude Lorrain.
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L'ensemble des 53 stalles en bois sculpté réalisées entre 1455 et 1459, un patrimoine d'une valeur artistique exceptionnelle classé Monument Historique. Autrefois situées dans le chœur de la Cathédrale, les stalles rassemblaient le chapitre autour de l’Évêque pour les grandes cérémonies. Elles se trouvent aujourd’hui dans la tribune au-dessus de la nef. Elles furent créées par Jacques Bellot, un menuisier de Grasse, en 1455.
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Les stalles réservées aux membres du clergé épiscopal, étaient primitivement placées autour du maître autel. Très vite cependant elles ont été montées à la tribune, compte tenu de l’encombrement du meuble qui empêchait le bon déroulement de la liturgie. Le lutrin est en bois taillé du 15e siècle. Il se trouvait autrefois dans le chœur. C'est le support de l’antiphonaire ou livre de chant liturgique en musique grégorienne. Les chantres se plaçaient pour la prière autour du lutrin. Outre la messe, étalent chantées les heures canoniques : prime, tierce, sixte, nonne. ; laudes, vêpres et compiles.
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Première stalle à gauche.
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Première stalle à droite.
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Au fond, la cathèdre.
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Chaque stalle comporte des figurines humaines, des motifs végétaux stylisés et des formes de monstres. Toute une symbolique à découvrir.
Le siège est composé d'une partie horizontale rabattante, dénommée « miséricorde pour la station assise, et d'une partie verticale fixe en saillie pour reposer le bas des reins dans la station débout.
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Les DIORAMAS (ou VITRINES) sont appelés communément « crèches » lorsqu'ils se rapportent à une scène d’inspiration religieuse contenue dans des boîtes vitrées qui se répartissent en :
• Paperolles, décors réalisés en utilisant des bandes de papier roulées ou torsadées souvent dorées sur tranche et collées pour former un décor d’arabesque ou d’architecture. Ces crèches peuvent contenir des reliques, des gravures ou des objets.
Reliquaires, contenant, un fragment du corps ou du vêtement d’un saint, pour sa vénération.
Paradis ou grottes, évoquant des lieux idylliques dans un décor de paysages peuplés de religieux, saints ou de la Vierge avec oratoire ou le paradis perdu, entourés d’une multitude d’animaux, végétaux, etc.
Chapelles, constituant un oratoire privé pour la prière journalière ou lorsqu’il était impossible de se rendre à l’église. Le concile de Trente (convoqué en 1542 par Paul III Farnèse ancien évêque de Vence) et la Contre-réforme favorisèrent la diffusion de tels objets.
Ils étaient confectionnés dans des couvents, principalement de Carmélites en Provence, avec des végétaux ou de la mie de pain, de la terre cuite, de la cire, de l’ivoire, du verre filé de Nevers, de la fritte de verre collée sur les parois en papier pour donner un aspect minéral.
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Reliquaire: Paperolles. Au centre dans un petit reliquaire en losange au dos de la croix en cristal un fragment de la vraie Croix sous le cachet ; 3 reliquaires de poches et des reliques dans les 3 cartels et posés sur le coton. XVIIIe
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A la suite d’un don de la famille Chave, une très belle et rarissime collection de Paperolles qui sont des décors réalisés en utilisant des bandes de papier roulées ou torsadées réalisées par des religieuses et dont certaines sont l’œuvre de toute une vie. Reproduit un retable entièrement constitué de petits morceaux de papier ; autour de l’autel. 6 colonnes recouvertes de pointes et 6 gravures colorées. Travail d'une finesse extraordinaire. XVIIIe
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Les dioramas, également appelés « crèches » en Provence, sont de grosses boîtes contenant des scènes religieuses richement décorées, protégées par une vitre. Cet art oublié, autrefois pratiqué dans les couvents, est représenté avec des personnages en terre, sur fond de village provençal taillé dans du liège, agrémenté d’herbes sauvages de Provence. Paradis: Dans un paysage rocheux autour d’une grotte, occupée par une Vierge, surmontée d’un Christ en ivoire, s’organise une vie monastique. Berger et bergère gardent leur troupeau dans un univers grouillant d’animaux. Ivoire, mie de pain, verre (jet d’eau, glace et animaux), éléments botaniques et arbres en tissus, fritte de verre sur les parois. XVIIIe
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Paradis : Dans un paysage se développant sur 2 niveaux. Inférieur : 2 personnages monastiques se dirigent vers un prêtre lisant une prière à la Vierge et l’Enfant. Supérieur : de gauche à droite une bergère et un berger gardent leurs troupeaux. Les personnages et certains animaux sont en mie de pain, les autres en verre filé, la Vierge en cire. Éléments botaniques et tissus. Le papier intérieur est recouvert de fritte de verre. XVIIIe
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Vitrine : Annonciation faite à Marie par l’ange Gabriel. Dans une chambre de style fin XVIIIe à laquelle on accède par une grande porte à double battant, la Vierge reçoit à genoux l’annonce qu’elle va enfanter du fils de Dieu. La chambre est ornée de mobilier : fauteuil, prie dieu, petite table à ouvrage, et vase de fleurs. Tenture de soie, dais en papier en relief, Vierge et anges en terre cuite. Fin XVIIIe.
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Chapelle : Paperolles, Reliquaire. Reconstitution d'un chevet d'église à trois sanctuaires, surmontés d'une coupole; l'autel inclut deux reliques Lucidus et Benedicta, sur les montants deux agnus-dei (mention Roma).
Les trois sanctuaires sont garnis de sept sujets en verre filé (inventoriés à Nevers XVIIe) : Crucifix, Vierge et St Jean ; dans les absidioles, baptême du Christ par St Jean et l'agonie au jardin des oliviers avec l'ange. Architecture en paperolles à tranche dorée ; décoration en papier peint et collé. XVIIIe.
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Paradis : Eden ou le Paradis perdu par la tentation d'Adam et Eve. Sur un univers champêtre foisonnant de végétaux et animaux, Adam cueille la pomme, le serpent enroulé sur le pommier, alors qu'Eve est assise dans le fond droit. Des animaux s'ébattent dans une nature luxuriante composée de verre, matières naturelles, arbres en pompons de soie, sur les parois fritte de verre. XVIIIe.
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Reliquaire: dit SACRUM CORPU ; Masque mortuaire en cire de «S Justini pueri M » (St Justinien enfant) entouré de reliques, de paperolles et d'objets précieux. XVIII-XIXe
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Vitrine: Triomphe de Louis XVI, en plâtre ou terre cuite, reposant sur un piédestal surmonté d'un dôme reposant sur 4 colonnes, entièrement confectionné d'une multitude de bandes de papier toutes différentes et tissus pour drapeaux et armes royales.
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Vitrine : Cellule de Carmélite. Destinée, soit à être offerte à la famille, soit vendue aux pèlerins. XIXe
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Reliquaire : Châsse dite de Sainte Réparate. Morte à Césarée en 250 à l'âge de 15 ans. Patronne de Florence et de Nice. Bois vitré sur les 3 faces et le dessus, rehauts dorés sur fond laqué vert. XVIIIe
Reliquaire : En forme de vitrine baroque laquée bleu à ornementations dorées, contenant 12 reliques. XIXe
Coffret : de forme trapézoïdale. Bois laqué gris à décor doré d'une tête ange, ayant contenu les reliques de St Véran et St Lambert pendant la révolution et retrouvé en 1923 dans un placard (chapelle du Sacré Cœur). XVIe
Coffret à reliques : Bois peint offert par le Pape Paul III Farnèse, ancien Evêque de Vence (1534-1545) portant mention du destinataire : « Vence » et du contenu « Saint Côme et Saint Arnulf ».
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Reliquaire dit de sainte Réparate. Bois, rehauts dorés sur fond laqué vert. Reliquaire de section rectangulaire à pans coupés avec couvercle pyramidal. Faces et couvercles sont ajourés de baies de style rococo décorées de feuillages et coquilles ajourées. XVIIIe siècle.
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Reliquaire: En forme de vitrine baroque laquée bleu à ornementations dorées, contenant 12 reliques.. En particulier, au centre, St Lambert, st Véran, ste Félicis, Sainte Fortunate. XIXe
